On n’est jamais premier par hasard, dit-on ! Mais si on doit faire ou cautionner le faux pour être premier, cela doit faire pitié. Et c’est le cas des journaux Soir info et le Quotidien, qui s’autoproclament chantres du professionnalisme, et se sont permis de publier des tracts. Car, comment expliquer et appeler dans le jargon du journalisme, un papier non signé et qui ne porte aucune mention soit de communiqué, publi -reportage si ce n’est un tract. Or le code de la déontologie et de l’éthique est clair là-dessus : seuls, peuvent faire l’objet de publication, une information signée d’un journaliste, d’un groupe d’individus responsables des écrits ou toute autre information portant la mention communiqué ou publi- reportage. Alors question : qu’est-ce qui a bien pu motiver les patrons de ces journaux pour tomber si bas, eux qui disent être des professionnels et premier en vente ? En fait, on les comprend aisément. En effet, juste après avoir souscrit à une assurance tous risques, un curieux incendie s’est déclaré dans l’imprimerie de Nady Rayess. Donc c’est bien normal qu’il morde à l’appât du sieur Gossio pour salir Tapé Koulou. Ne dit-on pas que l’argent n’a pas d’odeur ? N’est-ce pas que Nady Rayess et Loss Zoromé font les tours dans des sociétés pour les écumer sérieusement. Un vrai chantage, dit-on. Pour le second journal qui manque d’audience, tout est permis. Malheureusement, tout n’est pas utile. Il faut se faire un nom sur le marché et aider à régler des problèmes conjugaux, (suivez mon regard), tout simplement parce que Tapé Koulou est l’ami de l’autre. Bien curieuse presse.
Janelle Orlane
Janelle Orlane