Abidjan, la capitale économique ivoirienne, accueille depuis ce jeudi matin la 21ème assemblée générale du Club des dirigeants des banques et établissements de crédits d’Afrique.
Plusieurs dizaine de dirigeants de banques et établissements de crédit sont à Abidjan pour plancher sur le thème : « La bonne gouvernance dans les banques africaines au regard de la crise ». Le président du club, M. Zakari Darou Salim, lors de la cérémonie d’ouverture, a campé la pertinence de ce thème à travers ce qui est devenu aujourd’hui une problématique quotidienne pour les banquiers, savoir choisir les agents économiques qui méritent qu’on leur prête de l’argent. L’exercice, indiquera-t-il, « pose un problème de gouvernance quand on sait que la crise actuelle est dite de l’endettement et de la spéculation ». Bien que les banques africaines aient fait preuve de résilience face à cette crise, parce que moins exposées aux caprices des marchés internationaux, la bonne gouvernance s’expose à elles comme un facteur d’instauration de la confiance, « socle sur lequel repose le commerce d’argent »,
renchérira M. Kablan Yao Sahi, conseiller spécial représentant le ministre de l’Economie et des Finances, président de la cérémonie. Intégrer les principes de bonne gouvernance « est de nature dès lors, à contribuer, de manière décisive, à assurer leur pérennité », soulignera-t-il. Créé en 1989 à Lomé au Togo, le Club des dirigeants des banques et établissements de crédits a pour vocation de satisfaire les besoins de formation et d’information de ses membres et de susciter et faciliter la réflexion des banquiers sur les objectifs à atteindre et les moyens à mettre en œuvre pour les réaliser. Elle organise à cet effet deux rencontres chaque année dans une capitale africaine, à l’invitation d’une association professionnelle. La présente réunion dénommée « Journées annuelles » est organisée à l’invitation de l’Association professionnelle des banques et établissements financiers de Côte d’Ivoire
(APBEF-CI). Elle s’est achevée hier par la prise de résolutions. Notamment dans la mise en œuvre des principes de la bonne gouvernance. Les participants ont souhaité que dans tous les pays d’Afrique, les choix d’octroi de crédit obéissent aux fondements de la bonne gouvernance. Ainsi, les Fonds prêtés à certains agents économiques ne seront pas perdus comme nous avons coutume de le constater dans certains cas.
JC KORE
Plusieurs dizaine de dirigeants de banques et établissements de crédit sont à Abidjan pour plancher sur le thème : « La bonne gouvernance dans les banques africaines au regard de la crise ». Le président du club, M. Zakari Darou Salim, lors de la cérémonie d’ouverture, a campé la pertinence de ce thème à travers ce qui est devenu aujourd’hui une problématique quotidienne pour les banquiers, savoir choisir les agents économiques qui méritent qu’on leur prête de l’argent. L’exercice, indiquera-t-il, « pose un problème de gouvernance quand on sait que la crise actuelle est dite de l’endettement et de la spéculation ». Bien que les banques africaines aient fait preuve de résilience face à cette crise, parce que moins exposées aux caprices des marchés internationaux, la bonne gouvernance s’expose à elles comme un facteur d’instauration de la confiance, « socle sur lequel repose le commerce d’argent »,
renchérira M. Kablan Yao Sahi, conseiller spécial représentant le ministre de l’Economie et des Finances, président de la cérémonie. Intégrer les principes de bonne gouvernance « est de nature dès lors, à contribuer, de manière décisive, à assurer leur pérennité », soulignera-t-il. Créé en 1989 à Lomé au Togo, le Club des dirigeants des banques et établissements de crédits a pour vocation de satisfaire les besoins de formation et d’information de ses membres et de susciter et faciliter la réflexion des banquiers sur les objectifs à atteindre et les moyens à mettre en œuvre pour les réaliser. Elle organise à cet effet deux rencontres chaque année dans une capitale africaine, à l’invitation d’une association professionnelle. La présente réunion dénommée « Journées annuelles » est organisée à l’invitation de l’Association professionnelle des banques et établissements financiers de Côte d’Ivoire
(APBEF-CI). Elle s’est achevée hier par la prise de résolutions. Notamment dans la mise en œuvre des principes de la bonne gouvernance. Les participants ont souhaité que dans tous les pays d’Afrique, les choix d’octroi de crédit obéissent aux fondements de la bonne gouvernance. Ainsi, les Fonds prêtés à certains agents économiques ne seront pas perdus comme nous avons coutume de le constater dans certains cas.
JC KORE
