Le Président de la FIFA, Joseph S. Blatter, s'est montré très élogieux à l'égard des organisateurs sud-africains à l'occasion de la cérémonie spéciale organisée à Durban marquant les cent derniers jours avant le coup d'envoi de la toute première Coupe du Monde de la FIFA sur le sol africain, le 11 juin prochain.
Durant sa visite dans le nouveau stade de Durban, qui sera notamment le théâtre d'une demi-finale, le Président de la FIFA s'est dit impressionné par les installations. Le stade est en effet déjà considéré comme l'un des meilleurs du continent africain.
Outre Blatter, plusieurs personnalités dont Issa Hayatou, président de la Caf, ont participé à la cérémonie. Pendant la conférence de presse organisée dans le stade, le Président Blatter a abordé différents sujets et renouvelé son soutien à l'Afrique du Sud, qui entre désormais dans une période cruciale pour les préparatifs du plus grand événement sportif planétaire.
La Coupe du Monde en Afrique, une histoire d'amour
La Coupe du Monde en Afrique, c'est une histoire d'amour. Cette idylle entre le continent africain et moi-même a commencé alors que j'étais directeur technique de la FIFA. La route a été longue, mais elle a été parcourue avec confiance, assurance et avec patience. Quand ce pays a été désigné pour organiser la Coupe du Monde de la FIFA, il restait beaucoup de chemin à faire. Nous avons dû convaincre les gens qu'un jour, nous rendrions quelque chose à l'Afrique, elle qui a tant donné au monde et au football. Je suis très fier et très heureux que cette romance se conclue par un "mariage". Seuls cent jours nous séparent de l'heureux événement, mais cette histoire remonte au 17 mai 1998. Je me présentais alors pour la première fois à la présidence de la FIFA et j'ai déclaré : "Nous devons faire une Coupe du Monde en Afrique". C'est pour cela que je parle de patience. La première candidature de l'Afrique du Sud, en 2000, a été rejetée d'une voix au profit de l'Allemagne. Mais en 2004, avec patience et persévérance, vous avez gagné le droit d'organiser la Coupe du Monde.
Au sujet des doutes
et du scepticisme
Pourquoi certaines personnes ne croient-elles pas en ce rêve ? Voyons déjà comment se déroule la Coupe du Monde et nous en reparlerons fin juillet. Certains ont émis des réserves, mais nous n'avons jamais douté. Nous n'avons jamais eu de regrets, nous n'avons jamais remis notre décision en question.
Au sujet de l'héritage
pour l'Afrique
Nous avons toujours affirmé que cette Coupe du Monde devait laisser et laisserait un héritage au continent africain. Plusieurs projets vont dans ce sens, comme le programme "Gagner en Afrique avec l'Afrique". La FIFA y a investi 70 millions de dollars pour différentes initiatives, comme la pose de pelouses artificielles sur tout le continent. Il y a également les centres Football for Hope dans de nombreux pays africains, à commencer par l'Afrique du Sud, avec un splendide centre Football for Hope à Khayelitsha (Le Cap).
Source fifa.com
Durant sa visite dans le nouveau stade de Durban, qui sera notamment le théâtre d'une demi-finale, le Président de la FIFA s'est dit impressionné par les installations. Le stade est en effet déjà considéré comme l'un des meilleurs du continent africain.
Outre Blatter, plusieurs personnalités dont Issa Hayatou, président de la Caf, ont participé à la cérémonie. Pendant la conférence de presse organisée dans le stade, le Président Blatter a abordé différents sujets et renouvelé son soutien à l'Afrique du Sud, qui entre désormais dans une période cruciale pour les préparatifs du plus grand événement sportif planétaire.
La Coupe du Monde en Afrique, une histoire d'amour
La Coupe du Monde en Afrique, c'est une histoire d'amour. Cette idylle entre le continent africain et moi-même a commencé alors que j'étais directeur technique de la FIFA. La route a été longue, mais elle a été parcourue avec confiance, assurance et avec patience. Quand ce pays a été désigné pour organiser la Coupe du Monde de la FIFA, il restait beaucoup de chemin à faire. Nous avons dû convaincre les gens qu'un jour, nous rendrions quelque chose à l'Afrique, elle qui a tant donné au monde et au football. Je suis très fier et très heureux que cette romance se conclue par un "mariage". Seuls cent jours nous séparent de l'heureux événement, mais cette histoire remonte au 17 mai 1998. Je me présentais alors pour la première fois à la présidence de la FIFA et j'ai déclaré : "Nous devons faire une Coupe du Monde en Afrique". C'est pour cela que je parle de patience. La première candidature de l'Afrique du Sud, en 2000, a été rejetée d'une voix au profit de l'Allemagne. Mais en 2004, avec patience et persévérance, vous avez gagné le droit d'organiser la Coupe du Monde.
Au sujet des doutes
et du scepticisme
Pourquoi certaines personnes ne croient-elles pas en ce rêve ? Voyons déjà comment se déroule la Coupe du Monde et nous en reparlerons fin juillet. Certains ont émis des réserves, mais nous n'avons jamais douté. Nous n'avons jamais eu de regrets, nous n'avons jamais remis notre décision en question.
Au sujet de l'héritage
pour l'Afrique
Nous avons toujours affirmé que cette Coupe du Monde devait laisser et laisserait un héritage au continent africain. Plusieurs projets vont dans ce sens, comme le programme "Gagner en Afrique avec l'Afrique". La FIFA y a investi 70 millions de dollars pour différentes initiatives, comme la pose de pelouses artificielles sur tout le continent. Il y a également les centres Football for Hope dans de nombreux pays africains, à commencer par l'Afrique du Sud, avec un splendide centre Football for Hope à Khayelitsha (Le Cap).
Source fifa.com
