Les palabres et incriminations de toute sorte commencent à refaire surface dans la filière café-cacao. Le temps, dans ses investigations a découvert ceux qui tirent les ficelles.
Face aux palabres qui enflaient dans la filière café-cacao juste après l'éclatement de la crise du 19 septembre 2002, le Président Laurent Gbagbo qui a remis la gestion de cette structure des deux mamelles nourricières de l'Economie ivoirienne disait que : " l'argent n'aime pas le bruit ". Malheureusement, alors qu'on croyait que ce grand bruit nocif et nauséeux avait pris fin, avec le coup de massue du procureur de la République Tchimou Raymond Fehou, dans les rangs des anciens barrons en charge de la filière café-cacao, les querelles et la guéguerre par procuration ont repris. On dirait tout simplement que les " démons " sont de retour, avec pour mission et objectif de salir au maximum les actuels dirigeants du Comité de gestion de la filière café et cacao (Cgfcc), principalement Gilbert Anoh N'guessan et certains de ses collaborateurs qui ont été désignés par le Président de la République, Sem Laurent Gbagbo, pour non seulement gérer la filière café-cacao, mais aussi pour porter la réforme. La campagne menée dans ce sens, depuis la Maison d'arrêt et de correction d'Abidjan (Maca) a été enclenchée par M. Kassy Ignace, ancien administrateur du Fonds de développement et de promotion de l'activité des producteurs café-cacao (Fpdcc) fidèle parmi les fidèles d'Henri Kassy Amouzou. Mais aussi et surtout actuel Pca de Forex-ci Sa. Cette dernière est une société anonyme spécialisée dans le forage hydraulique et appartenant à 94,83% au Fdpcc. Société moribonde avec une dette colossale de 2 milliards. M. Kassy Ignace reproche au Comité de gestion d'avoir non seulement surfacturé l'acquisition d'un parc d'engins pour l'entretien des pistes rurales dans les zones de production de café et de cacao, au nom du conseil de gestion, via Forex-ci Sa et de n'avoir pas mis à sa disposition, ce parc d'engins. Aussi, les auteurs de la campagne insidieuse reprochent au Président du Conseil de gestion d'avoir liquidé Cori-sa une autre filiale du Fdpcc. Mais aussi et surtout, son refus de financer près de 2000 coopératives. La même trompette sera par la suite embouchée par un trouble-fête, Bilé Bilé dont le seul mérite est d'avoir un jour défoncé les portes de l'ex- Fdpcc, du temps de Amouzou, pour s'installer pendant quelques heures avec le soutien des hommes en armes. Passé le temps, Bilé- Bilé a fini par se réconcilier avec Amouzou à qui, il rend compte régulièrement à la Maca. En plus, d'autres personnes bien connues dans la filière sont citées comme étant le cerveau de cette fronde contre Gilbert Anoh. Au nombre de celles-ci, on cite Dally Koffi, Zogbo Raphaël, Dacoury, Kotia, Djaman tous anciens de l'Anaproci et conseillés par leur Avocat Me Boa Olivier qui aurait déjà présenté à la société Forexi-sa une facture d'avance d'honoraires de 195 millions, payable immédiatement. Il faut le dire, ces accusations selon les personnalités incriminées, visent à les salir et les présenter comme des personnes corrompues aux yeux de l'opinion nationale et internationale, précisément auprès des institutions de Bretton woods. D'autres observateurs, c'est-à-dire, ceux qui sont très au fait de la réforme dont le contenu sera bientôt rendu public, estiment que le regain de gesticulations est l'œuvre de personnes qui cherchent à se faire caser dans le nouveau schéma. Pis, elles voudraient que le Comité de gestion sorte des milliards de Fcfa comme par le passé pour financer des coopératives fictives. On se rappelle qu'au temps d'Amouzou, plus de 1800 coopératives essentiellement fictives dont certaines montées par des anciens bagnards, avaient bénéficié de financement d'un montant de 18 milliards de Fcfa jamais remboursés. Avant de faire la précision suivante : " Le comité soumet mensuellement au ministère de l'Economie et des Finances et aux bailleurs de fonds des états financiers résumant sa gestion à lui confiés dans le cadre de sa mission. Des états financiers trimestriels sont également transmis au conseil des ministres. Ce, conformément aux termes du décrets N° 2008-260 du 19 septembre 2008" (demain les chiffres de l'acquisition du parc engin et les fonds de caisses à la l'arrivée du Cgfcc).
Bamba Mafoumgbé
bamaf2000@yahoo.fr
Face aux palabres qui enflaient dans la filière café-cacao juste après l'éclatement de la crise du 19 septembre 2002, le Président Laurent Gbagbo qui a remis la gestion de cette structure des deux mamelles nourricières de l'Economie ivoirienne disait que : " l'argent n'aime pas le bruit ". Malheureusement, alors qu'on croyait que ce grand bruit nocif et nauséeux avait pris fin, avec le coup de massue du procureur de la République Tchimou Raymond Fehou, dans les rangs des anciens barrons en charge de la filière café-cacao, les querelles et la guéguerre par procuration ont repris. On dirait tout simplement que les " démons " sont de retour, avec pour mission et objectif de salir au maximum les actuels dirigeants du Comité de gestion de la filière café et cacao (Cgfcc), principalement Gilbert Anoh N'guessan et certains de ses collaborateurs qui ont été désignés par le Président de la République, Sem Laurent Gbagbo, pour non seulement gérer la filière café-cacao, mais aussi pour porter la réforme. La campagne menée dans ce sens, depuis la Maison d'arrêt et de correction d'Abidjan (Maca) a été enclenchée par M. Kassy Ignace, ancien administrateur du Fonds de développement et de promotion de l'activité des producteurs café-cacao (Fpdcc) fidèle parmi les fidèles d'Henri Kassy Amouzou. Mais aussi et surtout actuel Pca de Forex-ci Sa. Cette dernière est une société anonyme spécialisée dans le forage hydraulique et appartenant à 94,83% au Fdpcc. Société moribonde avec une dette colossale de 2 milliards. M. Kassy Ignace reproche au Comité de gestion d'avoir non seulement surfacturé l'acquisition d'un parc d'engins pour l'entretien des pistes rurales dans les zones de production de café et de cacao, au nom du conseil de gestion, via Forex-ci Sa et de n'avoir pas mis à sa disposition, ce parc d'engins. Aussi, les auteurs de la campagne insidieuse reprochent au Président du Conseil de gestion d'avoir liquidé Cori-sa une autre filiale du Fdpcc. Mais aussi et surtout, son refus de financer près de 2000 coopératives. La même trompette sera par la suite embouchée par un trouble-fête, Bilé Bilé dont le seul mérite est d'avoir un jour défoncé les portes de l'ex- Fdpcc, du temps de Amouzou, pour s'installer pendant quelques heures avec le soutien des hommes en armes. Passé le temps, Bilé- Bilé a fini par se réconcilier avec Amouzou à qui, il rend compte régulièrement à la Maca. En plus, d'autres personnes bien connues dans la filière sont citées comme étant le cerveau de cette fronde contre Gilbert Anoh. Au nombre de celles-ci, on cite Dally Koffi, Zogbo Raphaël, Dacoury, Kotia, Djaman tous anciens de l'Anaproci et conseillés par leur Avocat Me Boa Olivier qui aurait déjà présenté à la société Forexi-sa une facture d'avance d'honoraires de 195 millions, payable immédiatement. Il faut le dire, ces accusations selon les personnalités incriminées, visent à les salir et les présenter comme des personnes corrompues aux yeux de l'opinion nationale et internationale, précisément auprès des institutions de Bretton woods. D'autres observateurs, c'est-à-dire, ceux qui sont très au fait de la réforme dont le contenu sera bientôt rendu public, estiment que le regain de gesticulations est l'œuvre de personnes qui cherchent à se faire caser dans le nouveau schéma. Pis, elles voudraient que le Comité de gestion sorte des milliards de Fcfa comme par le passé pour financer des coopératives fictives. On se rappelle qu'au temps d'Amouzou, plus de 1800 coopératives essentiellement fictives dont certaines montées par des anciens bagnards, avaient bénéficié de financement d'un montant de 18 milliards de Fcfa jamais remboursés. Avant de faire la précision suivante : " Le comité soumet mensuellement au ministère de l'Economie et des Finances et aux bailleurs de fonds des états financiers résumant sa gestion à lui confiés dans le cadre de sa mission. Des états financiers trimestriels sont également transmis au conseil des ministres. Ce, conformément aux termes du décrets N° 2008-260 du 19 septembre 2008" (demain les chiffres de l'acquisition du parc engin et les fonds de caisses à la l'arrivée du Cgfcc).
Bamba Mafoumgbé
bamaf2000@yahoo.fr