A l’occasion de la cérémonie de présentation de veux que les agents ont organisé à son honneur, le DG de l’INP-HB a annoncé à combattre la tricherie au sein des enseignants.
L’Institut polytechnique Félix Houphouët-Boigny (INP-HB) de Yamoussoukro, a sacrifié à la tradition, le mercredi 27 janvier dernier, en organisant une cérémonie de présentation de vœux de nouvel an à son directeur général, le Pr Ado Gossan Innocent. Ainsi profitant de l’occasion, le premier responsable de l’Institut a lancé un appel à ses collaborateurs, au personnel administratif, aux enseignants et aux étudiants à l’union. Car, a-t-il estimé, des revendications à tue-tête ne font pas avancer les activités. « Je souhaite que des solutions soient proposées pour le bien-être de notre Institut. Il a une place de choix à défendre dans la sous-région », a-t-il dit. Les invitant par la suite à plus de conscience professionnelle, pour mettre fin à certaines pratiques. Surtout des enseignants tricheurs (ces formateurs qui s’absentent régulièrement sans motifs valables). Qui, pour la plupart, perçoivent inutilement leur salaire sans fournir la moindre prestation. Ainsi pour mettre fin à cette pratique qui n’honore pas l’un des prestigieux centres d’excellence de la sous-région, le premier responsable de l’institut, a bien voulu sévir. Dès l’entame du mois de mars prochain, « des chèques seront remis à chaque agent de l’INP-HB. Il nous faut maîtriser le volume de salaire de notre Institut », a-t-il dit. Et d’ajouter : « Il faut mettre fin à la situation des agents fictifs. Cela influence négativement sur le volume salarial de notre Institut. Il urge d’y voir bien clair ». C’est pourquoi il a exigé que des enfants des personnels, bénéficiant d’allocation familiale, produisent des pièces justificatives. Notamment le certificat de vie et d’entretien accompagné d’un acte de naissance. Pour le rétablissent d’un fichier des salaires fiables.
« J’en appelle à la conscience de tous. L’INP-HB ne doit pas faillir à sa mission. Celle d’être le véritable pôle d’excellence de la sous-région voire de l’Afrique », a-t-il indiqué à ses collaborateurs. Non sans occulter cependant quelques doléances à lui suggérées par les syndicats et étudiants. Qui se résument pour l’essentiel à une amélioration de leur condition de travail. Vu le manque crucial de climatisation dans les salles et les laboratoires. « Je vous demande la patience. Tout sera réglé cette année 2010 », a rassuré le directeur général qui célébrait, pour la même occasion, ces 10 années à la tête de l’Institut.
Séfora Etranou
L’Institut polytechnique Félix Houphouët-Boigny (INP-HB) de Yamoussoukro, a sacrifié à la tradition, le mercredi 27 janvier dernier, en organisant une cérémonie de présentation de vœux de nouvel an à son directeur général, le Pr Ado Gossan Innocent. Ainsi profitant de l’occasion, le premier responsable de l’Institut a lancé un appel à ses collaborateurs, au personnel administratif, aux enseignants et aux étudiants à l’union. Car, a-t-il estimé, des revendications à tue-tête ne font pas avancer les activités. « Je souhaite que des solutions soient proposées pour le bien-être de notre Institut. Il a une place de choix à défendre dans la sous-région », a-t-il dit. Les invitant par la suite à plus de conscience professionnelle, pour mettre fin à certaines pratiques. Surtout des enseignants tricheurs (ces formateurs qui s’absentent régulièrement sans motifs valables). Qui, pour la plupart, perçoivent inutilement leur salaire sans fournir la moindre prestation. Ainsi pour mettre fin à cette pratique qui n’honore pas l’un des prestigieux centres d’excellence de la sous-région, le premier responsable de l’institut, a bien voulu sévir. Dès l’entame du mois de mars prochain, « des chèques seront remis à chaque agent de l’INP-HB. Il nous faut maîtriser le volume de salaire de notre Institut », a-t-il dit. Et d’ajouter : « Il faut mettre fin à la situation des agents fictifs. Cela influence négativement sur le volume salarial de notre Institut. Il urge d’y voir bien clair ». C’est pourquoi il a exigé que des enfants des personnels, bénéficiant d’allocation familiale, produisent des pièces justificatives. Notamment le certificat de vie et d’entretien accompagné d’un acte de naissance. Pour le rétablissent d’un fichier des salaires fiables.
« J’en appelle à la conscience de tous. L’INP-HB ne doit pas faillir à sa mission. Celle d’être le véritable pôle d’excellence de la sous-région voire de l’Afrique », a-t-il indiqué à ses collaborateurs. Non sans occulter cependant quelques doléances à lui suggérées par les syndicats et étudiants. Qui se résument pour l’essentiel à une amélioration de leur condition de travail. Vu le manque crucial de climatisation dans les salles et les laboratoires. « Je vous demande la patience. Tout sera réglé cette année 2010 », a rassuré le directeur général qui célébrait, pour la même occasion, ces 10 années à la tête de l’Institut.
Séfora Etranou
