L’adage populaire dit « comparaison n’est pas raison ». C’est peut-être vrai. Mais certains faits, vu leur importance, méritent d’être mis dans la balance de l’histoire pour juger de leurs effets, et en tirer des conclusions pour les annales. C’est le cas des deux grandes périodes qui ont marqué la jeune histoire de la Côte d’Ivoire.
Ce pays a atteint aujourd’hui l’âge d’or. Et à l’heure du bilan, il parait impérieux de jeter un regard critique sur cette marche. Le parti démocratique de Côte d’Ivoire a conduit les destinées du pays durant 40 ans. Sous son règne, la Côte d’Ivoire a connu une époque très prospère. Le père fondateur de la Côte d’Ivoire moderne à imprimé au pays sa vision du développement. Ayant conscience des énormes richesses que possédait cette jeune nation, Félix Houphouët-Boigny a permis aux Ivoiriens de bénéficier de ces acquis de façon graduelle. C’est pourquoi, il mettait au devant l’agriculture non sans savoir que le sous sol renfermait des richesses colossales . Les habitants de la terre d’Eburnie n’ont pas regretté ce choix judicieux du chef de l’Etat. L’agriculture a hissé la Côte d’Ivoire à un niveau considérable du développement en la positionnant parmi les meilleures nations productrices du café-cacao. Les décennies 60-70 et 70-80 ont été des périodes prospères. La terre d’Eburnie était comparable à un eldorado : une terre d’accueil et de paix où il faisait bon vivre. La cerise sur le gâteau en cette période de vaches grasses pour la Côte d’Ivoire fut l’exploitation de son sous-sol avec en prime, l’or noir. Le pétrole ivoirien de très bonne qualité, du reste, a fait accroître les dividendes du pays. L’industrialisation était donc en marche avec la création des entreprises tels que la Sir, la Sodefor, le Port d’Abidjan… Nonobstant la conjoncture économique qui a sévi dans les années 80, Félix Houphouët-Boigny a réussi à maintenir le cap jusqu’à son décès en 1993. L’œuvre humaine n’étant pas parfaite, le premier président de la Côte d’Ivoire a dû, sans nul doute, pécher bien des fois dans sa gestion. Mais force est de reconnaitre que son règne est inégalable. Il n’est pas superflu de mentionner que la paix qui était une seconde religion pour le pays fut préservée . Henri Konan Bédié a poursuivi la vision du père de la nation. Avec les 12 chantiers de l’Eléphant d’ Afrique, il a réussi à faire avancer d’un autre cran la Côte d’Ivoire. Malheureusement, il fut à mi-parcours invincé du pouvoir par un coup d’Etat. Symphonie inachevée, pourrait-on dire. Après cette transition honteuse pour ce pays qui se veut un havre de paix, arrive hélas ! le règne sous la refondation. Les conditions de l’accession de ces frontistes à la tête du pays était un signe prémonitoire que les ivoiriens ont négligé.
Les 10 ans de règne du Fpi
De mémoire d’ivoirien, la Côte d’Ivoire n’a connu aucune période aussi sombre et ténébreuse que celle que le pays vit actuellement sous le Fpi. Une décennie marquée par une série de malheurs dans tous les secteurs de la vie sociale. En véritables amateurs dans la gestion des affaires de l’Etat, le Fpi a fait basculer le pays dans le gouffre. Les crimes, les malversations et autres mauvaises actions à leur actif sont innombrables. A cela s’ajoute La xénophobie, le tribalisme qui a porté un coup de massue à la cohésion sociale au sein de ce peuple qui a une culture de la paix. Diviser pour mieux régner est le leitmotiv qu’ils défendent. Malheureusement, ils l’on réussi avec brio. Conséquence, la guerre qui a divisé le pays depuis 2002. Les refondateurs ont enrichi ce palmarès sombre par les détournements des deniers publics, l’enrichissement illicite. Ces forfaits des frontistes se voient dans le pays avec la chute des entreprises étatiques telle que la Sir. L’ivoirien n’a jamais été aussi pauvre et misérable que dans cette décennie maudite sous la refondation.
La Côte d’Ivoire, de la lumière aux ténèbres
Ce slogan sied bien à la situation de délestage que connaît le pays tout entier. Les ivoiriens n’en reviennent pas. Comment un pays qui est fournisseur d’énergie électrique à des pays de la sous-région ouest-africaine peut imposer à ces habitants, la consommation de façon alternée du courant électrique. Hélas, c’est la réalité que vit le pays pour la simple raison qu’il a eu tort de remettre son sort à un pouvoir de malheur. La Côte d’Ivoire va mal, dira l’artiste. Nous dirons plutôt que le pays va de mal en pis. La saignée causée par le Fpi est grande et le pays fonce tout droit vers l’enfer.
JN
Ce pays a atteint aujourd’hui l’âge d’or. Et à l’heure du bilan, il parait impérieux de jeter un regard critique sur cette marche. Le parti démocratique de Côte d’Ivoire a conduit les destinées du pays durant 40 ans. Sous son règne, la Côte d’Ivoire a connu une époque très prospère. Le père fondateur de la Côte d’Ivoire moderne à imprimé au pays sa vision du développement. Ayant conscience des énormes richesses que possédait cette jeune nation, Félix Houphouët-Boigny a permis aux Ivoiriens de bénéficier de ces acquis de façon graduelle. C’est pourquoi, il mettait au devant l’agriculture non sans savoir que le sous sol renfermait des richesses colossales . Les habitants de la terre d’Eburnie n’ont pas regretté ce choix judicieux du chef de l’Etat. L’agriculture a hissé la Côte d’Ivoire à un niveau considérable du développement en la positionnant parmi les meilleures nations productrices du café-cacao. Les décennies 60-70 et 70-80 ont été des périodes prospères. La terre d’Eburnie était comparable à un eldorado : une terre d’accueil et de paix où il faisait bon vivre. La cerise sur le gâteau en cette période de vaches grasses pour la Côte d’Ivoire fut l’exploitation de son sous-sol avec en prime, l’or noir. Le pétrole ivoirien de très bonne qualité, du reste, a fait accroître les dividendes du pays. L’industrialisation était donc en marche avec la création des entreprises tels que la Sir, la Sodefor, le Port d’Abidjan… Nonobstant la conjoncture économique qui a sévi dans les années 80, Félix Houphouët-Boigny a réussi à maintenir le cap jusqu’à son décès en 1993. L’œuvre humaine n’étant pas parfaite, le premier président de la Côte d’Ivoire a dû, sans nul doute, pécher bien des fois dans sa gestion. Mais force est de reconnaitre que son règne est inégalable. Il n’est pas superflu de mentionner que la paix qui était une seconde religion pour le pays fut préservée . Henri Konan Bédié a poursuivi la vision du père de la nation. Avec les 12 chantiers de l’Eléphant d’ Afrique, il a réussi à faire avancer d’un autre cran la Côte d’Ivoire. Malheureusement, il fut à mi-parcours invincé du pouvoir par un coup d’Etat. Symphonie inachevée, pourrait-on dire. Après cette transition honteuse pour ce pays qui se veut un havre de paix, arrive hélas ! le règne sous la refondation. Les conditions de l’accession de ces frontistes à la tête du pays était un signe prémonitoire que les ivoiriens ont négligé.
Les 10 ans de règne du Fpi
De mémoire d’ivoirien, la Côte d’Ivoire n’a connu aucune période aussi sombre et ténébreuse que celle que le pays vit actuellement sous le Fpi. Une décennie marquée par une série de malheurs dans tous les secteurs de la vie sociale. En véritables amateurs dans la gestion des affaires de l’Etat, le Fpi a fait basculer le pays dans le gouffre. Les crimes, les malversations et autres mauvaises actions à leur actif sont innombrables. A cela s’ajoute La xénophobie, le tribalisme qui a porté un coup de massue à la cohésion sociale au sein de ce peuple qui a une culture de la paix. Diviser pour mieux régner est le leitmotiv qu’ils défendent. Malheureusement, ils l’on réussi avec brio. Conséquence, la guerre qui a divisé le pays depuis 2002. Les refondateurs ont enrichi ce palmarès sombre par les détournements des deniers publics, l’enrichissement illicite. Ces forfaits des frontistes se voient dans le pays avec la chute des entreprises étatiques telle que la Sir. L’ivoirien n’a jamais été aussi pauvre et misérable que dans cette décennie maudite sous la refondation.
La Côte d’Ivoire, de la lumière aux ténèbres
Ce slogan sied bien à la situation de délestage que connaît le pays tout entier. Les ivoiriens n’en reviennent pas. Comment un pays qui est fournisseur d’énergie électrique à des pays de la sous-région ouest-africaine peut imposer à ces habitants, la consommation de façon alternée du courant électrique. Hélas, c’est la réalité que vit le pays pour la simple raison qu’il a eu tort de remettre son sort à un pouvoir de malheur. La Côte d’Ivoire va mal, dira l’artiste. Nous dirons plutôt que le pays va de mal en pis. La saignée causée par le Fpi est grande et le pays fonce tout droit vers l’enfer.
JN