Les automobilistes demandeurs du nouveau permis de conduire format ‘’carte de crédit’’ sont livrés à eux-mêmes. Depuis le 31 décembre 2009, malgré les plaidoyers, ils ne sont plus autorisés à circuler avec l’ancien permis de conduire.
La SONATT (Société nationale de transports terrestres) est cette fois-ci restée ferme sur sa position de mettre fin aux prorogations du délai de renouvellement du nouveau permis de conduire, nouveau format ‘’carte de crédit’’. Dans un communiqué lu, au cours du journal de 20
heures du mardi 5 janvier 2010, M. Assié Argnar, Directeur général de la SONATT, a annoncé la fin de la validité des anciens permis de conduire. Ce qui signifie du coup que les détenteurs des anciens permis de conduire n’ont plus droit à conduire des engins à moteur sur les voies publiques sur l’ensemble du territoire national. Tout détenteur d’un ancien permis de conduire subira la rigueur de la loi, soulignent des collaborateurs du DG de la SONATT, joints hier par
téléphone. A en croire ceux-ci, c’est une infraction de circuler sur l’ensemble du territoire national avec un permis de conduire invalide.
«Nous avons signé des conventions internationales avec d’autres pays.
Pour que nos permis soient reconnus et reconvertibles, il faut que nos concitoyens se mettent en règle», précisent les collaborateurs de M. Assié Argnar. Avant de prévenir que tous ceux qui se feront prendre seront traités selon la rigueur de la loi. Aussi rappellent-ils que les guichets uniques de pré-enregistrement des demandeurs du permis de conduire restent toujours ouverts. Depuis la sortie publique du DG de la SONATT à travers le communiqué lu à la télévision nationale,
plusieurs automobilistes se sont mobilisés dans les directions d’associations syndicales afin d’obtenir de la tutelle une dernière prorogation du délai de la répression contre les détenteurs des
anciens permis de conduire. Ceux-ci craignent la mise en application aveugle de la part des Forces de défense et de sécurité (FDS). Mais à la SONATT, les premiers responsables estiment que ce n’est pas à eux de décider d’une quelconque prorogation du délai. «C’est au gouvernement par le biais du ministre des Transports de décider par arrêté ministériel de proroger le délai ou pas. Nous, en ce qui nous concerne, nous travaillons et attendons que les usagers se conforment à la loi», soulignent les collaborateurs du DG de la SONATT. Ainsi, le
sort des retardataires- demandeurs du nouveau permis de conduire est aux mains du gouvernement.
Honoré Kouassi
La SONATT (Société nationale de transports terrestres) est cette fois-ci restée ferme sur sa position de mettre fin aux prorogations du délai de renouvellement du nouveau permis de conduire, nouveau format ‘’carte de crédit’’. Dans un communiqué lu, au cours du journal de 20
heures du mardi 5 janvier 2010, M. Assié Argnar, Directeur général de la SONATT, a annoncé la fin de la validité des anciens permis de conduire. Ce qui signifie du coup que les détenteurs des anciens permis de conduire n’ont plus droit à conduire des engins à moteur sur les voies publiques sur l’ensemble du territoire national. Tout détenteur d’un ancien permis de conduire subira la rigueur de la loi, soulignent des collaborateurs du DG de la SONATT, joints hier par
téléphone. A en croire ceux-ci, c’est une infraction de circuler sur l’ensemble du territoire national avec un permis de conduire invalide.
«Nous avons signé des conventions internationales avec d’autres pays.
Pour que nos permis soient reconnus et reconvertibles, il faut que nos concitoyens se mettent en règle», précisent les collaborateurs de M. Assié Argnar. Avant de prévenir que tous ceux qui se feront prendre seront traités selon la rigueur de la loi. Aussi rappellent-ils que les guichets uniques de pré-enregistrement des demandeurs du permis de conduire restent toujours ouverts. Depuis la sortie publique du DG de la SONATT à travers le communiqué lu à la télévision nationale,
plusieurs automobilistes se sont mobilisés dans les directions d’associations syndicales afin d’obtenir de la tutelle une dernière prorogation du délai de la répression contre les détenteurs des
anciens permis de conduire. Ceux-ci craignent la mise en application aveugle de la part des Forces de défense et de sécurité (FDS). Mais à la SONATT, les premiers responsables estiment que ce n’est pas à eux de décider d’une quelconque prorogation du délai. «C’est au gouvernement par le biais du ministre des Transports de décider par arrêté ministériel de proroger le délai ou pas. Nous, en ce qui nous concerne, nous travaillons et attendons que les usagers se conforment à la loi», soulignent les collaborateurs du DG de la SONATT. Ainsi, le
sort des retardataires- demandeurs du nouveau permis de conduire est aux mains du gouvernement.
Honoré Kouassi