En prélude au salon de la coopération sud-sud qui se tiendra du 14 au 18 avril 2010 au Vitib (Village des Technologies de l’Information et de la Biotechnologie) à Grand-Bassam, le cabinet Africa Invest Concept S.A a organisé le lundi 8 mars 2010 une conférence de presse à Novotel Hôtel, pour situer les enjeux dudit salon.
Selon M. Raymond Sibally, Commissaire général du 1er salon de la coopération sud-sud, cet événement offrira des opportunités d’affaires aux pays africains. Une exposition des technologies des pays émergents notamment l’Afrique du Sud, le Brésil, la Corée du sud, la Chine, l’Inde, l’Arabie Saoudite, le Qatar, Koweït peuvent fortement contribuer au développement économique et industriel du continent. Sont attendues à ce salon, 60 entreprises en provenance des pays émergeants, 240 de l’Afrique de l’ouest, 200 de l’Afrique centrale ainsi que les institutions financières des Emirats du Golf persique. Toutes les branches d’activités liées aux secteurs extractifs et de transformation, d’agro-industrie, constructions immobilières et mécaniques, eau, énergies, infrastructures, recherches et développement, santé, environnement, Technologies d’information et de la communication, transport sont visées. M. Raymond Sibally a souligné qu’en marge du salon, une conférence tripartite réunissant des financiers internationaux, des pays africains, est prévue. Cette rencontre vise selon lui, à aider à formuler des propositions alternatives à la requête de d’Etat pour des emprunts extérieurs que des opérateurs privés ou publics africains voudraient effectuer en vue d’investissement pour le développement. A en croire le commissaire général, la plupart des pays africains sont sous programme d’ajustement avec le FMI ou la Banque Mondiale dans le cadre de l’initiative PPTE en vue de l’annulation de leurs dettes. Or, poursuit-il, « pendant la période d’examen de leurs efforts de mise en conformité avec les exigences de l’initiative, ces pays s’abstiennent totalement d’investir en attendant l’annulation de leurs dettes ». Avant de relever les insuffisances du continent africain » : L’Afrique malgré ses potentialités demeure le dernier des continents au monde », a-t-il déploré. C’est pourquoi il importe à travers ce salon de répondre à cette préoccupation.
AK
Selon M. Raymond Sibally, Commissaire général du 1er salon de la coopération sud-sud, cet événement offrira des opportunités d’affaires aux pays africains. Une exposition des technologies des pays émergents notamment l’Afrique du Sud, le Brésil, la Corée du sud, la Chine, l’Inde, l’Arabie Saoudite, le Qatar, Koweït peuvent fortement contribuer au développement économique et industriel du continent. Sont attendues à ce salon, 60 entreprises en provenance des pays émergeants, 240 de l’Afrique de l’ouest, 200 de l’Afrique centrale ainsi que les institutions financières des Emirats du Golf persique. Toutes les branches d’activités liées aux secteurs extractifs et de transformation, d’agro-industrie, constructions immobilières et mécaniques, eau, énergies, infrastructures, recherches et développement, santé, environnement, Technologies d’information et de la communication, transport sont visées. M. Raymond Sibally a souligné qu’en marge du salon, une conférence tripartite réunissant des financiers internationaux, des pays africains, est prévue. Cette rencontre vise selon lui, à aider à formuler des propositions alternatives à la requête de d’Etat pour des emprunts extérieurs que des opérateurs privés ou publics africains voudraient effectuer en vue d’investissement pour le développement. A en croire le commissaire général, la plupart des pays africains sont sous programme d’ajustement avec le FMI ou la Banque Mondiale dans le cadre de l’initiative PPTE en vue de l’annulation de leurs dettes. Or, poursuit-il, « pendant la période d’examen de leurs efforts de mise en conformité avec les exigences de l’initiative, ces pays s’abstiennent totalement d’investir en attendant l’annulation de leurs dettes ». Avant de relever les insuffisances du continent africain » : L’Afrique malgré ses potentialités demeure le dernier des continents au monde », a-t-il déploré. C’est pourquoi il importe à travers ce salon de répondre à cette préoccupation.
AK
