C'est clair. Avec ce qu'il nous est donné de voir dans le processus électoral, on ne peut plus faire confiance à la Cei. Largement dominée par l'opposition, elle a montré qu'elle ne peut pas organiser avec impartialité, les élections en Côte d'Ivoire. Un camouflet pour l'opposition qui avait pourtant joué les coudes pour mettre Mambé à la tête de cette structure. Il est bien clair que la fraude gigantesque organisée est son fait avec la complicité de Gomis un " fou " parmi les fous de Ouattara ". Violant du coup, les règles de l'Institution pourtant créée pour garantir aux Ivoiriens des élections crédibles et impartiales. En fait, ces cadres de l'opposition n'ont pas compris que c'est l'homme qui fait la fonction. Emportés par la haine de Gbagbo, ils n'ont pas été en mesure de se mettre au-dessus de leur opinion politique. Où tout simplement, ils n'ont pas une fois dans les locaux de la Cei, réussi à mettre en veilleuse leur penchant. Pour travailler en conformité avec les lois de la République. Du coup, se pose maintenant le débat du maintien de Mambé à la tête de cette Institution. Doit-on le démettre ? Le président du Fpi, Affi N'Guessan a déjà donné le ton. Tout comme Charles Blé Goudé " Mambé doit être poursuivi ". C'est l'essentiel de leurs réactions. C'est vrai que chacun verra ces réactions avec les lunettes de son camp. Mais la réalité est là. Mambé a organisé une grande fraude contre les intérêts de l'Etat avec les moyens de l'Etat. Dans ce cas, la rigueur de la loi s’impose à lui. Ne dit-on pas que la loi est impartiale. Il apparaît aujourd'hui normal de reprendre tout le processus. Et pourquoi pas avec des gens neutres, soit des religieux) à la tête. C'est encore possible. Parce que la Côte d'Ivoire ne va pas s'offrir des élections bâclées sous la pression extérieure pour faire plaisir à l'Occident.
G. B.
G. B.
