Le premier dimanche après la fête de Noël est consacré à la famille. A cette occasion, l’archevêque d’Abidjan a dénoncé « un ébranlement d’esprit auquel font face les familles. Notamment avec tous les désordres moraux dans lesquels se complaisent nos contemporains ». Elles baignent dans un certain hédonisme ambiant, savamment orchestré par le cinéma, la télévision, la vidéo, les photos-romans érotiques, révélant ainsi que l’on n’a pas encore compris la signification véritable de l’amour.
L’archevêque s’est élevé contre les violences conjugales, les nouvelles formes de polygamie, et qui ont pour conséquences la désertion du domicile conjugal par les conjoints et un nombre grandissant d’enfants adultérins.
« Des pères de famille qui s’inventent toujours des missions à n’en point finir. Et qui se révèlent en fin de compte incapables de subvenir aux besoins des deux familles ». Comme s’ils s’étaient passés le mot, à Yopougon, le pasteur Dion Robert, président du Haut Conseil protestant et évangélique, a entretenu les jeunes de son Eglise sur le thème : « Le chrétien et la doctrine du mariage.
Qu’en dit Dieu » ? C’était à l’occasion d’une conférence organisée par le séminaire international des leaders de la jeunesse qui compte 35.000 membres à Abidjan. Très décontracté, l’homme de Dieu s’est adressé à ses hôtes dans leur langage. Il leur a parlé du mariage, depuis le choix, les fiançailles, la dot jusqu’à la cérémonie civile et la bénédiction à l’Eglise. « Il ne faut pas que les seins d’une fille affectent ton cœur, ni ses mollets… Dieu ne regarde pas la chair, il regarde l’âme ».
Les objectifs du pasteur Dion à travers ces précisions sont de « recadrer » les jeunes sur la valeur morale et divine du mariage, amener ces jeunes hommes et jeunes filles à porter leur choix sur des personnes vertueuses et actives dans le lieu de culte et nées de nouveau. Il n’accepte cependant pas que les fidèles déjà mariés abandonnent leurs femmes ou maris pour se remarier dans l’église.
Dans son Eglise (Baptiste œuvres et Missions internationales), les mariés ne portent pas d’alliance. Parce que le seul gage de la fidélité, selon le pasteur, c’est l’amour qui n’a rien à voir avec la convoitise et le flirt. Une importance est accordée à la dot et à la bénédiction nuptiale.
Le pasteur a condamné le monde qui, dans son égarement, a créé des pratiques contre nature. Notamment la bestialité, la polygamie, l’homosexualité, etc. pour contrebalancer la parole de Dieu et les fondements du mariage.
Marie-Adèle Djidjé
L’archevêque s’est élevé contre les violences conjugales, les nouvelles formes de polygamie, et qui ont pour conséquences la désertion du domicile conjugal par les conjoints et un nombre grandissant d’enfants adultérins.
« Des pères de famille qui s’inventent toujours des missions à n’en point finir. Et qui se révèlent en fin de compte incapables de subvenir aux besoins des deux familles ». Comme s’ils s’étaient passés le mot, à Yopougon, le pasteur Dion Robert, président du Haut Conseil protestant et évangélique, a entretenu les jeunes de son Eglise sur le thème : « Le chrétien et la doctrine du mariage.
Qu’en dit Dieu » ? C’était à l’occasion d’une conférence organisée par le séminaire international des leaders de la jeunesse qui compte 35.000 membres à Abidjan. Très décontracté, l’homme de Dieu s’est adressé à ses hôtes dans leur langage. Il leur a parlé du mariage, depuis le choix, les fiançailles, la dot jusqu’à la cérémonie civile et la bénédiction à l’Eglise. « Il ne faut pas que les seins d’une fille affectent ton cœur, ni ses mollets… Dieu ne regarde pas la chair, il regarde l’âme ».
Les objectifs du pasteur Dion à travers ces précisions sont de « recadrer » les jeunes sur la valeur morale et divine du mariage, amener ces jeunes hommes et jeunes filles à porter leur choix sur des personnes vertueuses et actives dans le lieu de culte et nées de nouveau. Il n’accepte cependant pas que les fidèles déjà mariés abandonnent leurs femmes ou maris pour se remarier dans l’église.
Dans son Eglise (Baptiste œuvres et Missions internationales), les mariés ne portent pas d’alliance. Parce que le seul gage de la fidélité, selon le pasteur, c’est l’amour qui n’a rien à voir avec la convoitise et le flirt. Une importance est accordée à la dot et à la bénédiction nuptiale.
Le pasteur a condamné le monde qui, dans son égarement, a créé des pratiques contre nature. Notamment la bestialité, la polygamie, l’homosexualité, etc. pour contrebalancer la parole de Dieu et les fondements du mariage.
Marie-Adèle Djidjé