Le Don de gouvernance et de développement institutionnel (Dgdi) suit minutieusement sa feuille de route. Après la théorie, les services de communication de trois ministères doivent passer à la pratique. Ce sont les départements de l’Economie et des Finances, des Mines et de l’Energie et de l’Agriculture. Suite au renforcement des capacités de ces services donc, le Dgdi a remis jeudi dernier à Abidjan, du matériel informatique. Les services de communication et les cellules focales de ces trois ministères ont réceptionné, tour à tour, au total, 16 ordinateurs, une caméra numérique, six onduleurs, cinq imprimantes, trois scanners, trois appareils photo numérique et deux dictaphones. Le tout ayant coûté environ 31 millions de Fcfa.
Au ministère des Mines et de l’Energie, le ministre Emmanuel Monnet a rassuré sur un ton ironique, quant à la bonne utilisation des équipements acquis : « Je serai le gendarme, si ça peut vous faire peur pour travailler ». En octroyant ce matériel, le Don de gouvernance a de la suite dans les idées. En effet, bientôt, les départements concernés auront leur site Internet. Et c’est pour rendre totalement opérationnel cet outil de communication que la structure dirigée rigoureusement par Mme Madeleine Yao a anticipé le jeudi. De sorte qu’au moment où le site deviendra une réalité, dans les jours à venir, les gestionnaires que sont les cellules de communication, aient les arguments techniques de s’en occuper.
Il s’agit, à travers la composante communication du projet Dgdi, de permettre à ces trois ministères de donner de la visibilité et de la lisibilité, à leurs activités. Autrement dit, les services pourront diffuser à temps réel, les données économiques, facteurs de transparence et partant, de bonne gouvernance. Dans chacun des ministères où elle est passée, en compagnie de la représentante de la Banque mondiale, Joelle Tiémélé, le coordonnateur du Dgdi, Madeleine Yao, a rappelé l’origine de son institution ainsi que ses objectifs. Le Don de gouvernance et de développement institutionnel est né de la volonté de la Côte d’Ivoire et de la Banque mondiale de permettre au pays de respecter les normes internationales, en matière de gestion des ressources publiques.
Trois volets essentiels sont visés : les finances publiques, les ressources du pétrole et la filière café-cacao. Et parallèlement, l’aspect communication, volet transversal, en tant qu’indicateur de transparence, n’a pas été oublié. Le Dgdi est financé par la Banque mondiale, à hauteur de 6,5 milliards de Fcfa, pour une durée de quatre ans.
Adama Koné
Au ministère des Mines et de l’Energie, le ministre Emmanuel Monnet a rassuré sur un ton ironique, quant à la bonne utilisation des équipements acquis : « Je serai le gendarme, si ça peut vous faire peur pour travailler ». En octroyant ce matériel, le Don de gouvernance a de la suite dans les idées. En effet, bientôt, les départements concernés auront leur site Internet. Et c’est pour rendre totalement opérationnel cet outil de communication que la structure dirigée rigoureusement par Mme Madeleine Yao a anticipé le jeudi. De sorte qu’au moment où le site deviendra une réalité, dans les jours à venir, les gestionnaires que sont les cellules de communication, aient les arguments techniques de s’en occuper.
Il s’agit, à travers la composante communication du projet Dgdi, de permettre à ces trois ministères de donner de la visibilité et de la lisibilité, à leurs activités. Autrement dit, les services pourront diffuser à temps réel, les données économiques, facteurs de transparence et partant, de bonne gouvernance. Dans chacun des ministères où elle est passée, en compagnie de la représentante de la Banque mondiale, Joelle Tiémélé, le coordonnateur du Dgdi, Madeleine Yao, a rappelé l’origine de son institution ainsi que ses objectifs. Le Don de gouvernance et de développement institutionnel est né de la volonté de la Côte d’Ivoire et de la Banque mondiale de permettre au pays de respecter les normes internationales, en matière de gestion des ressources publiques.
Trois volets essentiels sont visés : les finances publiques, les ressources du pétrole et la filière café-cacao. Et parallèlement, l’aspect communication, volet transversal, en tant qu’indicateur de transparence, n’a pas été oublié. Le Dgdi est financé par la Banque mondiale, à hauteur de 6,5 milliards de Fcfa, pour une durée de quatre ans.
Adama Koné