Hier, à Djékanou, Mme Henriette Konan Bédié a prononcé un grand discours dans lequel, elle salué et félicité le doyen Abdoulaye Diallo pour ses actions en faveur de cette cité. La présidente de l'Ong Servir, dans son message, a surtout insisté sur l'esprit de paix qui guide le maire de Djékanou dans ses réalisations. Ci-dessous, son allocution.
(…) Salut à vous, Monsieur Abdoulaye DIALLO, grande figure du PDCI, gardien vigilant et incontesté de l'héritage Houphouët-Boigny.
Le Djéka est en effet, un arbuste très respecté en pays baoulé. Sa taille moyenne, ses branches entrelacées et son feuillage élargi forment une sorte de parasol.
Ses fruits attirent les oiseaux de toutes sortes.
Ceux-ci appellent les enfants qui apprennent l'art de la chasse, l'art d'être adroit et l'art de la vie en communauté. L'ombre épaisse du Djéka fait bon vivre.
Doyen Abdoulaye DIALLO, c'est sous l'ombre commune des arbustes Djéka que vous choisissez de créer Djékanou.
Oui Doyen, en créant Djékanou, vous avez créé un village-ville qui sert de trait d'union entre le monde moderne et notre passé ancestral.
Avec votre esprit de grand bâtisseur, hérité de Houphouët-Boigny, vous avez construit un hôpital ultra moderne avec des équipements de grande performance.
De toutes les origines, combien de femmes enceintes, de personnes en voie de perdre la vue, de malades de toutes sortes ne sont pas venus ici, à l'hôpital de Djékanou pour donner la vie ou retrouver la santé?
Je suis à vous, cher doyen. Ma présence sur votre terre est voulue par la bonne grâce de votre petit frère Henri Konan BEDIE.
Ma venue à Djékanou est accordée par les bénédictions de Henri Konan BEDIE ; ce petit frère que vous avez toujours soutenu dans ses charges de successeur de notre père, votre grand frère Félix Houphouët-Boigny.
Enfin doyen, je suis venue à Djékanou dans la maison familiale, par la volonté de mon époux Henri Konan BEDIE qui sait que je suis en des mains pures de bonté, pures de sagesse, pures de protection familiale.
En de très bonnes mains, les mains de son digne aîné Abdoulaye DIALLO.
Doyen, vous considérez la paix comme la base des valeurs morales, culturelles et spirituelles que partagent les civilisations du monde.
Par la paix, vous cultivez les valeurs démocratiques, vous entretenez la justice, vous déclarez la liberté et l'égale dignité de tous.
Vous savez que celui qui dit la paix dans la bouche ne fait pas la paix car il n'est pas un homme de paix.
Ainsi, on peut avoir de l'or et cet or ne pourra jamais laver notre dignité, cette dignité qui n'a jamais été propre par nature.
Mais vous, vous êtes un homme de paix et vous faites la paix par la promotion universelle de l'éducation, de la santé, du spirituel, de la culture et de la science ici à Djékanou.
Cela se voit, cela se sent.
Ce sont des valeurs qui façonnent et transforment en bien, les comportements humains. Pour cette œuvre gigantesque que vous avez réalisée en matière de santé, je vous apporte un modeste soutien.
Ce sont, ces quelques cartons de médicaments et des produits d'entretien.
Ici à Djékanou, les populations d'où qu'elles viennent, sont mêlées les unes aux autres comme les fils d'un même pagne. C'est cela, la philosophie de Djékanou.
Doyen, si vous n'avez pas existé, il aurait fallu vous créer pour le bien de nos populations. Doyen Abdoulaye DIALLO, votre petit frère BEDIE m'a chargée de vous dire merci. Car, quand du maïs est enfermé dans ses feuilles, il ne risque pas de se salir les dents même quand il tombe dans la boue.
BEDIE sait que vous êtes pour lui une protection qui n'a jamais cessé d'être contre la boue. Mille fois merci.
(…) Salut à vous, Monsieur Abdoulaye DIALLO, grande figure du PDCI, gardien vigilant et incontesté de l'héritage Houphouët-Boigny.
Le Djéka est en effet, un arbuste très respecté en pays baoulé. Sa taille moyenne, ses branches entrelacées et son feuillage élargi forment une sorte de parasol.
Ses fruits attirent les oiseaux de toutes sortes.
Ceux-ci appellent les enfants qui apprennent l'art de la chasse, l'art d'être adroit et l'art de la vie en communauté. L'ombre épaisse du Djéka fait bon vivre.
Doyen Abdoulaye DIALLO, c'est sous l'ombre commune des arbustes Djéka que vous choisissez de créer Djékanou.
Oui Doyen, en créant Djékanou, vous avez créé un village-ville qui sert de trait d'union entre le monde moderne et notre passé ancestral.
Avec votre esprit de grand bâtisseur, hérité de Houphouët-Boigny, vous avez construit un hôpital ultra moderne avec des équipements de grande performance.
De toutes les origines, combien de femmes enceintes, de personnes en voie de perdre la vue, de malades de toutes sortes ne sont pas venus ici, à l'hôpital de Djékanou pour donner la vie ou retrouver la santé?
Je suis à vous, cher doyen. Ma présence sur votre terre est voulue par la bonne grâce de votre petit frère Henri Konan BEDIE.
Ma venue à Djékanou est accordée par les bénédictions de Henri Konan BEDIE ; ce petit frère que vous avez toujours soutenu dans ses charges de successeur de notre père, votre grand frère Félix Houphouët-Boigny.
Enfin doyen, je suis venue à Djékanou dans la maison familiale, par la volonté de mon époux Henri Konan BEDIE qui sait que je suis en des mains pures de bonté, pures de sagesse, pures de protection familiale.
En de très bonnes mains, les mains de son digne aîné Abdoulaye DIALLO.
Doyen, vous considérez la paix comme la base des valeurs morales, culturelles et spirituelles que partagent les civilisations du monde.
Par la paix, vous cultivez les valeurs démocratiques, vous entretenez la justice, vous déclarez la liberté et l'égale dignité de tous.
Vous savez que celui qui dit la paix dans la bouche ne fait pas la paix car il n'est pas un homme de paix.
Ainsi, on peut avoir de l'or et cet or ne pourra jamais laver notre dignité, cette dignité qui n'a jamais été propre par nature.
Mais vous, vous êtes un homme de paix et vous faites la paix par la promotion universelle de l'éducation, de la santé, du spirituel, de la culture et de la science ici à Djékanou.
Cela se voit, cela se sent.
Ce sont des valeurs qui façonnent et transforment en bien, les comportements humains. Pour cette œuvre gigantesque que vous avez réalisée en matière de santé, je vous apporte un modeste soutien.
Ce sont, ces quelques cartons de médicaments et des produits d'entretien.
Ici à Djékanou, les populations d'où qu'elles viennent, sont mêlées les unes aux autres comme les fils d'un même pagne. C'est cela, la philosophie de Djékanou.
Doyen, si vous n'avez pas existé, il aurait fallu vous créer pour le bien de nos populations. Doyen Abdoulaye DIALLO, votre petit frère BEDIE m'a chargée de vous dire merci. Car, quand du maïs est enfermé dans ses feuilles, il ne risque pas de se salir les dents même quand il tombe dans la boue.
BEDIE sait que vous êtes pour lui une protection qui n'a jamais cessé d'être contre la boue. Mille fois merci.