« La JPDCI et les élections générales de 2010 » ; tel est le thème central sur lequel Kouadio Konan Bertin et ses amis ont réfléchi au cours de leurs travaux. C’est par un hommage appuyé aux victimes des balles assassines de Laurent Gbagbo que KKB a ouvert son message de bienvenue. Il l’a axé autour de deux points essentiels à savoir, l’analyse de la situation sociopolitique et les attentes de la jeunesse du Pdci-rda. Pour le président de la Jpdci, cette Assemblée générale se veut une AG de remobilisation « … dans la mesure où, il s’agit pour la jeunesse de notre parti, face à la situation sociopolitique actuelle, de se mettre en ordre de bataille pour mener avec succès le combat de la libération de la Côte d’Ivoire à travers la victoire de notre leader, le candidat Henri Konan Bédié » a-t-il précisé. Au chapitre de l’analyse de la situation sociopolitique, KKB a fait remarquer que depuis le déclenchement de la crise, tous les accords signés ont unanimement reconnu la nécessité des élections pour la sortie de crise. Il a fait le constat selon lequel ces élections, appelées de tous les vœux, tardent à venir du fait du cynisme de Laurent Gbagbo et sa minorité présidentielle. Le président de la Jpdci a estimé que tout ce qui se passe n’est rien d’autre qu’une prise en otage du pays par Gbagbo et sa clique. Conséquence, la Côte d’Ivoire plonge tout droit dans les abîmes avec tous les clignotants au rouge. Le premier responsable de la jeunesse du Pdci estime que la refondation est un « opium du peuple » parce qu’elle est un échec cuisant à tout point de vue. Devant ce sombre tableau du pays que lui a peint la refondation, la Jpdci s’interroge sur la démarche à tenir :
-Allons-nous encore continuer de subir les tocades et les lubies de Laurent Gbagbo et son clan ?
-Allons-nous regarder les refondateurs ruiner la belle Côte d’Ivoire que nous ont léguée nos pères ?
-Allons-nous rester les bras croisés pendant que notre pays brûle par la faute d’une minorité bruyante qui a décidé d’y mettre le feu dès que la population refuse sa dictature ?
-Que faire face à une telle situation.
En effet, Kouadio Konan Bertin et ses amis n’ont pas mis du temps pour trouver la réponse appropriée à toutes ces interrogations. Ainsi l’AGO a invité la classe politique à laisser les mains libres à la CEI pour travailler à la promulgation de la date définitive des élections, le traitement équitable de tous les partis par la RTI, que les FDS observent une attitude républicaine etc. Pour l’obtention de ces résultats, KKB et ses amis ont estimé qu’il faut se battre sans relâche à tous les niveaux. Il faut souligner que le président de la Jpdci a remonté les bretelles à toute la jeunesse pour les futures batailles qui s’annoncent âpres.
Rodolphe Flaha
-Allons-nous encore continuer de subir les tocades et les lubies de Laurent Gbagbo et son clan ?
-Allons-nous regarder les refondateurs ruiner la belle Côte d’Ivoire que nous ont léguée nos pères ?
-Allons-nous rester les bras croisés pendant que notre pays brûle par la faute d’une minorité bruyante qui a décidé d’y mettre le feu dès que la population refuse sa dictature ?
-Que faire face à une telle situation.
En effet, Kouadio Konan Bertin et ses amis n’ont pas mis du temps pour trouver la réponse appropriée à toutes ces interrogations. Ainsi l’AGO a invité la classe politique à laisser les mains libres à la CEI pour travailler à la promulgation de la date définitive des élections, le traitement équitable de tous les partis par la RTI, que les FDS observent une attitude républicaine etc. Pour l’obtention de ces résultats, KKB et ses amis ont estimé qu’il faut se battre sans relâche à tous les niveaux. Il faut souligner que le président de la Jpdci a remonté les bretelles à toute la jeunesse pour les futures batailles qui s’annoncent âpres.
Rodolphe Flaha
