Vive la fête !
Kouala Drissa prépare activement le réveillon du nouvel an. Le 15 décembre il s’introduit dans une cave à Yopougon-Selmer pour dérober un casier de vin et un lecteur Dvd. Mais, il ne se reproche rien lorsqu’il est interpellé par le gérant. Selon lui, il a été réveillé de son sommeil par une horde de jeunes gens l’accusant du vol de casier de boisson. Le procureur estime que le prévenu veut tourner le tribunal en bourrique. « Ce sont des explications bancales qui ne tiennent pas la route. Il a été bel et bien appréhendé avec les objets volés », déclare le parquet. Drissa n’échappe pas à la Justice. Il est condamné à deux mois fermes.
Saisi par un esprit obscur ?
C’est un client peu ordinaire. Bamba Namory emprunte le 24 décembre un « wôro-wôro » à la Sideci pour se rendre à Wassakara. Nous sommes dans la commune de Yopougon. Au cours du trajet, le conducteur marque un arrêt au niveau du 16ème arrondissement pour prendre un second client. Namory profite de l’inattention du chauffeur. Il met sa main dans la caisse pour prendre la somme de 1.000 Fcfa en jeton. Namory ne pourra pas profiter de son butin car il est pris la main dans le sac. Traîné à la barre du tribunal des flagrants délits de Yopougon, l’accusé soutient qu’il a été saisi par une force obscure. «Je ne sais pas ce qui m’a pris. J’ai été saisi par un mauvais esprit pour prendre les jetons », dit-il. Heureusement, le tribunal n’a pas été possédé par le même esprit maléfique. Namory est condamné à un mois ferme pour délit de vol simple.
Rattrapé par les faits
Kéita Abou s’est introduit sans aucune permission au domicile de Mme Boli Jeanne Marie. Il est ressorti avec une bouteille de gaz vide de type « Faitou ». Il tentait de vendre l’objet volé lorsque la victime, qui avait préalablement reconnu sa bouteille, l’interpelle. Mais, Abou se défend. Il soutient que la bouteille est bien sa propriété. « J’avais des problèmes d’argent. Donc, je cherchais un preneur. C’est ainsi qu’elle s’est présentée comme la propriétaire », explique-t-il à la barre du tribunal de Yopougon. Selon la plaignante, juste après la disparition de la bouteille, elle a organisé une battue dans le quartier. « C’est au carrefour du complexe sportif que je l’ai vu. Sur ma bouteille j’avais marqué le signe de la croix sur le flanc droit. C’est ainsi que je l’ai attrapé », soutient la victime qui trouve gain de cause puisque le tribunal condamne Abou à deux mois fermes.
Une sélection de OM
Kouala Drissa prépare activement le réveillon du nouvel an. Le 15 décembre il s’introduit dans une cave à Yopougon-Selmer pour dérober un casier de vin et un lecteur Dvd. Mais, il ne se reproche rien lorsqu’il est interpellé par le gérant. Selon lui, il a été réveillé de son sommeil par une horde de jeunes gens l’accusant du vol de casier de boisson. Le procureur estime que le prévenu veut tourner le tribunal en bourrique. « Ce sont des explications bancales qui ne tiennent pas la route. Il a été bel et bien appréhendé avec les objets volés », déclare le parquet. Drissa n’échappe pas à la Justice. Il est condamné à deux mois fermes.
Saisi par un esprit obscur ?
C’est un client peu ordinaire. Bamba Namory emprunte le 24 décembre un « wôro-wôro » à la Sideci pour se rendre à Wassakara. Nous sommes dans la commune de Yopougon. Au cours du trajet, le conducteur marque un arrêt au niveau du 16ème arrondissement pour prendre un second client. Namory profite de l’inattention du chauffeur. Il met sa main dans la caisse pour prendre la somme de 1.000 Fcfa en jeton. Namory ne pourra pas profiter de son butin car il est pris la main dans le sac. Traîné à la barre du tribunal des flagrants délits de Yopougon, l’accusé soutient qu’il a été saisi par une force obscure. «Je ne sais pas ce qui m’a pris. J’ai été saisi par un mauvais esprit pour prendre les jetons », dit-il. Heureusement, le tribunal n’a pas été possédé par le même esprit maléfique. Namory est condamné à un mois ferme pour délit de vol simple.
Rattrapé par les faits
Kéita Abou s’est introduit sans aucune permission au domicile de Mme Boli Jeanne Marie. Il est ressorti avec une bouteille de gaz vide de type « Faitou ». Il tentait de vendre l’objet volé lorsque la victime, qui avait préalablement reconnu sa bouteille, l’interpelle. Mais, Abou se défend. Il soutient que la bouteille est bien sa propriété. « J’avais des problèmes d’argent. Donc, je cherchais un preneur. C’est ainsi qu’elle s’est présentée comme la propriétaire », explique-t-il à la barre du tribunal de Yopougon. Selon la plaignante, juste après la disparition de la bouteille, elle a organisé une battue dans le quartier. « C’est au carrefour du complexe sportif que je l’ai vu. Sur ma bouteille j’avais marqué le signe de la croix sur le flanc droit. C’est ainsi que je l’ai attrapé », soutient la victime qui trouve gain de cause puisque le tribunal condamne Abou à deux mois fermes.
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