Le plus vieux parti politique de Côte d'Ivoire (le Pdci) de feu Félix Houphouët-Boigny est au bord de l'implosion à Yamoussoukro. Plus rien ne va entre les enfants d'une même famille. La démocratie à l'intérieur étant méconnue d'eux. Depuis mercredi dernier, un haut responsable de ce parti, croupit derrière les barreaux du 1er arrondissement de la cité des Lacs. En effet, dame N'dri Amani, connue sous l'appellation de " Miss Amani ", a maille à partir avec son délégué départemental, Kouacou Gnrangbé Jean. Ce dernier, l'a mise aux arrêts. Pour avoir protesté contre la destruction de son maquis buvette, sis au quartier Sopim. Des informations recueillies, font état de ce que Dame Amani, constatant sa seule source de revenu détruite, s'en est prise violemment aux agents de la mairie.
Scandant "Pdci, qu'est-ce que je vous ai fait ?". Non content à son tour, Gnrangbé Jean, par ailleurs maire de la commune de Yamoussoukro, aurait intimé l'ordre aux agents de l'ordre de l'arrêter. Ce qui fut fait mercredi aux environs de 10 heures. Elle était tombée dans les pommes, mercredi soir avant de retrouver ses esprits après avoir été transférée aux urgences de l'hôpital régional. Sous l'oeil vigilant de deux agents de police postés à la porte de la salle des urgences. A charge pour eux de la ramener vers 23 heures, dans la nuit du mercredi à jeudi, dans les locaux du Commissariat. Aux dernières nouvelles, Dame Amani a recouvré la liberté à 17 heures. Rappelons à toutes fins utiles que Miss Amani est également présidente fondatrice du mouvement citoyenne unie pour Bédié, chargée de communication de l'Ufpdci et de la Jpdci de Yamoussoukro. Si l'argument de maquis buvette est celui avancé par l'opinion à Yamoussoukro, il n'en demeure pas moins que des voix anonymes annoncent que ce serait une rivalité entre le clan Charles Konan Banny, l'ex-premier ministre et celui de Gnrangbé Jean. Qui est à la tête du Pdci dans la cité des Lacs. En fait, selon des sources bien introduites, Miss Amani qui a pris fait et cause pour Charles Konan Banny n'est plus la bienvenue chez le délégué départemental. L'accusant d'être à la solde de son "adversaire". L’affaire traduit le mal profond qui risque de conduire à l'implosion le vieux parti à Yamoussoukro.
Toussaint N'Gotta
Scandant "Pdci, qu'est-ce que je vous ai fait ?". Non content à son tour, Gnrangbé Jean, par ailleurs maire de la commune de Yamoussoukro, aurait intimé l'ordre aux agents de l'ordre de l'arrêter. Ce qui fut fait mercredi aux environs de 10 heures. Elle était tombée dans les pommes, mercredi soir avant de retrouver ses esprits après avoir été transférée aux urgences de l'hôpital régional. Sous l'oeil vigilant de deux agents de police postés à la porte de la salle des urgences. A charge pour eux de la ramener vers 23 heures, dans la nuit du mercredi à jeudi, dans les locaux du Commissariat. Aux dernières nouvelles, Dame Amani a recouvré la liberté à 17 heures. Rappelons à toutes fins utiles que Miss Amani est également présidente fondatrice du mouvement citoyenne unie pour Bédié, chargée de communication de l'Ufpdci et de la Jpdci de Yamoussoukro. Si l'argument de maquis buvette est celui avancé par l'opinion à Yamoussoukro, il n'en demeure pas moins que des voix anonymes annoncent que ce serait une rivalité entre le clan Charles Konan Banny, l'ex-premier ministre et celui de Gnrangbé Jean. Qui est à la tête du Pdci dans la cité des Lacs. En fait, selon des sources bien introduites, Miss Amani qui a pris fait et cause pour Charles Konan Banny n'est plus la bienvenue chez le délégué départemental. L'accusant d'être à la solde de son "adversaire". L’affaire traduit le mal profond qui risque de conduire à l'implosion le vieux parti à Yamoussoukro.
Toussaint N'Gotta
