Le président du PDCI, candidat à l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire, a échangé avec les militants des délégations communales d’Attécoubé, d’Adjamé et du Plateau, le samedi 9 janvier 2010 dans la commune d’Attécoubé. Henri Konan Bédié a une fois encore décrié la gestion du Front populaire ivoirien (FPI), au pouvoir depuis une décennie.
«Après avoir volé un mandat, le FPI sollicite un troisième. Pour quoi faire ? Pour reprendre la guerre annoncée ? Ce régime doit reconnaître son incapacité à gouverner la Côte d’Ivoire, au lieu de s’acharner par ressentiment sur l’ère de Félix Houphouët-Boigny et du PDCI-RDA dont il rêve d’effacer jusqu’au souvenir, parce qu’il ne peut faire mieux », a indiqué le président du PDCI qui était au terme de sa tournée dans le District d’Abidjan. Pour les campagnes présidentielles où tous les candidats retenus sortiront le grand jeu, Henri Konan Bédié a levé un coin du voile sur les ambitions du parti au pouvoir. « Installé dans l’arrogance, le mépris et l’indifférence qui caractérisent les régimes dictatoriaux gagnés par le vertige de la toute puissance, le pouvoir guerrier et barbare du FPI ne veut offrir aux Ivoiriens que des perspectives d’affrontements meurtriers avec l’opposition, la communauté internationale et les partenaires au développement », a-t-il martelé. Selon le président du PDCI, le FPI « n’aime » pas la jeunesse ivoirienne, dont « il fait son bouclier dans sa quête insensée du pouvoir par la rue, la duplicité, la violence et les armes ». Mais, soutient-il, cette jeunesse mérite mieux. « Le destin de notre jeunesse n’est pas d’être jetée dans la rue où elle est en proie à tous les dévoiements. Le destin de notre jeunesse est d’être l’avenir de la nation, la noblesse et l’élite de demain, les capitaines d’industrie de la société nouvelle aux frontières nouvelles du développement, les incubateurs de progrès pour tous et du bonheur pour chacun », a rappelé Henri Konan Bédié. C’est pourquoi, a-t-il ajouté : « Il nous faut changer de cap et sortir de ce cercle infernal dans lequel la Refondation veut enfermer la politique et la Côte d’Ivoire (…) Le FPI fait de la diversion et poursuit ses promesses démagogiques. Ce que les Ivoiriens attendent de lui, c’est le bilan de ses dix années de règne. Au lieu de cela, il continue dans la désinformation et la propagande. Comme toujours, les Refondateurs ne réaliseront rien pour les Ivoiriens ». En ce début d’année, aux dires d’Henri Konan Bédié, « les Ivoiriens attendent des élections démocratiques et transparentes pour se donner des dirigeants légitimes ».
Olivier Dion
«Après avoir volé un mandat, le FPI sollicite un troisième. Pour quoi faire ? Pour reprendre la guerre annoncée ? Ce régime doit reconnaître son incapacité à gouverner la Côte d’Ivoire, au lieu de s’acharner par ressentiment sur l’ère de Félix Houphouët-Boigny et du PDCI-RDA dont il rêve d’effacer jusqu’au souvenir, parce qu’il ne peut faire mieux », a indiqué le président du PDCI qui était au terme de sa tournée dans le District d’Abidjan. Pour les campagnes présidentielles où tous les candidats retenus sortiront le grand jeu, Henri Konan Bédié a levé un coin du voile sur les ambitions du parti au pouvoir. « Installé dans l’arrogance, le mépris et l’indifférence qui caractérisent les régimes dictatoriaux gagnés par le vertige de la toute puissance, le pouvoir guerrier et barbare du FPI ne veut offrir aux Ivoiriens que des perspectives d’affrontements meurtriers avec l’opposition, la communauté internationale et les partenaires au développement », a-t-il martelé. Selon le président du PDCI, le FPI « n’aime » pas la jeunesse ivoirienne, dont « il fait son bouclier dans sa quête insensée du pouvoir par la rue, la duplicité, la violence et les armes ». Mais, soutient-il, cette jeunesse mérite mieux. « Le destin de notre jeunesse n’est pas d’être jetée dans la rue où elle est en proie à tous les dévoiements. Le destin de notre jeunesse est d’être l’avenir de la nation, la noblesse et l’élite de demain, les capitaines d’industrie de la société nouvelle aux frontières nouvelles du développement, les incubateurs de progrès pour tous et du bonheur pour chacun », a rappelé Henri Konan Bédié. C’est pourquoi, a-t-il ajouté : « Il nous faut changer de cap et sortir de ce cercle infernal dans lequel la Refondation veut enfermer la politique et la Côte d’Ivoire (…) Le FPI fait de la diversion et poursuit ses promesses démagogiques. Ce que les Ivoiriens attendent de lui, c’est le bilan de ses dix années de règne. Au lieu de cela, il continue dans la désinformation et la propagande. Comme toujours, les Refondateurs ne réaliseront rien pour les Ivoiriens ». En ce début d’année, aux dires d’Henri Konan Bédié, « les Ivoiriens attendent des élections démocratiques et transparentes pour se donner des dirigeants légitimes ».
Olivier Dion