Les obsèques de Criwa Zéli Paulin, président de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (Unjci), sont entrées dans la dernière phase. Ses confrères de la presse nationale et internationale lui ont rendu un vibrant hommage, hier, à la maison de la presse (Mpa).
La presse ivoirienne a rendu, hier, à la Maison de la presse (Mpa) au Plateau, un hommage mérité à Criwa Zéli Paulin (CZP), président de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (Unjci), décédé le 2 février dernier. Les journalistes ont, à cet effet, effectué nombreux le déplacement, afin de partager avec leur président ses derniers instants dans le monde des vivants. Organisations et unions de journalistes, syndicats, associations des patrons de presse, organes de régulation de la presse, groupements internationaux des hommes de média, amis et parents du défunt, comme un seul homme, ont salué la mémoire du combattant. Un combat qui a débuté 15 ans auparavant et qui l’a porté à la tête de l’union des journalistes de Côte d’Ivoire après avoir occupé plusieurs postes au sein de l’organisation. « Une vie qui interpelle chacun de nous », a indiqué Zio Moussa, porte-parole du Cnca (Conseil national de la communication audiovisuelle), du Cnp (Conseil national de la presse) et de l’Olped (Observatoire de la liberté de la presse, de l’éthique et de la déontologie). Le chef de l’Etat, Laurent Gbagbo, accompagné d’une forte délégation du gouvernent et de son parti, est venu partager la peine des journalistes. Un ‘’yako’’ (consolation), qui a été perçu par les hommes de média, comme une reconnaissance à leur profession. Mam Camara, président par intérim de l’union, a remercié le chef de l’Etat pour cette compassion. Il a salué « l’application de Criwa à la tâche, qui a fini par séduire et convaincre ses confrères pour le porter à leur tête». De nombreux témoignages sur l’humanisme de Czp, mais et surtout, sur sa volonté à toujours relever de nouveaux défis, ont émerveillé l’assistance. Il avait par exemple, fait de « l’application de la convention collective (qui prévoit une amélioration du salaire des journalistes), selon Guillaume Gbato, son cheval de bataille pour l’année 2010 ». Une lutte pour un journalisme respecté qui ne lui a pas laissé le temps de penser à lui-même. « Je lui ai dit : le combat, c’est pour les vivants », a rappelé Guillaume Gbato, son compagnon de lutte. Dans la fleur de l’âge, Criwa « a traversé le grand fleuve pour atteindre l’autre rive ». Mais, « avec les armes en mains ». Une bataille pour un journalisme d’excellence où les maîtres-mots sont : respect de l’éthique et de la déontologie. Il est prévu, ce soir, un piquet d’honneur à la place Inch’Allah de Koumassi et une veillée traditionnelle. Demain, aura lieu la levée du Corps à Ivosep, à Treichville, suivie d’une messe de requiem à l’église Notre Dame de l’Assomption de Koumassi. C’est à 11 h, qu’aura lieu l’inhumation au cimetière de Williamsville.
Sanou Amadou (stagiaire)
Arrivée de U-Roy à Abidjan
Blue Saphir s’active
A 70 ans, l’artiste jamaïcain U-Roy, sera en concert les 2 et 4 avril prochains, au Palais de la culture et au Parc des sports de Treichville. Légende vivante de la musique reggae, celui qu’on appelle affectueusement ‘’Daddy’’, a choisi la Côte d’Ivoire pour donner son tout premier concert dans un pays d’Afrique francophone. Pour annoncer cet évènement, les responsables de ‘’Blue Saphir’’, structure chargée d’organiser la fête, ont animé un point de presse, vendredi à Cocody. A cette rencontre, ils ont expliqué en détail les modalités pratiques de ce rendez-vous culturel. Pour Kéita Carmen, directrice générale de cette agence, les concerts s’inscrivent dans le cadre d’une série de trois shows reggae qui se tiendront dans la capitale économique ivoirienne. Dénommée ‘’Reggae Old fever’’, c’est une lucarne ouverte aux grands noms de ce genre musical. L’arrivée du ‘’pape du reggae’’, donnera lieu à deux shows exceptionnels avec une technologie de pointe au niveau du son et de la lumière. Les artistes locaux ne seront pas en reste. Ismaël Isaac, Spyrow, Ras Goody Brown et Kajeem seront aux côtés du créateur du style deejay.
Sanou Amadou (stagiaire)
La presse ivoirienne a rendu, hier, à la Maison de la presse (Mpa) au Plateau, un hommage mérité à Criwa Zéli Paulin (CZP), président de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (Unjci), décédé le 2 février dernier. Les journalistes ont, à cet effet, effectué nombreux le déplacement, afin de partager avec leur président ses derniers instants dans le monde des vivants. Organisations et unions de journalistes, syndicats, associations des patrons de presse, organes de régulation de la presse, groupements internationaux des hommes de média, amis et parents du défunt, comme un seul homme, ont salué la mémoire du combattant. Un combat qui a débuté 15 ans auparavant et qui l’a porté à la tête de l’union des journalistes de Côte d’Ivoire après avoir occupé plusieurs postes au sein de l’organisation. « Une vie qui interpelle chacun de nous », a indiqué Zio Moussa, porte-parole du Cnca (Conseil national de la communication audiovisuelle), du Cnp (Conseil national de la presse) et de l’Olped (Observatoire de la liberté de la presse, de l’éthique et de la déontologie). Le chef de l’Etat, Laurent Gbagbo, accompagné d’une forte délégation du gouvernent et de son parti, est venu partager la peine des journalistes. Un ‘’yako’’ (consolation), qui a été perçu par les hommes de média, comme une reconnaissance à leur profession. Mam Camara, président par intérim de l’union, a remercié le chef de l’Etat pour cette compassion. Il a salué « l’application de Criwa à la tâche, qui a fini par séduire et convaincre ses confrères pour le porter à leur tête». De nombreux témoignages sur l’humanisme de Czp, mais et surtout, sur sa volonté à toujours relever de nouveaux défis, ont émerveillé l’assistance. Il avait par exemple, fait de « l’application de la convention collective (qui prévoit une amélioration du salaire des journalistes), selon Guillaume Gbato, son cheval de bataille pour l’année 2010 ». Une lutte pour un journalisme respecté qui ne lui a pas laissé le temps de penser à lui-même. « Je lui ai dit : le combat, c’est pour les vivants », a rappelé Guillaume Gbato, son compagnon de lutte. Dans la fleur de l’âge, Criwa « a traversé le grand fleuve pour atteindre l’autre rive ». Mais, « avec les armes en mains ». Une bataille pour un journalisme d’excellence où les maîtres-mots sont : respect de l’éthique et de la déontologie. Il est prévu, ce soir, un piquet d’honneur à la place Inch’Allah de Koumassi et une veillée traditionnelle. Demain, aura lieu la levée du Corps à Ivosep, à Treichville, suivie d’une messe de requiem à l’église Notre Dame de l’Assomption de Koumassi. C’est à 11 h, qu’aura lieu l’inhumation au cimetière de Williamsville.
Sanou Amadou (stagiaire)
Arrivée de U-Roy à Abidjan
Blue Saphir s’active
A 70 ans, l’artiste jamaïcain U-Roy, sera en concert les 2 et 4 avril prochains, au Palais de la culture et au Parc des sports de Treichville. Légende vivante de la musique reggae, celui qu’on appelle affectueusement ‘’Daddy’’, a choisi la Côte d’Ivoire pour donner son tout premier concert dans un pays d’Afrique francophone. Pour annoncer cet évènement, les responsables de ‘’Blue Saphir’’, structure chargée d’organiser la fête, ont animé un point de presse, vendredi à Cocody. A cette rencontre, ils ont expliqué en détail les modalités pratiques de ce rendez-vous culturel. Pour Kéita Carmen, directrice générale de cette agence, les concerts s’inscrivent dans le cadre d’une série de trois shows reggae qui se tiendront dans la capitale économique ivoirienne. Dénommée ‘’Reggae Old fever’’, c’est une lucarne ouverte aux grands noms de ce genre musical. L’arrivée du ‘’pape du reggae’’, donnera lieu à deux shows exceptionnels avec une technologie de pointe au niveau du son et de la lumière. Les artistes locaux ne seront pas en reste. Ismaël Isaac, Spyrow, Ras Goody Brown et Kajeem seront aux côtés du créateur du style deejay.
Sanou Amadou (stagiaire)