En marge de l’inauguration de la salle de rédaction Thiam Belafonte, hier en fin de matinée à Sol béni, Me Roger Ouégnin, le président du Conseil d’administration de l’Asec , a accepté de se pencher sur les sujets brûlants de l’heure.
Me Ouégnin, on vous a vu monter au front ces derniers temps en compagnie d’autres présidents de clubs, qu’est-ce qui explique cette situation ?
J’ai simplement voulu avec les présidents de clubs, attirer l’attention, afin d’aider ceux qui ont la gestion de notre football. Nous avons voulu avoir un autre son de cloche, en espérant que ça va les aider dans la lourde tâche, qu’ils ont. Et leur dire, qu’on est avec eux et c’est nous, qui les avons élu pour aider ce sport-là. Nous étions inquiets de la tournure des évènements. Et nous leur avons dit ce que nous pensons de la situation, car il y a des choses à rectifier.
Qu’est-ce qu’il y a à rectifier?
Il y a beaucoup de choses à rectifier. Nous avons eu une grande conversation avec le président de la fédération, qui est d’accord avec nous sur beaucoup de choses.
L’entrée de présidents de club à la Ligue professionnelle a-t-elle résolue votre problème ?
En ma qualité de président d’honneur de la Conférence des présidents, j’ai la possibilité de dire qu’il est important que les présidents de clubs soient beaucoup plus proches de la Ligue professionnelle. Nous voulons donner une nouvelle orientation et nous voulons être au cœur du débat. Qu’est-ce que cela va apporter ? Mais cela va dépendre de ceux qui ont été désigné pour entrer. Nous leur avons dit qu’il ne s’agit pas de rentrer, mais ils doivent pouvoir appréhender tous les problèmes et proposer des choses sérieuses, en se référant à la base.
l Nous avons aussi appris que vous devez faire partie du prochain comité exécutif de la Fif. Et que vous pourriez vous occuper de l’équipe nationale sénior.
Ce n’est pas ça mon ambition. Il faut laisser les choses se dire. Pour l’instant, je suis maître Roger Ouégnin, avocat au barreau de Côte d’Ivoire. Et à ce barreau-là, j’ai été élevé au rang de commandeur de l’ordre national.
Quelle est donc votre ambition ?
C’est de voir l’équipe nationale grandir et de servir mon pays.
On raconte aussi que vous militez pour le retour de Philippe Troussier à la tête des Eléphants ?
On m’a demandé mon avis, j’ai donné mon avis.
Quel est cet avis ?
(Rires) Je l’ai communiqué à ceux qui me l’ont demandé.
Troussier est-il l’homme de la situation chez les Eléphants ?
Troussier est capable. Je sais pourquoi je le dis.
Jean Marc Guillou est aussi candidat au poste d’entraîneur des Eléphants.
Ceux qui ont réussi sa candidature décideront. Mais ils savent ce que je pense de cette candidature.
Que pensez-vous de cette candidature ?
Ceux qui l’ont réussie le savent. Moi, je l’ai mis à l’essai à l’Asec. C’est vrai, c’est un très bon formateur. Mais coacher une équipe nationale, ce n’est pas faire des matches de gala.
On parle aussi de Guus Hiddink.
Je le connais à travers les médias. Je ne le connais pas personnellement.
Selon vous quel est le profil du futur entraîneur de la Côte d’Ivoire ?
C’est celui qui sent bien les choses en Côte d’Ivoire. Tirez-vous même les leçons.
Votre équipe ne marche pas bien en ce début de saison. Qu’est-ce qui ne va pas ?
C’est vrai, nous ne sommes pas très bien en ce moment. Nous avons quelques inquiétudes. Il appartient à l’entraîneur et à ses joueurs de gommer ces inquiétudes-là.
Maxime Gouaméné est – il menacé ?
Moi, je ne menace pas mes entraîneurs comme ça. Je prends le temps de les aider. Je les soutiens. Ils ont besoin d’être soutenus.
Interview réalisée par Choilio Diomandé
Me Ouégnin, on vous a vu monter au front ces derniers temps en compagnie d’autres présidents de clubs, qu’est-ce qui explique cette situation ?
J’ai simplement voulu avec les présidents de clubs, attirer l’attention, afin d’aider ceux qui ont la gestion de notre football. Nous avons voulu avoir un autre son de cloche, en espérant que ça va les aider dans la lourde tâche, qu’ils ont. Et leur dire, qu’on est avec eux et c’est nous, qui les avons élu pour aider ce sport-là. Nous étions inquiets de la tournure des évènements. Et nous leur avons dit ce que nous pensons de la situation, car il y a des choses à rectifier.
Qu’est-ce qu’il y a à rectifier?
Il y a beaucoup de choses à rectifier. Nous avons eu une grande conversation avec le président de la fédération, qui est d’accord avec nous sur beaucoup de choses.
L’entrée de présidents de club à la Ligue professionnelle a-t-elle résolue votre problème ?
En ma qualité de président d’honneur de la Conférence des présidents, j’ai la possibilité de dire qu’il est important que les présidents de clubs soient beaucoup plus proches de la Ligue professionnelle. Nous voulons donner une nouvelle orientation et nous voulons être au cœur du débat. Qu’est-ce que cela va apporter ? Mais cela va dépendre de ceux qui ont été désigné pour entrer. Nous leur avons dit qu’il ne s’agit pas de rentrer, mais ils doivent pouvoir appréhender tous les problèmes et proposer des choses sérieuses, en se référant à la base.
l Nous avons aussi appris que vous devez faire partie du prochain comité exécutif de la Fif. Et que vous pourriez vous occuper de l’équipe nationale sénior.
Ce n’est pas ça mon ambition. Il faut laisser les choses se dire. Pour l’instant, je suis maître Roger Ouégnin, avocat au barreau de Côte d’Ivoire. Et à ce barreau-là, j’ai été élevé au rang de commandeur de l’ordre national.
Quelle est donc votre ambition ?
C’est de voir l’équipe nationale grandir et de servir mon pays.
On raconte aussi que vous militez pour le retour de Philippe Troussier à la tête des Eléphants ?
On m’a demandé mon avis, j’ai donné mon avis.
Quel est cet avis ?
(Rires) Je l’ai communiqué à ceux qui me l’ont demandé.
Troussier est-il l’homme de la situation chez les Eléphants ?
Troussier est capable. Je sais pourquoi je le dis.
Jean Marc Guillou est aussi candidat au poste d’entraîneur des Eléphants.
Ceux qui ont réussi sa candidature décideront. Mais ils savent ce que je pense de cette candidature.
Que pensez-vous de cette candidature ?
Ceux qui l’ont réussie le savent. Moi, je l’ai mis à l’essai à l’Asec. C’est vrai, c’est un très bon formateur. Mais coacher une équipe nationale, ce n’est pas faire des matches de gala.
On parle aussi de Guus Hiddink.
Je le connais à travers les médias. Je ne le connais pas personnellement.
Selon vous quel est le profil du futur entraîneur de la Côte d’Ivoire ?
C’est celui qui sent bien les choses en Côte d’Ivoire. Tirez-vous même les leçons.
Votre équipe ne marche pas bien en ce début de saison. Qu’est-ce qui ne va pas ?
C’est vrai, nous ne sommes pas très bien en ce moment. Nous avons quelques inquiétudes. Il appartient à l’entraîneur et à ses joueurs de gommer ces inquiétudes-là.
Maxime Gouaméné est – il menacé ?
Moi, je ne menace pas mes entraîneurs comme ça. Je prends le temps de les aider. Je les soutiens. Ils ont besoin d’être soutenus.
Interview réalisée par Choilio Diomandé
