Dans le cadre de ses visites dans les délégations Pdci à travers la Côte d'Ivoire, le président Henri Konan Bédié sera dans les délégations de Treichville et de Marcory, le 23 janvier prochain. A Marcory où les stades de l'Injs vont abriter le giga meeting, le délégué Assemien se dit prêt pour accueillir les milliers de militants qui vont venir écouter le message d'espoir du candidat de son parti.
M. le délégué, le président Bédié est chez vous à Marcory. Quel est votre état d’esprit ?
Permettez que je vous souhaite une bonne et heureuse année 2010. Que Dieu fasse en sorte que "Le Nouveau Réveil" soit parmi l'élite de la presse en Côte d'Ivoire et à travers le monde. Ceci dit, c'est dans l'allégresse et l'enthousiasme que nous l’attendons aujourd’hui. Dans la ville d'Abidjan proprement dite, nous sommes les derniers à recevoir le président Bédié. Vous voyez la joie qui nous anime d'organiser le bouquet final. C'est comme une finale. Ce n'est donc pas comme les matchs éliminatoires ou de poule. Nous sommes conscients de l'enjeu.
Quand on a vu la mobilisation qu'il y a eu partout ailleurs, n'avez-vous pas peur de passer à côté du sujet pour ce "bouquet final" ?
Je l'ai dis tantôt à certains d'entre vous que comparaison n'est pas raison. Je n'ose pas faire une comparaison par rapport à quoi que ce soit ou à qui que ce soit. Ce que je puis vous dire, c'est que cette réception a lieu à l'Injs. L'Injs, c'est deux stades de football jumelés, plus les terrains de basket et de handball etc, en un mot, c'est le plus vaste espace d'Abidjan. L'Injs est plus vaste que Inch'allah à Koumassi, plus vaste que le complexe sportif de Yopougon. Retenez tout simplement que moi Assemien, je dis que je ferai le plein de l'Injs.
Pour ce qui est de Marcory qui va effectivement abriter le meeting, quelles sont les dispositions pratiques sinon particulières que vous avez prises ou que vous comptez prendre pour la réussite dudit meeting ?
En matière de disposition, c'est la mobilisation des militants qui conditionne tout. Et c'est pourquoi, nous avons fait une mobilisation très croisée, c'est-à-dire que les responsables ont été sur le terrain et avec mon équipe. Et nous avons croisé nos responsables dont M. Kacou Konan René, président du comité de mobilisation et du transport qui est aussi le secrétaire de la section Victor Amagou. Nous avons multiplié les rencontres avec eux, nous avons passé et repassé pour qu'au jour J, tout le monde prenne l'Injs d'assaut. Voilà un peu ce que nous avons fait véritablement à Marcory au sein des 212 comités de base et des 24 sections et des 10 clubs de soutien au Pdci que compte Marcory. Tout le monde est en branle et Marcory à lui seul est prêt à faire le plein de l'espace Injs.
Pouvez-vous rassurer les uns et les autres que vous serez prêts pour le grand slow aujourd’hui?
Oui, nous sommes prêts. C'est vrai que nous n'avons pas eu assez de temps de préparation. Le président Bédié a fini avec Locodjoro à Attécoubé le 09 janvier et c'est le mardi 12 janvier qu'il nous a été signifié que le président Bédié viendra nous rendre visite le 23 janvier. Donc, pratiquement nous n'avons eu que 11 jours pour nous préparer. Et puis l'autre aspect non négligeable est que la Can vient de s'ouvrir et tout le monde est campé par rapport à ses affinités sur tel ou tel match. Cela fait que les rassemblements ont été très difficiles mais nous faisons avec. Et comme cela fait longtemps qu'on attend la visite du président de notre parti, nous avons eu le temps de sensibiliser. Nous ne faisons que la mobilisation.
Un message pour les militants Pdci de Marcory ?
Je dis aux militants de Marcory et même à toute la population de se mobiliser autour du président Bédié, candidat du Pdci pour sauver la Côte d'Ivoire du trou noir dans lequel elle a été plongée par les refondateurs. Le Pdci ne s'est pas trompé en choisissant Henri Konan Bédié comme son candidat à la présidentielle. Beaucoup de choses sont en train de se tramer pour empêcher le retour de Henri Konan Bédié au pouvoir. A savoir les actions dilatoires des refondateurs pour ne pas aller aux élections. Aujourd'hui, c'est la Cei qu'il faut décapiter. Que toute la Côte d'Ivoire reste sereine. C'est cyclique ce qui arrive. Dans le temps, ce sont les colons qui ont cherché à décapiter le Pdci-Rda en jetant en prison tous ces leaders. Le cycle est revenu soixante ans après avec la refondation. Le Pdci n'acceptera pas que la chienlit s'installe en Côte d'Ivoire. Que tous les militants, tous les Ivoiriens viennent à ce meeting pour écouter le message fort du candidat du Pdci. Leur sécurité est garantie.
Interview réalisée par Liah Ignace
M. le délégué, le président Bédié est chez vous à Marcory. Quel est votre état d’esprit ?
Permettez que je vous souhaite une bonne et heureuse année 2010. Que Dieu fasse en sorte que "Le Nouveau Réveil" soit parmi l'élite de la presse en Côte d'Ivoire et à travers le monde. Ceci dit, c'est dans l'allégresse et l'enthousiasme que nous l’attendons aujourd’hui. Dans la ville d'Abidjan proprement dite, nous sommes les derniers à recevoir le président Bédié. Vous voyez la joie qui nous anime d'organiser le bouquet final. C'est comme une finale. Ce n'est donc pas comme les matchs éliminatoires ou de poule. Nous sommes conscients de l'enjeu.
Quand on a vu la mobilisation qu'il y a eu partout ailleurs, n'avez-vous pas peur de passer à côté du sujet pour ce "bouquet final" ?
Je l'ai dis tantôt à certains d'entre vous que comparaison n'est pas raison. Je n'ose pas faire une comparaison par rapport à quoi que ce soit ou à qui que ce soit. Ce que je puis vous dire, c'est que cette réception a lieu à l'Injs. L'Injs, c'est deux stades de football jumelés, plus les terrains de basket et de handball etc, en un mot, c'est le plus vaste espace d'Abidjan. L'Injs est plus vaste que Inch'allah à Koumassi, plus vaste que le complexe sportif de Yopougon. Retenez tout simplement que moi Assemien, je dis que je ferai le plein de l'Injs.
Pour ce qui est de Marcory qui va effectivement abriter le meeting, quelles sont les dispositions pratiques sinon particulières que vous avez prises ou que vous comptez prendre pour la réussite dudit meeting ?
En matière de disposition, c'est la mobilisation des militants qui conditionne tout. Et c'est pourquoi, nous avons fait une mobilisation très croisée, c'est-à-dire que les responsables ont été sur le terrain et avec mon équipe. Et nous avons croisé nos responsables dont M. Kacou Konan René, président du comité de mobilisation et du transport qui est aussi le secrétaire de la section Victor Amagou. Nous avons multiplié les rencontres avec eux, nous avons passé et repassé pour qu'au jour J, tout le monde prenne l'Injs d'assaut. Voilà un peu ce que nous avons fait véritablement à Marcory au sein des 212 comités de base et des 24 sections et des 10 clubs de soutien au Pdci que compte Marcory. Tout le monde est en branle et Marcory à lui seul est prêt à faire le plein de l'espace Injs.
Pouvez-vous rassurer les uns et les autres que vous serez prêts pour le grand slow aujourd’hui?
Oui, nous sommes prêts. C'est vrai que nous n'avons pas eu assez de temps de préparation. Le président Bédié a fini avec Locodjoro à Attécoubé le 09 janvier et c'est le mardi 12 janvier qu'il nous a été signifié que le président Bédié viendra nous rendre visite le 23 janvier. Donc, pratiquement nous n'avons eu que 11 jours pour nous préparer. Et puis l'autre aspect non négligeable est que la Can vient de s'ouvrir et tout le monde est campé par rapport à ses affinités sur tel ou tel match. Cela fait que les rassemblements ont été très difficiles mais nous faisons avec. Et comme cela fait longtemps qu'on attend la visite du président de notre parti, nous avons eu le temps de sensibiliser. Nous ne faisons que la mobilisation.
Un message pour les militants Pdci de Marcory ?
Je dis aux militants de Marcory et même à toute la population de se mobiliser autour du président Bédié, candidat du Pdci pour sauver la Côte d'Ivoire du trou noir dans lequel elle a été plongée par les refondateurs. Le Pdci ne s'est pas trompé en choisissant Henri Konan Bédié comme son candidat à la présidentielle. Beaucoup de choses sont en train de se tramer pour empêcher le retour de Henri Konan Bédié au pouvoir. A savoir les actions dilatoires des refondateurs pour ne pas aller aux élections. Aujourd'hui, c'est la Cei qu'il faut décapiter. Que toute la Côte d'Ivoire reste sereine. C'est cyclique ce qui arrive. Dans le temps, ce sont les colons qui ont cherché à décapiter le Pdci-Rda en jetant en prison tous ces leaders. Le cycle est revenu soixante ans après avec la refondation. Le Pdci n'acceptera pas que la chienlit s'installe en Côte d'Ivoire. Que tous les militants, tous les Ivoiriens viennent à ce meeting pour écouter le message fort du candidat du Pdci. Leur sécurité est garantie.
Interview réalisée par Liah Ignace