Certaines personnes qui n'ont aucune conscience du rôle qu'elles doivent jouer lorsqu'on leur confie une parcelle de pouvoir pensent que leur devoir c'est de piller les caisses de l'Etat. Par la magie des crimes économiques dont elles seules ont le secret, elles croient, enivrées par leur fortune, qu'elles sont intouchables. Egratignez- les et vous verrez toute une horde de lèche-bottes se mettre à vos trousses. C'est ce qui se passe malheureusement avec le Directeur Général du Port Autonome d'Abidjan. Depuis que l'affaire Gossio a été mise au vent, on assiste à une levée de boucliers dans le camp du D.G du port. Tout est mis en œuvre pour le blanchir. On suscite des articles ça et là.
Malheureusement, ces différentes gymnastiques ne peuvent aboutir. Nous sommes sereins et bien sereins parce que tout ce que nous détenons comme preuves montrent que M. Marcel Gossio n'est pas propre. Car, toutes les sociétés écrans qu'il crée ont un seule but. Détourner l'argent des Ivoiriens. Est-ce l'ambition du FPI pour la Côte d'Ivoire ?
Nous ne le croyons pas. " Le National " en décidant de défendre les institutions de la République et ceux qui les incarnent n'a jamais dit qu'il cautionnera le comportement de tous ceux qui travailleront à nuire la noble mission que s'est fixée le Président Gbagbo. Ce qui est désespérant en Côte d'Ivoire , c'est que les gens croient qu'ils sont obligés de se conduire comme de vulgaires bandits parce qu'on leur a confié un poste de responsabilité. On ne peut pas reprocher à son adversaire ce que l'on fait soi-même. Ce n'est pas digne. Et, ce n'est pas de cette république que le Chef de l'Etat veut pour les Ivoiriens. Lui, qui vient de couper court au débat sur le grand banditisme à col blanc. Le jeudi dernier, après avoir reçu les vœux de la nation au Palais présidentiel, il s'est entretenu avec la RTI. A la question de savoir quel regard porte t-il sur les 50 ans de la Côte d'Ivoire, voici sa réponse " …quant à la gouvernance, c'est une calamité, une catastrophe au niveau de l'Etat et des institutions privées. Le parc de la Comoé, de Taï qu'est-ce qu'il en reste ? Pourquoi, les hommes sont voraces comme ça ? L'argent qui est détourné c'est l'argent qui est volé aux Ivoiriens. Des gens qui volent beaucoup d'argent et qui se construisent des maisons pourquoi tout cela …en Côte d'Ivoire, il faut nettoyer. Il faut qu'on ait un gouvernement propre, des hommes propres. On ne sait pas ce que ça devient et ça, il ne faudra pas qu'après 50 ans, on revienne en arrière. Il faut que les Ivoiriens soient respectueux des règles d'un Etat moderne " a martelé, le Président Laurent Gbagbo. Marcel Gossio ici est interpellé, lui qui crie sur tous les toits « Je ne crains riens, je nourris la mère de Gbagbo et j’emploie la femme de Blé Goudé. D’ailleurs tous les bétés sont des faux ». Après toutes ces déclarations, peut-on nous dire encore que nous marchons à contre-courant des aspirations de celui-là même qui tient la barre du bateau ivoire ? Qu'on arrête de jouer les avocats du diable dans une affaire qui met fortement en péril les caisses de l'Etat. Le combat de " Le National " et le vrai combat qui mérite d'être mené est celui de rappeler à l'ordre tous ces indélicats D.G qui n'ont pas pitié des Ivoiriens et qui oublient d'où ils viennent après avoir laissé de nombreuses ardoises dans des maquis et autres restaurants du temps où ils étaient abonnés aux grosses bières communément appelées " Drogba " et au jeu de dames. M. Marcel Gossio, on vous attend à Marcory (vous savez de quoi nous parlons) pour régler vos factures. Et n'oublier surtout pas que la dette extérieure de la Côte d'Ivoire est de 6400 milliards de nos francs.
Ken Oudada
Malheureusement, ces différentes gymnastiques ne peuvent aboutir. Nous sommes sereins et bien sereins parce que tout ce que nous détenons comme preuves montrent que M. Marcel Gossio n'est pas propre. Car, toutes les sociétés écrans qu'il crée ont un seule but. Détourner l'argent des Ivoiriens. Est-ce l'ambition du FPI pour la Côte d'Ivoire ?
Nous ne le croyons pas. " Le National " en décidant de défendre les institutions de la République et ceux qui les incarnent n'a jamais dit qu'il cautionnera le comportement de tous ceux qui travailleront à nuire la noble mission que s'est fixée le Président Gbagbo. Ce qui est désespérant en Côte d'Ivoire , c'est que les gens croient qu'ils sont obligés de se conduire comme de vulgaires bandits parce qu'on leur a confié un poste de responsabilité. On ne peut pas reprocher à son adversaire ce que l'on fait soi-même. Ce n'est pas digne. Et, ce n'est pas de cette république que le Chef de l'Etat veut pour les Ivoiriens. Lui, qui vient de couper court au débat sur le grand banditisme à col blanc. Le jeudi dernier, après avoir reçu les vœux de la nation au Palais présidentiel, il s'est entretenu avec la RTI. A la question de savoir quel regard porte t-il sur les 50 ans de la Côte d'Ivoire, voici sa réponse " …quant à la gouvernance, c'est une calamité, une catastrophe au niveau de l'Etat et des institutions privées. Le parc de la Comoé, de Taï qu'est-ce qu'il en reste ? Pourquoi, les hommes sont voraces comme ça ? L'argent qui est détourné c'est l'argent qui est volé aux Ivoiriens. Des gens qui volent beaucoup d'argent et qui se construisent des maisons pourquoi tout cela …en Côte d'Ivoire, il faut nettoyer. Il faut qu'on ait un gouvernement propre, des hommes propres. On ne sait pas ce que ça devient et ça, il ne faudra pas qu'après 50 ans, on revienne en arrière. Il faut que les Ivoiriens soient respectueux des règles d'un Etat moderne " a martelé, le Président Laurent Gbagbo. Marcel Gossio ici est interpellé, lui qui crie sur tous les toits « Je ne crains riens, je nourris la mère de Gbagbo et j’emploie la femme de Blé Goudé. D’ailleurs tous les bétés sont des faux ». Après toutes ces déclarations, peut-on nous dire encore que nous marchons à contre-courant des aspirations de celui-là même qui tient la barre du bateau ivoire ? Qu'on arrête de jouer les avocats du diable dans une affaire qui met fortement en péril les caisses de l'Etat. Le combat de " Le National " et le vrai combat qui mérite d'être mené est celui de rappeler à l'ordre tous ces indélicats D.G qui n'ont pas pitié des Ivoiriens et qui oublient d'où ils viennent après avoir laissé de nombreuses ardoises dans des maquis et autres restaurants du temps où ils étaient abonnés aux grosses bières communément appelées " Drogba " et au jeu de dames. M. Marcel Gossio, on vous attend à Marcory (vous savez de quoi nous parlons) pour régler vos factures. Et n'oublier surtout pas que la dette extérieure de la Côte d'Ivoire est de 6400 milliards de nos francs.
Ken Oudada
