Horrible, odieux, aucun mot n’est assez fort pour qualifier le crime que vient de commettre une jeune fille dans le village de Gbengoro, situé à 3 km au Nord-Ouest de la ville de Séguéla. Une semaine après la boucherie, Gbengoro et Séguéla sont encore sous le choc. Le 28 décembre 2009, peu après 5 heures du matin, la population de Gbengoro est encore plongée dans le sommeil. Les premières personnes réveillées se sont rendues à la mosquée pour la première prière de la journée. Le vieux Coulibaly Messouho, né en 1930, n’a pu se rendre à la mosquée. Il a décidé de faire la prière chez lui. Au moment où il est en pleine prière, sa fille, Coulibaly Korotoumou, âgée de 22 ans, avec qui il partage sa case depuis un moment, s’arme de la machette du vieux pour lui administrer de violents coups à la tête. Le vieil homme s’écroule et meurt sur sa natte de prière dans une marre de sang. Alertée par les premiers cris et les bruits, dame Kané Nossou, mère de la criminelle, née le 20 octobre 1945, se rend à la case de son mari pour en savoir plus sur l’origine de ce remue-ménage inhabituel.
Elle découvre l’horreur. Mais, la vieille femme n’aura pas le temps de pleurer son époux car elle est prise pour cible par sa fille qui la pourchasse. Malheureusement, elle n’aura pas les jambes assez solides pour échapper à Korotoumou qui la rattrape assez violemment. La pauvre vieille reçoit plusieurs coups de machette sur le côté droit de la tête. Les secours arrivent tardivement. Le crime était déjà fait. Le corps de la vieille dame baigne dans une mare de sang, non loin de la case de son mari dont le corps a été découvert par les villageois. La criminelle, qui détenait encore l’arme du crime sur les lieux, a été vite maîtrisée et ligotée. Alerté aux environs de 6 heures, le capitaine Delta, chef des opérations dans la zone 5 des FaFn, s’est immédiatement rendu dans le village à la tête de l’équipe d’intervention rapide et des éléments du commissaire de police, Soualio Coulibaly. Sur place, il constate les deux crimes. Le corps du vieux Coulibaly porte de larges plaies ouvertes sur la tête laissant apparaître le cerveau. Quant celui de la vielle est étendu sur le dos, la main droite sur la poitrine. Il a des blessures sur le côté gauche de la tête. L’imam du village remet l’arme du crime à la police et la criminelle est arrêtée.
Selon la police, les villageois se sont dits surpris par la tuerie, car Korotoumou était aux petits soins de son père. C’est dans la case de ce dernier qu’elle dormait depuis qu’elle s’était disputée, il y a un moment avec sa mère. La tueuse, âgée de 22 ans, est mère de 2 enfants. Depuis son crime, elle ne parle plus. Se contentant de prononcer son nom. Selon les enquêteurs, Korotoumou a été abandonnée par son mari suite à une dépression mentale. Depuis, elle a été recueillie au domicile familial par son père qui lui administrait des soins. Elle est la 3 ème fille de cette famille de 5 enfants. La meurtrière a été déférée à la prison civile de Séguéla et le procureur de la République saisi.
Bayo Fatim Envoyé spécial
Elle découvre l’horreur. Mais, la vieille femme n’aura pas le temps de pleurer son époux car elle est prise pour cible par sa fille qui la pourchasse. Malheureusement, elle n’aura pas les jambes assez solides pour échapper à Korotoumou qui la rattrape assez violemment. La pauvre vieille reçoit plusieurs coups de machette sur le côté droit de la tête. Les secours arrivent tardivement. Le crime était déjà fait. Le corps de la vieille dame baigne dans une mare de sang, non loin de la case de son mari dont le corps a été découvert par les villageois. La criminelle, qui détenait encore l’arme du crime sur les lieux, a été vite maîtrisée et ligotée. Alerté aux environs de 6 heures, le capitaine Delta, chef des opérations dans la zone 5 des FaFn, s’est immédiatement rendu dans le village à la tête de l’équipe d’intervention rapide et des éléments du commissaire de police, Soualio Coulibaly. Sur place, il constate les deux crimes. Le corps du vieux Coulibaly porte de larges plaies ouvertes sur la tête laissant apparaître le cerveau. Quant celui de la vielle est étendu sur le dos, la main droite sur la poitrine. Il a des blessures sur le côté gauche de la tête. L’imam du village remet l’arme du crime à la police et la criminelle est arrêtée.
Selon la police, les villageois se sont dits surpris par la tuerie, car Korotoumou était aux petits soins de son père. C’est dans la case de ce dernier qu’elle dormait depuis qu’elle s’était disputée, il y a un moment avec sa mère. La tueuse, âgée de 22 ans, est mère de 2 enfants. Depuis son crime, elle ne parle plus. Se contentant de prononcer son nom. Selon les enquêteurs, Korotoumou a été abandonnée par son mari suite à une dépression mentale. Depuis, elle a été recueillie au domicile familial par son père qui lui administrait des soins. Elle est la 3 ème fille de cette famille de 5 enfants. La meurtrière a été déférée à la prison civile de Séguéla et le procureur de la République saisi.
Bayo Fatim Envoyé spécial