La misère n’a ni parti politique, encore moins de religion. Au meeting de clôture du candidat Alassane Dramane Ouattara dans la capitale de l’Agnéby, les populations, par la voix de leurs représentants ont crié leur misère.
« Nous sommes devenus des hommes qui gèrent les foyers », belle image que celle décrite par Mme Bidi Florence, porte-parole des femmes de l’Agnéby. Ainsi, les femmes ont pris le contrôle des foyers, non pas par faute d’hommes mais parce que ces derniers ont perdu leur posture de chef de famille. Perte liée aux difficultés existentielles auxquelles ils sont confrontés et qui les empêchent d’assumer leurs responsabilités. Le signe palpable est la fermeture des entreprises de la localité telles la Cotonnière ivoirienne, la Compagnie fruitière, la Société ivoirienne de fabrication de colle.
Conséquences : les enfants sont chassés de l’école faute de moyens. En outre, les diplômés du Brevet de technicien supérieur (BTS) et autres diplômes universitaires de l’Agnéby comme dans bien de localités gèrent des cabines téléphoniques aux abords des ruelles. Un long chapelet qui en dit long sur le quotidien de ces populations. Par la voix de Mme Bidi Florence, les femmes de la région, ont porté leur choix sur le Premier ministre, Alassane Dramane Ouattara.
Boka Valère, porte-parole des jeunes est venu enfoncer une porte déjà ouverte par les femmes. Diplômé de BTS et gérant de cabine au grand carrefour d’Agboville, par faute d’argent, il ne peut réussir aux concours d’entrée à la Fonction publique. « Monsieur le Président, venez nous sauver, vous qui avez sauvé des Nations. Les jeunes d’Agboville vous appellent, ils ont choisi les solutions ADO ». Devant ces cris de détresse, l’ex-DGA du Fmi n’a pu résister. Il a répondu à l’appel des populations d’Agboville et de toute la Côte d’Ivoire. C’est pourquoi, il a invité l’Agnéby à voter utile.
Coulibaly Brahima
« Nous sommes devenus des hommes qui gèrent les foyers », belle image que celle décrite par Mme Bidi Florence, porte-parole des femmes de l’Agnéby. Ainsi, les femmes ont pris le contrôle des foyers, non pas par faute d’hommes mais parce que ces derniers ont perdu leur posture de chef de famille. Perte liée aux difficultés existentielles auxquelles ils sont confrontés et qui les empêchent d’assumer leurs responsabilités. Le signe palpable est la fermeture des entreprises de la localité telles la Cotonnière ivoirienne, la Compagnie fruitière, la Société ivoirienne de fabrication de colle.
Conséquences : les enfants sont chassés de l’école faute de moyens. En outre, les diplômés du Brevet de technicien supérieur (BTS) et autres diplômes universitaires de l’Agnéby comme dans bien de localités gèrent des cabines téléphoniques aux abords des ruelles. Un long chapelet qui en dit long sur le quotidien de ces populations. Par la voix de Mme Bidi Florence, les femmes de la région, ont porté leur choix sur le Premier ministre, Alassane Dramane Ouattara.
Boka Valère, porte-parole des jeunes est venu enfoncer une porte déjà ouverte par les femmes. Diplômé de BTS et gérant de cabine au grand carrefour d’Agboville, par faute d’argent, il ne peut réussir aux concours d’entrée à la Fonction publique. « Monsieur le Président, venez nous sauver, vous qui avez sauvé des Nations. Les jeunes d’Agboville vous appellent, ils ont choisi les solutions ADO ». Devant ces cris de détresse, l’ex-DGA du Fmi n’a pu résister. Il a répondu à l’appel des populations d’Agboville et de toute la Côte d’Ivoire. C’est pourquoi, il a invité l’Agnéby à voter utile.
Coulibaly Brahima