Après avoir donné à la Côte d’Ivoire, dès 1978, les moyens de se développer sur la base de fondamentaux solides, qui ont permis au pays de surmonter les effets de sept années de crise et de relancer son économie, le Bureau national des études techniques et de développement (BNETD) s’attaque à l’international.
Si la Côte d’Ivoire assure toujours environ 40% du PIB des pays membres de l’UEMOA, elle le doit en grande partie à ses infrastructures. Plus de 4 000 de ses 6.500 km de routes bitumées sont à mettre à l’actif du BNETD. Plus de 800 autres km de routes ont été renforcés par le Bureau et les principaux ouvrages d’art du réseau sortent de ses cartons. Notamment le pont de Sassandra sur la côtière, ceux d’Alépé et de Mossou au-delà de Bassam, en direction du Ghana. Les deux principaux poumons du pays, l’aéroport international Félix Houphouët-Boigny et le Port autonome d’Abidjan, doivent au BNETD leur création, leur extension et leur modernisation. Quant aux principaux bâtiments du pays, ils ont été, eux aussi, réalisés par le Bureau. Citons, entre autres, à Abidjan, les tours administratives, la Mosquée du Plateau, la Polyclinique internationale Sainte Anne-Marie, l’échangeur des 220 logements d’Adjamé. A Yamoussoukro : la Basilique Notre-Dame de la Paix, l’Institut national polytechnique (incluant l’Ecole supérieure des travaux publics, l’Ecole nationale supérieure d’agronomie, l’Institut national supérieur de l’enseignement technique), la Fondation Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix, la nouvelle Assemblée Nationale, et, avec ce bâtiment, tout le processus de transfert de la capitale d’Abidjan à Yamoussoukro. Dans le secteur industriel, le BNETD a pris en charge, parmi beaucoup d’autres réalisations, aussi bien le champ gazier FOXTROT et le Bloc CI-11 (pétrole et gaz naturel) que la réhabilitation de centrales thermiques existantes, la réalisation de celle d’Abidjan-Azito, l’usine CIDT de Boundiali / Korogho ou le projet Nickel de Biankouma Touba. Dans le secteur de l’agriculture et de l’aménagement rural, c’est au BNETD que l’on doit, entre autres, le projet rizicole de Guiguidou, l’abattoir d’Anyama, le marché de gros de Bouaké, le Plan de développement de la région forestière ouest, le Crédit d’appui au secteur agricole ou le Plan directeur vivrier. Les grands projets en cours sont le prolongement de l’autoroute du Nord, de Singrobo à Yamoussoukro, l’extension et l’aménagement de l’agglomération d’Abidjan, le troisième pont d’Abidjan, l’extension du Port autonome d’Abidjan et la poursuite du transfert de la capitale, d’Abidjan à Yamoussoukro. «Aujourd’hui, plus que jamais, nous avons besoin du BNETD. Le transfert de la capitale, la construction de l’autoroute, la rénovation de l’Hôtel Ivoire, l’extension du Port avec une vision de l’Abidjan nouveau, ont été réalisés et planifiés grâce au BNETD. Par ailleurs, si on fait le Port, qu’on ne refait pas l’autoroute et le chemin de fer, on n’aura rien fait. Dans le même temps, on n’aura pas touché au Port sans toucher à Abidjan. Malheur à celui qui n’aura donc pas rénové son port», a martelé SEM Laurent Gbagbo. La Côte d'Ivoire est pratiquement le seul pays de l'Afrique noire qui conçoit son développement. C'est dire qu'elle ne fait pas appel à une expertise extérieure pour concevoir son ouvrage.
Le BNETD à la conquête de l’international «L’Afrique, nous y sommes. Le monde nous intéresse», indique le slogan du BNETD. En 30 ans d’activités, le BNETD a constitué une banque d’expertise et de données exceptionnelles dans les secteurs de la construction et de l’aménagement urbain, du transport et des télécommunications, de l’agriculture et de l’aménagement rural, de l’industrie et de l’énergie, des ressources naturelles et de l’environnement. Il s’est également spécialisé dans les technologies de l’information, de la cartographie et de la télédétection. Devenu un centre reconnu d’expertise technologique et technique, il s’est vu confier, en qualité de maître d’œuvre, de nombreuses études dans tous ces domaines, pour le compte du secteur public ou d’acteurs économiques privés, tant en Côte d’Ivoire qu’à l’étranger. Mais aujourd’hui, les horizons du BNETD s’élargissent. «Temple de la pensée, de la conception et mémoire des priorités de l’Etat», selon les mots du président de la République, le BNETD est fortement appréciée à l’étranger et l’expertise ivoirienne s’est lancée à la conquête du continent africain, en attendant, demain, celle du monde entier. Dès 2004, sur instruction du président de la République, SEM. Laurent Gbagbo, le directeur général du BNETD, Ahoua Don Mello, a intégré ces objectifs dans sa stratégie. D’ores et déjà, par le biais d’agences, de représentations ou de missions, le Bureau s’est s’implanté dans huit pays africains que sont le Bénin, la République du Congo, le Gabon, la Guinée, la Guinée équatoriale, la République Centrafricaine, le Sénégal et le Togo. En s’installant également en France, le BNETD a témoigné de sa vocation de s’imposer sur les marchés européens. Comme il l’a fait durant ses trente années d’existence, le BNETD joue aujourd’hui un incontestable rôle d’avant-garde. Dr. Ahoua Don Mello a dit se mettre au service de l’Etat, en termes de développement et , d’expertises et partant, aller au-delà des frontières ivoiriennes pour vendre les expertises ivoiriennes. Pour témoigner de l’implantation de cette structure en Afrique, il a révélé que le BNETD est l’auteur d’un grand chantier en Guinée équatoriale. C’est le cas également au Bénin, en RD Congo, au Sénégal, au Mali, au Congo Brazzaville, au Liberia, où le Bureau est également présent. Toute chose qui, au dire de Don Mello, démontre que le BNETD est une expertise qui va au-delà des frontières ivoiriennes, même si cette structure a besoin d’être soutenue. “Nous irons au-delà des frontières ivoiriennes”, soutient-il. A titre d’exemple d’internationalisation de l’expertise ivoirienne, le DG a précisé que sur 250 projets, 50 sont réalisés à l’extérieur par le BNETD. Le souhait, dit-il, est de se montrer de plus en plus agressif en tant que concurrent, non seulement sur le marché africain, mais aussi sur celui de l’Europe. C’est à ce titre, poursuit-il, que dans le cadre de la concurrence et de la mondialisation, le BNETD a remporté un marché sur le sol européen, depuis l’ouverture d’une représentation en Europe. Pour Don Mello, toutes les expertises se valent et il n’y a pas de complexe à se faire, d’autant plus que le BNETD doit être présent partout pour prendre part à tous les appels d’offres. A terme, il espère avec le travail, combattre la politique de la main tendue.
Djè Abel
(Source : Svce communication du BNETD)
Si la Côte d’Ivoire assure toujours environ 40% du PIB des pays membres de l’UEMOA, elle le doit en grande partie à ses infrastructures. Plus de 4 000 de ses 6.500 km de routes bitumées sont à mettre à l’actif du BNETD. Plus de 800 autres km de routes ont été renforcés par le Bureau et les principaux ouvrages d’art du réseau sortent de ses cartons. Notamment le pont de Sassandra sur la côtière, ceux d’Alépé et de Mossou au-delà de Bassam, en direction du Ghana. Les deux principaux poumons du pays, l’aéroport international Félix Houphouët-Boigny et le Port autonome d’Abidjan, doivent au BNETD leur création, leur extension et leur modernisation. Quant aux principaux bâtiments du pays, ils ont été, eux aussi, réalisés par le Bureau. Citons, entre autres, à Abidjan, les tours administratives, la Mosquée du Plateau, la Polyclinique internationale Sainte Anne-Marie, l’échangeur des 220 logements d’Adjamé. A Yamoussoukro : la Basilique Notre-Dame de la Paix, l’Institut national polytechnique (incluant l’Ecole supérieure des travaux publics, l’Ecole nationale supérieure d’agronomie, l’Institut national supérieur de l’enseignement technique), la Fondation Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix, la nouvelle Assemblée Nationale, et, avec ce bâtiment, tout le processus de transfert de la capitale d’Abidjan à Yamoussoukro. Dans le secteur industriel, le BNETD a pris en charge, parmi beaucoup d’autres réalisations, aussi bien le champ gazier FOXTROT et le Bloc CI-11 (pétrole et gaz naturel) que la réhabilitation de centrales thermiques existantes, la réalisation de celle d’Abidjan-Azito, l’usine CIDT de Boundiali / Korogho ou le projet Nickel de Biankouma Touba. Dans le secteur de l’agriculture et de l’aménagement rural, c’est au BNETD que l’on doit, entre autres, le projet rizicole de Guiguidou, l’abattoir d’Anyama, le marché de gros de Bouaké, le Plan de développement de la région forestière ouest, le Crédit d’appui au secteur agricole ou le Plan directeur vivrier. Les grands projets en cours sont le prolongement de l’autoroute du Nord, de Singrobo à Yamoussoukro, l’extension et l’aménagement de l’agglomération d’Abidjan, le troisième pont d’Abidjan, l’extension du Port autonome d’Abidjan et la poursuite du transfert de la capitale, d’Abidjan à Yamoussoukro. «Aujourd’hui, plus que jamais, nous avons besoin du BNETD. Le transfert de la capitale, la construction de l’autoroute, la rénovation de l’Hôtel Ivoire, l’extension du Port avec une vision de l’Abidjan nouveau, ont été réalisés et planifiés grâce au BNETD. Par ailleurs, si on fait le Port, qu’on ne refait pas l’autoroute et le chemin de fer, on n’aura rien fait. Dans le même temps, on n’aura pas touché au Port sans toucher à Abidjan. Malheur à celui qui n’aura donc pas rénové son port», a martelé SEM Laurent Gbagbo. La Côte d'Ivoire est pratiquement le seul pays de l'Afrique noire qui conçoit son développement. C'est dire qu'elle ne fait pas appel à une expertise extérieure pour concevoir son ouvrage.
Le BNETD à la conquête de l’international «L’Afrique, nous y sommes. Le monde nous intéresse», indique le slogan du BNETD. En 30 ans d’activités, le BNETD a constitué une banque d’expertise et de données exceptionnelles dans les secteurs de la construction et de l’aménagement urbain, du transport et des télécommunications, de l’agriculture et de l’aménagement rural, de l’industrie et de l’énergie, des ressources naturelles et de l’environnement. Il s’est également spécialisé dans les technologies de l’information, de la cartographie et de la télédétection. Devenu un centre reconnu d’expertise technologique et technique, il s’est vu confier, en qualité de maître d’œuvre, de nombreuses études dans tous ces domaines, pour le compte du secteur public ou d’acteurs économiques privés, tant en Côte d’Ivoire qu’à l’étranger. Mais aujourd’hui, les horizons du BNETD s’élargissent. «Temple de la pensée, de la conception et mémoire des priorités de l’Etat», selon les mots du président de la République, le BNETD est fortement appréciée à l’étranger et l’expertise ivoirienne s’est lancée à la conquête du continent africain, en attendant, demain, celle du monde entier. Dès 2004, sur instruction du président de la République, SEM. Laurent Gbagbo, le directeur général du BNETD, Ahoua Don Mello, a intégré ces objectifs dans sa stratégie. D’ores et déjà, par le biais d’agences, de représentations ou de missions, le Bureau s’est s’implanté dans huit pays africains que sont le Bénin, la République du Congo, le Gabon, la Guinée, la Guinée équatoriale, la République Centrafricaine, le Sénégal et le Togo. En s’installant également en France, le BNETD a témoigné de sa vocation de s’imposer sur les marchés européens. Comme il l’a fait durant ses trente années d’existence, le BNETD joue aujourd’hui un incontestable rôle d’avant-garde. Dr. Ahoua Don Mello a dit se mettre au service de l’Etat, en termes de développement et , d’expertises et partant, aller au-delà des frontières ivoiriennes pour vendre les expertises ivoiriennes. Pour témoigner de l’implantation de cette structure en Afrique, il a révélé que le BNETD est l’auteur d’un grand chantier en Guinée équatoriale. C’est le cas également au Bénin, en RD Congo, au Sénégal, au Mali, au Congo Brazzaville, au Liberia, où le Bureau est également présent. Toute chose qui, au dire de Don Mello, démontre que le BNETD est une expertise qui va au-delà des frontières ivoiriennes, même si cette structure a besoin d’être soutenue. “Nous irons au-delà des frontières ivoiriennes”, soutient-il. A titre d’exemple d’internationalisation de l’expertise ivoirienne, le DG a précisé que sur 250 projets, 50 sont réalisés à l’extérieur par le BNETD. Le souhait, dit-il, est de se montrer de plus en plus agressif en tant que concurrent, non seulement sur le marché africain, mais aussi sur celui de l’Europe. C’est à ce titre, poursuit-il, que dans le cadre de la concurrence et de la mondialisation, le BNETD a remporté un marché sur le sol européen, depuis l’ouverture d’une représentation en Europe. Pour Don Mello, toutes les expertises se valent et il n’y a pas de complexe à se faire, d’autant plus que le BNETD doit être présent partout pour prendre part à tous les appels d’offres. A terme, il espère avec le travail, combattre la politique de la main tendue.
Djè Abel
(Source : Svce communication du BNETD)
