Sophia Immobilier : Les détracteurs de Touré Hamed Bouah aux abois

La sagesse recommande qu’on la ferme lorsqu’on n’a rien à dire. Malheureusement, certaines personnes aveuglées par leurs estomacs refusent d’ouvrir leurs yeux et voir la vérité. Ainsi, depuis quelques jours, elles ont décidé de mettre Touré Hamed Bouah, ce jeune opérateur économique qui fait la fierté de la jeunesse ivoirienne, dans leur pupitre malencontreusement. A court d’arguments, ces pseudo «écrivains» remplissent leurs feuilles d’énormités à vous couper le souffle. Pour ces personnes, le PCA de SOPHIA Immobilier gagnerait sa vie grâce aux fétichismes. Même si cela était avéré, où est le mal ? Dès lors que l’argent du contribuable n’est pas utilisé à des fins personnelles et qu’aucune infraction à la loi n’est commise. Chacun a le droit de vivre sa vie comme il l’entend. Et puis, s’il existait des fétiches pour se faire une fortune, pourquoi nos donneurs de leçons n’en font pas autant au lieu de distraire le monde en racontant des âneries. Pire, les détecteurs de fétiches pousseront leur cynisme plus loin en écrivant que le PCA de SOPHIA Immobilier grugerait des Ivoiriens. Car toujours selon eux, tous les projets de SOPHIA sont de l’utopie. Ces individus qui semblent rentrer en Côte d’Ivoire seulement hier, n’ont certainement pas vu dans la presse et à la télévision, les images des grands chantiers de cette entreprise. Pour leur gouverne, il leur suffisait simplement de se rendre au siège de SOPHIA Immobilier pour s’enquérir des activités en cours. Comme à leur habitude, ils préfèrent verser dans l’intoxication et la désinformation. En réalité, nos amis qui n’ont certainement pas pu avoir la moindre cuisse de poulet à l’occasion de la fête du nouvel an, ont voulu se rattraper en procédant à un chantage grossier. Ils voulaient quelques billets de banque. Le récipiendaire du prix de meilleur manager de l’année 2009, décerné par l’UNJCI leur a réservé un niet qu’ils n’ont pas voulu digérer. Ils ont donc pris quelques badauds qui n’ont aucune notion du secteur immobilier, encore moins celle des finances et projets pour faire une parodie de panel. Toutes initiatives d’extorsion de fonds au sieur Touré Hamed Bouah sont restées veines. San être l’avocat défenseur de Monsieur Bouah, il faut dénoncer ces pratiques nauséabondes qui n’honorent pas la presse.

Encore une fois, que ce système qui consiste à faire peur d’honnêtes citoyens, en publiant des tracts sur le web, le temps de se faire quelques sous pour pouvoir atténuer sa faim et payer l’imprimerie s’il y en a assez devrait prendre fin. La Côte d’Ivoire nouvelle n’en a aucunement besoin.

Yoropolé Gbagbadê