Défilé de mode de Mélaine Koffi, de Makodjiby, de Nawal El Assad et prestation du Binkadiso au son du balafon et du tam-tam. C’est le cocktail artistique qui a ouvert mardi, au Centre culturel français (Ccf), les portes de la 13e édition de Arkadi, dont le thème cette année est D’ombre et de lumière. En présence du président du Conseil économique et social (Ces), Laurent Dona-Fologo. Cette cérémonie qui a eu lieu sans discours a été, en effet, l’occasion pour le nombreux public du Théâtre de verdure du Ccf, de redécouvrir et apprécier la voix mélodieuse de Wendyam et des chorégraphies des artistes du Binkadiso.
Les férus de l’art présents en ces lieux n’avaient qu’un seul réflexe : applaudir le beau spectacle. Après quoi, le président du Conseil économique et social, Laurent Dona-Fologo, avec à ses côtés le professeur Voho Sahi, conseiller à la présidence, Hien Sié, représentant le ministre de la Culture et de la Francophonie, Augustin Kouadio Komoé, ont fait le tour et apprécié le doigté d’une trentaine d’exposants qui, en s’appropriant le thème de la manifestation, ont essayé à leur manière de maîtriser la lumière, jouer sur le clair et l’obscur afin de valoriser les formes.
Le président Laurent Dona-Fologo, visiblement ému par le travail des créateurs, a plusieurs fois fait le tour des tableaux avant de se retirer des lieux. Le public, en dehors des stylistes, peut apprécier les œuvres de Aboudia, Youssouf Bath, Akim Moïse, Coulibaly Siaka, Idrissa Diarra, Mathilde Moro, Justin Oussou, Stenka, Nadine N’Dia, Watt Kang (peintres), Annick Assémian, Chérif, Sossa (sculpteurs), Samuel Antui, Christine Clercant, G. Néa, Noël Roche (designers), Patrick Boireau, pour ne citer que ceux-là. La responsable du Festival, Marie-José Hourantier, a invité cette année Stéphane Boni et Verka (France), Julie Simon (Maroc).
Arkadi a pour objectif de susciter et orienter une critique artiste, de favoriser la constitution d’un public et de considérer que l’action des mécènes est déterminante puisque l’art est source de développement et de progrès.
Issa T. Yéo
Les férus de l’art présents en ces lieux n’avaient qu’un seul réflexe : applaudir le beau spectacle. Après quoi, le président du Conseil économique et social, Laurent Dona-Fologo, avec à ses côtés le professeur Voho Sahi, conseiller à la présidence, Hien Sié, représentant le ministre de la Culture et de la Francophonie, Augustin Kouadio Komoé, ont fait le tour et apprécié le doigté d’une trentaine d’exposants qui, en s’appropriant le thème de la manifestation, ont essayé à leur manière de maîtriser la lumière, jouer sur le clair et l’obscur afin de valoriser les formes.
Le président Laurent Dona-Fologo, visiblement ému par le travail des créateurs, a plusieurs fois fait le tour des tableaux avant de se retirer des lieux. Le public, en dehors des stylistes, peut apprécier les œuvres de Aboudia, Youssouf Bath, Akim Moïse, Coulibaly Siaka, Idrissa Diarra, Mathilde Moro, Justin Oussou, Stenka, Nadine N’Dia, Watt Kang (peintres), Annick Assémian, Chérif, Sossa (sculpteurs), Samuel Antui, Christine Clercant, G. Néa, Noël Roche (designers), Patrick Boireau, pour ne citer que ceux-là. La responsable du Festival, Marie-José Hourantier, a invité cette année Stéphane Boni et Verka (France), Julie Simon (Maroc).
Arkadi a pour objectif de susciter et orienter une critique artiste, de favoriser la constitution d’un public et de considérer que l’action des mécènes est déterminante puisque l’art est source de développement et de progrès.
Issa T. Yéo
