Tout comme les autres pays du monde entier, la Côte d’Ivoire a célébré hier, la journée mondiale du rein. Ce fut l’occasion pour les autorités d’inciter les populations à se « prévenir contre l’insuffisance rénale ».
L’insuffisance rénale est un réel problème de santé publique en Côte d’Ivoire et dans plusieurs pays en voie de développement. Les autorités politiques et sanitaires ivoiriennes qui avaient déjà perçu l’impact négatif de cette maladie sur la population dès les années 1970 n’ont pu mieux faire que de subventionner la dialyse dans les centres publics. Trois centres de dialyse à cet effet, ont été crées dans les CHU d’Abidjan. La transplantation rénale devant à terme, déboucher sur la réalisation de la greffe rénale est toujours en cours d’étude. Mais pour le gouvernement, le plus important « n’est pas la dialyse ou la transplantation rénale ». « L’essentiel de la lutte contre cette maladie réside dans la prévention car l’insuffisance rénale peut être évitée », a déclaré, le ministre de la Santé et de l’Hygiène publique Eugène Aka Aouélé, dans un message. Hier, lors de la manifestation officielle qui s’est déroulée dans l’enceinte de l’Eglise Notre Dame de Trechville, les autorités sanitaires avec en premier rang le ministre Aka Aouélé ont appelé les uns et les autres à se rapprocher des agents de santé pour « un dépistage précoce de toute maladie qui, à plus ou moins long terme, pourrait entraîner une insuffisance rénale ».
T. Beugré
L’insuffisance rénale est un réel problème de santé publique en Côte d’Ivoire et dans plusieurs pays en voie de développement. Les autorités politiques et sanitaires ivoiriennes qui avaient déjà perçu l’impact négatif de cette maladie sur la population dès les années 1970 n’ont pu mieux faire que de subventionner la dialyse dans les centres publics. Trois centres de dialyse à cet effet, ont été crées dans les CHU d’Abidjan. La transplantation rénale devant à terme, déboucher sur la réalisation de la greffe rénale est toujours en cours d’étude. Mais pour le gouvernement, le plus important « n’est pas la dialyse ou la transplantation rénale ». « L’essentiel de la lutte contre cette maladie réside dans la prévention car l’insuffisance rénale peut être évitée », a déclaré, le ministre de la Santé et de l’Hygiène publique Eugène Aka Aouélé, dans un message. Hier, lors de la manifestation officielle qui s’est déroulée dans l’enceinte de l’Eglise Notre Dame de Trechville, les autorités sanitaires avec en premier rang le ministre Aka Aouélé ont appelé les uns et les autres à se rapprocher des agents de santé pour « un dépistage précoce de toute maladie qui, à plus ou moins long terme, pourrait entraîner une insuffisance rénale ».
T. Beugré
