Mesdames et Messieurs,
Au nom du doyen Ernest N'Koumo Mobio, Délégué Communal d'Attécoubé, Président d'honneur du Comité d'Organisation, de mon Collègue Délégué d'Adjamé, des Elus, des membres des instances et des militants et militantes des communes d'Attécoubé, d'Adjamé et du Plateau, et au nom du Comité d'Organisation, je voudrais dire un grand merci au Président Henri Konan BEDIE pour l'honneur fait à nos délégations en venant ce jour, animer le premier meeting de l'année 2010. Année qui annonce le retour indiscutable du PDCI-RDA aux affaires. Madame Henriette Konan BEDIE, merci d'être toujours là aux côtés de votre époux pour l'accompagner de votre charme, votre spontanéité, votre dynamisme et votre amour pour les Ivoiriens. Que Dieu Tout Puissant vous le rende en vous ramenant à la place qui vous sied. Celle de Première Dame de Côte d'Ivoire. Monsieur le Secrétaire Général Professeur Alphonse Djédjé MADY recevez toute notre reconnaissance pour le soutien que le Secrétariat Général nous a apporté notamment avec le Ministre Guikahuié et son équipe pour l'organisation de cette réunion de famille.
(…) Oui, Monsieur le Président nous nous souvenons surtout des Quarante années de lumière où, sous la conduite éclairée du Président Houphouët-Boigny puis de son digne héritier que vous êtes, notre pays a connu ce qu'on appelle le Miracle Ivoirien.
Notre pays était riche en espoir de sortir du sous-développement. La politique de développement du PDCI-RDA avait une visibilité et une lisibilité pour tous. Chacun savait que quelles que soient ses origines, son avenir et celui de ses enfants allaient en s'améliorant. Chacun se sentait acteur de sa propre évolution et partageait une vision, celle de l'avenir.
(…) Cette politique a permis de bâtir un pays paisible, prospère, respecté et envié par tout le monde entier.
Les hommes et les femmes compétents dont regorge le pays aujourd'hui sont le résultat de ce travail que vous-même avez accompli à côté et après le Président Houphouët-Boigny durant quarante années. Malheureusement, le 24 décembre 1999, les ténèbres envahirent notre pays lorsque la lutte pour le pouvoir atteignant son paroxysme, des fils de ce pays ont retourné leurs armes contre lui, balayant les principes fondamentaux de la République nous faisant passer du miracle au mirage. Ils ont d'abord chassé un régime bien élu et démontré leur incapacité à gérer une transition; puis, ils se sont installés au pouvoir dans des "conditions calamiteuses".(…) Dans un pays où l'on chantait la Paix, la tolérance, nous connaissons désormais un déchaînement de violence et de haine, la manipulation des masses, notamment les jeunes jetés ces derniers temps dans les rues pour cautionner le pouvoir. Au point où nous nous sommes rendus compte que si nous ne voulons pas disparaître comme nation, il nous faut réagir. Ne dit-on pas que quelle que soit la longueur de la nuit, le jour se lève toujours. Le jour se lève déjà en Côte d'lvoire avec Henri Konan Bédié. C'est pour cela que les militants du Plateau, d'Attécoubé et d'Adjamé s'engagent à conduire Henri Konan Bédié au Palais devant nous. Car, cette vue est l'œuvre du PDCI et c'est un juste retour que d'installer Henri Konan Bédié dans ce Palais que nous avons construit. C'est en effet le meilleur cheval capable de nous faire sortir de l'abîme dans lequel nous avons été plongés. Il incarne: la sagesse, la compétence, l'intelligence, l'expérience, la notoriété, la pondération, l'amour de son peuple et de son pays. Ce qui fait de lui, un Chef d'Etat incontestable. En effet, cette crise nous permet de mieux apprécier les réalisations du PDCI avec Henri Konan Bédié. Son projet de société présenté à la nation le jeudi 07 janvier 2010 nous invite à reprendre les efforts de reconstruction de notre pays suspendus pendant une dizaine d'années, afin de faire de la Côte d'Ivoire un pays industrialisé en l'espace d'une génération, à travers des reformes et des engagements appropriés à la circonstance. Oui, nous le pouvons; Oui, nous le devons; Oui, nous le ferons avec Henri Konan Bédié. C'est pour tout cela que nous n'irons plus à Ouaga pour quelque report d'élection. Nous profitons de l'occasion pour féliciter les cadres du PDCI qui ont démontré leur maturité politique dans la gestion de cette crise. En effet, la sérénité avec laquelle nous avons accepté ces différents reports est certes exemplaire, cependant, il est temps de mettre fin par notre détermination à ce ballet interminable et infructueux de Ouaga qui est une injustice faite au PDCI et à son Président. Car, comme le disait Desmond Tutu "Celui qui reste neutre devant une injustice est complice de l'oppresseur", c'est pour cela que nous appelons les militants et militantes du PDCI, à prendre leur destin en main afin de changer le cours de l'histoire et de mettre fin à cette période d'incertitude et de balbutiements. "L'injustice faite à un homme est une menace pour tous", a dit Montesquieu. Personne ne fera notre bonheur à notre place. A mes amis de la génération Dougbo au pouvoir, chefs et notables représentant les populations des soixante villages du District d'Abidjan, merci d'être venus écouter le message du Président Henri Konan Bédié. Votre geste traduit l'hospitalité légendaire du Peuple Atchan. En tant que membre de la chefferie du village d'Abobo-Doumé, je connais vos angoisses de tous les jours face à la pauvreté, au chômage et l'oisiveté de nos enfants, aux inondations et la pollution de la lagune. Cette lagune qui fut jadis le poumon économique et social du Peuple Atchan. Je sais compter sur vous pour traduire fidèlement le message que le Président Henri Konan Bédié va vous transmettre, car, nous avons la pleine responsabilité du bien-être de nos populations et de l'avenir de nos enfants. A tous nos frères et sœurs Ivoiriens, interpellés à la veille des élections de mars 2010, dans ce combat pour la libération de notre pays; il ne s'agit pas pour nous d'avoir une attitude destructrice pour notre pays, mais plutôt un comportement digne et courageux, qualités nécessaires pour reconquérir le bonheur que l'on a perdu. Il est en effet impérieux pour nous d'aller à ces élections armés de détermination, de sérénité et d'espoir afin de donner à la Côte d'Ivoire le Président qu'il mérite en la personne de Monsieur Henri Konan Bédié.
Vive le Président Henri Konan Bédié, Vive le PDCI-RDA
Pour que vive une Côte d'Ivoire paisible et prospère.
Je vous remercie.
Au nom du doyen Ernest N'Koumo Mobio, Délégué Communal d'Attécoubé, Président d'honneur du Comité d'Organisation, de mon Collègue Délégué d'Adjamé, des Elus, des membres des instances et des militants et militantes des communes d'Attécoubé, d'Adjamé et du Plateau, et au nom du Comité d'Organisation, je voudrais dire un grand merci au Président Henri Konan BEDIE pour l'honneur fait à nos délégations en venant ce jour, animer le premier meeting de l'année 2010. Année qui annonce le retour indiscutable du PDCI-RDA aux affaires. Madame Henriette Konan BEDIE, merci d'être toujours là aux côtés de votre époux pour l'accompagner de votre charme, votre spontanéité, votre dynamisme et votre amour pour les Ivoiriens. Que Dieu Tout Puissant vous le rende en vous ramenant à la place qui vous sied. Celle de Première Dame de Côte d'Ivoire. Monsieur le Secrétaire Général Professeur Alphonse Djédjé MADY recevez toute notre reconnaissance pour le soutien que le Secrétariat Général nous a apporté notamment avec le Ministre Guikahuié et son équipe pour l'organisation de cette réunion de famille.
(…) Oui, Monsieur le Président nous nous souvenons surtout des Quarante années de lumière où, sous la conduite éclairée du Président Houphouët-Boigny puis de son digne héritier que vous êtes, notre pays a connu ce qu'on appelle le Miracle Ivoirien.
Notre pays était riche en espoir de sortir du sous-développement. La politique de développement du PDCI-RDA avait une visibilité et une lisibilité pour tous. Chacun savait que quelles que soient ses origines, son avenir et celui de ses enfants allaient en s'améliorant. Chacun se sentait acteur de sa propre évolution et partageait une vision, celle de l'avenir.
(…) Cette politique a permis de bâtir un pays paisible, prospère, respecté et envié par tout le monde entier.
Les hommes et les femmes compétents dont regorge le pays aujourd'hui sont le résultat de ce travail que vous-même avez accompli à côté et après le Président Houphouët-Boigny durant quarante années. Malheureusement, le 24 décembre 1999, les ténèbres envahirent notre pays lorsque la lutte pour le pouvoir atteignant son paroxysme, des fils de ce pays ont retourné leurs armes contre lui, balayant les principes fondamentaux de la République nous faisant passer du miracle au mirage. Ils ont d'abord chassé un régime bien élu et démontré leur incapacité à gérer une transition; puis, ils se sont installés au pouvoir dans des "conditions calamiteuses".(…) Dans un pays où l'on chantait la Paix, la tolérance, nous connaissons désormais un déchaînement de violence et de haine, la manipulation des masses, notamment les jeunes jetés ces derniers temps dans les rues pour cautionner le pouvoir. Au point où nous nous sommes rendus compte que si nous ne voulons pas disparaître comme nation, il nous faut réagir. Ne dit-on pas que quelle que soit la longueur de la nuit, le jour se lève toujours. Le jour se lève déjà en Côte d'lvoire avec Henri Konan Bédié. C'est pour cela que les militants du Plateau, d'Attécoubé et d'Adjamé s'engagent à conduire Henri Konan Bédié au Palais devant nous. Car, cette vue est l'œuvre du PDCI et c'est un juste retour que d'installer Henri Konan Bédié dans ce Palais que nous avons construit. C'est en effet le meilleur cheval capable de nous faire sortir de l'abîme dans lequel nous avons été plongés. Il incarne: la sagesse, la compétence, l'intelligence, l'expérience, la notoriété, la pondération, l'amour de son peuple et de son pays. Ce qui fait de lui, un Chef d'Etat incontestable. En effet, cette crise nous permet de mieux apprécier les réalisations du PDCI avec Henri Konan Bédié. Son projet de société présenté à la nation le jeudi 07 janvier 2010 nous invite à reprendre les efforts de reconstruction de notre pays suspendus pendant une dizaine d'années, afin de faire de la Côte d'Ivoire un pays industrialisé en l'espace d'une génération, à travers des reformes et des engagements appropriés à la circonstance. Oui, nous le pouvons; Oui, nous le devons; Oui, nous le ferons avec Henri Konan Bédié. C'est pour tout cela que nous n'irons plus à Ouaga pour quelque report d'élection. Nous profitons de l'occasion pour féliciter les cadres du PDCI qui ont démontré leur maturité politique dans la gestion de cette crise. En effet, la sérénité avec laquelle nous avons accepté ces différents reports est certes exemplaire, cependant, il est temps de mettre fin par notre détermination à ce ballet interminable et infructueux de Ouaga qui est une injustice faite au PDCI et à son Président. Car, comme le disait Desmond Tutu "Celui qui reste neutre devant une injustice est complice de l'oppresseur", c'est pour cela que nous appelons les militants et militantes du PDCI, à prendre leur destin en main afin de changer le cours de l'histoire et de mettre fin à cette période d'incertitude et de balbutiements. "L'injustice faite à un homme est une menace pour tous", a dit Montesquieu. Personne ne fera notre bonheur à notre place. A mes amis de la génération Dougbo au pouvoir, chefs et notables représentant les populations des soixante villages du District d'Abidjan, merci d'être venus écouter le message du Président Henri Konan Bédié. Votre geste traduit l'hospitalité légendaire du Peuple Atchan. En tant que membre de la chefferie du village d'Abobo-Doumé, je connais vos angoisses de tous les jours face à la pauvreté, au chômage et l'oisiveté de nos enfants, aux inondations et la pollution de la lagune. Cette lagune qui fut jadis le poumon économique et social du Peuple Atchan. Je sais compter sur vous pour traduire fidèlement le message que le Président Henri Konan Bédié va vous transmettre, car, nous avons la pleine responsabilité du bien-être de nos populations et de l'avenir de nos enfants. A tous nos frères et sœurs Ivoiriens, interpellés à la veille des élections de mars 2010, dans ce combat pour la libération de notre pays; il ne s'agit pas pour nous d'avoir une attitude destructrice pour notre pays, mais plutôt un comportement digne et courageux, qualités nécessaires pour reconquérir le bonheur que l'on a perdu. Il est en effet impérieux pour nous d'aller à ces élections armés de détermination, de sérénité et d'espoir afin de donner à la Côte d'Ivoire le Président qu'il mérite en la personne de Monsieur Henri Konan Bédié.
Vive le Président Henri Konan Bédié, Vive le PDCI-RDA
Pour que vive une Côte d'Ivoire paisible et prospère.
Je vous remercie.
