Chassé de Mayo, petit village du département de Soubré pour ses pratiques de sorcellerie, le grand père de Jean Bedel Manbo va atterrir à Madia, bourgade d’Issia. Où il trouve un refuge salutaire. Et épandra une progéniture dont l’un des prototypes est Baté Kolé, père de Gadou Manbo Jean Bedel. Retour sur l’histoire d’un fils indigne.
Reconnu coupable pour les nombreux meurtres commis à Mayo qui ont endeuillé considérablement assez de familles, le vieux baté, sorcier impénitent, pour se soustraire à la dure épreuve du Gôpô en pays bété, va prendre la poudre d’escampette. Ce avec pour unique destination, le petit et paisible village de Madia, son village maternel dans le département d’Issia. Viril qu’il est, le vieux Baté va engendrer de nombreux enfants, des mâles pour la plupart. Ce qui lui vaudra une renommée notoire. Seulement, au nombre de ceux-ci, un seul lui tenait à cœur. Tant les traits de ressemblance se passaient de commentaire.
BATE KOLE, LE FILS HERITIER
N’a-t-on pas coutume de dire que le poussin qui deviendra un coq, se reconnait depuis l’éclosion. Car, le choix porté sur Baté Kolé par son père comme digne héritier de sa sorcellerie meurtrière n’a point été le fait du hasard. Déjà, tout petit, selon des sources concordantes, Baté Kolé était très différent des enfants de son âge. Avec un ventre volumineux et des yeux globuleux, Baté Kolé faisait peur. Il n’avait d’amis que les vieillards. De fait, un vieil esprit dans un petit corps chétif. Des années plus tard, Baté Kolé va épouser plusieurs femmes et engendrer de nombreux enfants. Seul un là encore, trouve grâce à ses yeux comme pour pérenniser la sorcellerie familiale .Et en souvenir du vieux sorcier ex communié, Baté Kolé, le fils héritier, baptise à son tour son fils choisi, Baté Kolé Gadou.
DE LA DYNASTIE A L’IMPOSTURE
A la différence de ses géniteurs adeptes inconditionnels de la sorcellerie, Baté Kolé Gadou, connaitra les délices de l’école et du savoir. Malheureusement, celui que son père prédestinait à un avenir radieux, va très tôt faire voler en éclats tout espoir en écourtant son parcours scolaire en classe de CE1. Baté père, déterminé à réaliser son rêve de voir son Baté Kolé Gadou aller loin dans les études, va lui octroyer une identité nouvelle. Devenu Manbo Jean Bedel, ayant cette fois-ci des pouvoirs occultes et diaboliques, il accède facilement en classe de CM2. Là encore ce sont des échecs. Mais le père Baté kolé, après une vente de cacao, inscrit son fils bien aimé au collège grâce au recrutement parallèle. Parce que devenu aux yeux des habitants de Madia, leur village d’accueil, trop âgé pour porter toujours la culotte kaki. Une fois au collège, il nargue ses amis du MEECI dont il était hélas le président grâce aux pouvoirs maléfiques de son géniteur, en volant une importante somme d’argent. Recherché par la police et les élèves, il quitte l’école définitivement pour le village et ensuite la capitale.
JEAN BEDEL MANBO ET LE FETICHISME
Refusant de s’associer aux mangeurs d’âmes parce qu’encore jeune et plein d’ambitions, au grand dam de son père, Baté kolé Gadou devenu Manbo Jean Bedel, va opter quant à lui pour l’envoutement, qui lui sied à merveille. Ce pour assouvir ses desseins. Ainsi, devenu patron de presse par accident, il expérimentera sa poudre magique sur ses journalistes, qui envoûtés, ne réclameront jamais un salaire. Pire, il ira jusqu’à envouter un Consul de l’Ambassade de France. Et pendant près de trois (03 ans), le sempiternel Bedel va s’adonner à un trafic de visa se bâtir une petite fortune. Mais les choses prendront une autre tournure au point que celui-ci recherché par les autorités policières et judiciaires, s’enfuira en France où il prospérera toujours dans le faux. Le refus de s’associer à son père qui lui a tout appris dans le domaine de la sorcellerie, lui sera hélas fatal. Aujourd’hui, atteint depuis quelques temps de schizophrénie mal soignée, Baté fils débusque tout sur son passage.
Jean Bedel et le viol de ‘’ Bada Bar’’
Sadique à souhait et orgueilleux à volonté, Jean Bédel Manbo tire son plaisir comme un diable en chaleur, du mal qu’il fait à ses semblables. Nous en voulons pour preuve, sa récente bourde à Yopougon Sideci, au ‘’Bada bar’’. Les férues de la musique du territoire bété distillée chaque jour à ‘’Bada Bar’’, continuent de s’interroger sur l’attitude grotesque et abjecte de cet hétérosexuel qu’est Jean Bédel Manbo, qu’il a eue face à une serveuse de Bada bar, un jour de l’année 2009. En effet, enthousiasmé par les rondeurs de la demoiselle Y.S, Jean Bedel dont la libido n’a point de frein, s’empressera ce jour-là d’inviter la jeune fille à sa table, à qui il offre assez d’alcool. Au cours de cette beuverie, il lui promettra monts et merveilles à savoir l’amener en vacances à la tour Effel à Paris. Après avoir avalé gloutonnement plusieurs bières au rythme d’une musique endiablée, Bedel Manbo, ‘’le gentleman’’ d’une nuit, propose à la fille de l’accompagner chez lui, le temps de prendre un peu d’argent pour qu’ils aillent continuer leur bamboula dans un bar climatisé. Naïve et aveuglée par les promesses mirobolantes de l’affabulateur, celle-ci accepte innocemment. Chez lui, très excité et déterminé à satisfaire coûte que coûte sa libido, celui-ci va la ruer de coups tel un masochiste et la forcer à coucher avec lui. En défiant les habitants de l’immeuble où il habite qui ont été réveillés par les cris et pleurs qui subissait les courroux du chaud lapin aux yeux globuleux. Malgré le refus de la pauvre à donner son corps de fée à un inconnu de surcroit escroc, qui, du reste n’était pas de son goût, laid qu’il est. Sous d’autres cieux, on appellerait cela un viol. Toute en pleurs, Mlle. Y.S s’en ira prévenir ses parents et amis restés au ‘’Bada Bar’’. Lesquels amis la conduiront au poste de la gendarmerie des Toits rouges afin de porter une plainte pour viol. Heureusement, Jean Bedel se tirera d’affaire grâce au Procureur Daléba dont il terni hélas l’image ça et là en ces termes. « Je ne crains rien tant que Daléba est là ». Alors question : Pendant combien de temps, Jean Bedel Manbo ou Baté Kolé, qui, en France, bénéficie d’une nationalité parce que déclaré né à Haïti (encore du faux), va-t-il abuser impunément des honnêtes citoyens et brandir le procureur Daléba comme son parapluie atomique ? Vivement que ce dernier prenne ses responsabilités pour rappeler à l’ordre celui qui se fait passer pour son filleul.
JEAN BEDEL MANBO BATE KOLE, UN ESCROC NOTOIRE ET PETIT FILOU
Bedel Manbo, le véritable ingrat, souffre également d’un autre mal. En un mot, c’est un voleur. Il suffit qu’il ait accès à vos bureaux ou domiciles pour que le tour soit joué. L’exemple de son tuteur à Marcory où il a volé 45.000 Fcfa est toujours frais dans nos mémoires. Pis, l’homme est aujourd’hui recherché dans les postes de police et de gendarmerie pour escroqueries, au point où il change de numéros chaque semaine. Et c’est un homme de tel acabit qui ose s’attaquer aux honnêtes gens. Malheureusement pour lui, il est tombé sur plus dur que lui, parce chrétien converti. A cet effet d’ailleurs, joint au téléphone , Tapé Koulou depuis paris où se trouve pour suivre des soins, a refusé d’entrer dans toute polémique avec celui qu’il considère toujours comme son fils( le mot est de lui) qu’il a élevé qui tente vainement de le salir pour des peccadilles. Cependant, nous avions tenu à éclairer la lanterne des Ivoiriens afin que la vérité soit connue de tous. Bedel Manbo avait approché Le National suite à notre parution étalant les arnaques de Touré Ahmed Bouah pour que nous arrêtions tout article contre ce dernier. N’étant des hommes corruptibles, nouas avions refusé de rentrer dans cette magouille qu’il voulait monter avec nous pour soutirer de l’argent à son financier Touré Ahmed Bouah. Ayant échoué dans cette démarche, lui qui voulait qu’on fasse ensemble le combat Gossio, si on accédait à ses désirs et magouilles, va tourner casaque pour s’attaquer à Tapé Koulou, qui n’a plus rien à avoir avec le journal aux informations directes. Alors de lui à Tapé Koulou, qui est le véritable maître chanteur ?
Témin Ka Nimi atô
Reconnu coupable pour les nombreux meurtres commis à Mayo qui ont endeuillé considérablement assez de familles, le vieux baté, sorcier impénitent, pour se soustraire à la dure épreuve du Gôpô en pays bété, va prendre la poudre d’escampette. Ce avec pour unique destination, le petit et paisible village de Madia, son village maternel dans le département d’Issia. Viril qu’il est, le vieux Baté va engendrer de nombreux enfants, des mâles pour la plupart. Ce qui lui vaudra une renommée notoire. Seulement, au nombre de ceux-ci, un seul lui tenait à cœur. Tant les traits de ressemblance se passaient de commentaire.
BATE KOLE, LE FILS HERITIER
N’a-t-on pas coutume de dire que le poussin qui deviendra un coq, se reconnait depuis l’éclosion. Car, le choix porté sur Baté Kolé par son père comme digne héritier de sa sorcellerie meurtrière n’a point été le fait du hasard. Déjà, tout petit, selon des sources concordantes, Baté Kolé était très différent des enfants de son âge. Avec un ventre volumineux et des yeux globuleux, Baté Kolé faisait peur. Il n’avait d’amis que les vieillards. De fait, un vieil esprit dans un petit corps chétif. Des années plus tard, Baté Kolé va épouser plusieurs femmes et engendrer de nombreux enfants. Seul un là encore, trouve grâce à ses yeux comme pour pérenniser la sorcellerie familiale .Et en souvenir du vieux sorcier ex communié, Baté Kolé, le fils héritier, baptise à son tour son fils choisi, Baté Kolé Gadou.
DE LA DYNASTIE A L’IMPOSTURE
A la différence de ses géniteurs adeptes inconditionnels de la sorcellerie, Baté Kolé Gadou, connaitra les délices de l’école et du savoir. Malheureusement, celui que son père prédestinait à un avenir radieux, va très tôt faire voler en éclats tout espoir en écourtant son parcours scolaire en classe de CE1. Baté père, déterminé à réaliser son rêve de voir son Baté Kolé Gadou aller loin dans les études, va lui octroyer une identité nouvelle. Devenu Manbo Jean Bedel, ayant cette fois-ci des pouvoirs occultes et diaboliques, il accède facilement en classe de CM2. Là encore ce sont des échecs. Mais le père Baté kolé, après une vente de cacao, inscrit son fils bien aimé au collège grâce au recrutement parallèle. Parce que devenu aux yeux des habitants de Madia, leur village d’accueil, trop âgé pour porter toujours la culotte kaki. Une fois au collège, il nargue ses amis du MEECI dont il était hélas le président grâce aux pouvoirs maléfiques de son géniteur, en volant une importante somme d’argent. Recherché par la police et les élèves, il quitte l’école définitivement pour le village et ensuite la capitale.
JEAN BEDEL MANBO ET LE FETICHISME
Refusant de s’associer aux mangeurs d’âmes parce qu’encore jeune et plein d’ambitions, au grand dam de son père, Baté kolé Gadou devenu Manbo Jean Bedel, va opter quant à lui pour l’envoutement, qui lui sied à merveille. Ce pour assouvir ses desseins. Ainsi, devenu patron de presse par accident, il expérimentera sa poudre magique sur ses journalistes, qui envoûtés, ne réclameront jamais un salaire. Pire, il ira jusqu’à envouter un Consul de l’Ambassade de France. Et pendant près de trois (03 ans), le sempiternel Bedel va s’adonner à un trafic de visa se bâtir une petite fortune. Mais les choses prendront une autre tournure au point que celui-ci recherché par les autorités policières et judiciaires, s’enfuira en France où il prospérera toujours dans le faux. Le refus de s’associer à son père qui lui a tout appris dans le domaine de la sorcellerie, lui sera hélas fatal. Aujourd’hui, atteint depuis quelques temps de schizophrénie mal soignée, Baté fils débusque tout sur son passage.
Jean Bedel et le viol de ‘’ Bada Bar’’
Sadique à souhait et orgueilleux à volonté, Jean Bédel Manbo tire son plaisir comme un diable en chaleur, du mal qu’il fait à ses semblables. Nous en voulons pour preuve, sa récente bourde à Yopougon Sideci, au ‘’Bada bar’’. Les férues de la musique du territoire bété distillée chaque jour à ‘’Bada Bar’’, continuent de s’interroger sur l’attitude grotesque et abjecte de cet hétérosexuel qu’est Jean Bédel Manbo, qu’il a eue face à une serveuse de Bada bar, un jour de l’année 2009. En effet, enthousiasmé par les rondeurs de la demoiselle Y.S, Jean Bedel dont la libido n’a point de frein, s’empressera ce jour-là d’inviter la jeune fille à sa table, à qui il offre assez d’alcool. Au cours de cette beuverie, il lui promettra monts et merveilles à savoir l’amener en vacances à la tour Effel à Paris. Après avoir avalé gloutonnement plusieurs bières au rythme d’une musique endiablée, Bedel Manbo, ‘’le gentleman’’ d’une nuit, propose à la fille de l’accompagner chez lui, le temps de prendre un peu d’argent pour qu’ils aillent continuer leur bamboula dans un bar climatisé. Naïve et aveuglée par les promesses mirobolantes de l’affabulateur, celle-ci accepte innocemment. Chez lui, très excité et déterminé à satisfaire coûte que coûte sa libido, celui-ci va la ruer de coups tel un masochiste et la forcer à coucher avec lui. En défiant les habitants de l’immeuble où il habite qui ont été réveillés par les cris et pleurs qui subissait les courroux du chaud lapin aux yeux globuleux. Malgré le refus de la pauvre à donner son corps de fée à un inconnu de surcroit escroc, qui, du reste n’était pas de son goût, laid qu’il est. Sous d’autres cieux, on appellerait cela un viol. Toute en pleurs, Mlle. Y.S s’en ira prévenir ses parents et amis restés au ‘’Bada Bar’’. Lesquels amis la conduiront au poste de la gendarmerie des Toits rouges afin de porter une plainte pour viol. Heureusement, Jean Bedel se tirera d’affaire grâce au Procureur Daléba dont il terni hélas l’image ça et là en ces termes. « Je ne crains rien tant que Daléba est là ». Alors question : Pendant combien de temps, Jean Bedel Manbo ou Baté Kolé, qui, en France, bénéficie d’une nationalité parce que déclaré né à Haïti (encore du faux), va-t-il abuser impunément des honnêtes citoyens et brandir le procureur Daléba comme son parapluie atomique ? Vivement que ce dernier prenne ses responsabilités pour rappeler à l’ordre celui qui se fait passer pour son filleul.
JEAN BEDEL MANBO BATE KOLE, UN ESCROC NOTOIRE ET PETIT FILOU
Bedel Manbo, le véritable ingrat, souffre également d’un autre mal. En un mot, c’est un voleur. Il suffit qu’il ait accès à vos bureaux ou domiciles pour que le tour soit joué. L’exemple de son tuteur à Marcory où il a volé 45.000 Fcfa est toujours frais dans nos mémoires. Pis, l’homme est aujourd’hui recherché dans les postes de police et de gendarmerie pour escroqueries, au point où il change de numéros chaque semaine. Et c’est un homme de tel acabit qui ose s’attaquer aux honnêtes gens. Malheureusement pour lui, il est tombé sur plus dur que lui, parce chrétien converti. A cet effet d’ailleurs, joint au téléphone , Tapé Koulou depuis paris où se trouve pour suivre des soins, a refusé d’entrer dans toute polémique avec celui qu’il considère toujours comme son fils( le mot est de lui) qu’il a élevé qui tente vainement de le salir pour des peccadilles. Cependant, nous avions tenu à éclairer la lanterne des Ivoiriens afin que la vérité soit connue de tous. Bedel Manbo avait approché Le National suite à notre parution étalant les arnaques de Touré Ahmed Bouah pour que nous arrêtions tout article contre ce dernier. N’étant des hommes corruptibles, nouas avions refusé de rentrer dans cette magouille qu’il voulait monter avec nous pour soutirer de l’argent à son financier Touré Ahmed Bouah. Ayant échoué dans cette démarche, lui qui voulait qu’on fasse ensemble le combat Gossio, si on accédait à ses désirs et magouilles, va tourner casaque pour s’attaquer à Tapé Koulou, qui n’a plus rien à avoir avec le journal aux informations directes. Alors de lui à Tapé Koulou, qui est le véritable maître chanteur ?
Témin Ka Nimi atô
