La mission de "stabilisation et de contribution à la sécurité" en Côte d'Ivoire se déroule dans " de bonnes conditions", a estimé jeudi à Abidjan, le général Fernand Amoussou au terme de sa mission à la tête de la force de l'Opération des Nations unies en Côte d'Ivoire (ONUCI).
"Notre mission de stabilisation et de contribution à la sécurité de la Côte d'Ivoire se déroule jusqu'à présent dans de bonnes conditions", a affirmé le général Amoussou qui quitte Abidjan après près de cinq ans passés en tant que commandant de la force de l'ONUCI.
Le général Fernand Amoussou, de nationalité béninoise, sera remplacé par le général Abdul Hafiz, du Bangladesh.
Il a rappelé la mission de l'ONUCI qui visait à "créer les conditions favorables pour une sortie de crise politique pacifique " avant de se déclarer "heureux" de n'avoir connu "aucune reprise des hostilités et aucune intention de belligérance armée".
"Il est évident que les contradictions entre les parties demeurent mais je crois en la capacité des Ivoiriens au dialogue pour retrouver très rapidement la paix", a-t-il indiqué.
"J'aimerais redire ma conviction que certainement les Ivoiriens n'ont pas envie de reprendre les hostilités, que les Ivoiriens aspirent légitimement à la paix, à la sécurité et à la stabilité", a-t-il insisté.
Près de 7 000 Casques bleus appuyés par plus d'un millier de soldats français de la force Licorne se sont interposés entre les belligérants deux ans après la guerre déclenchée en septembre 2002 en Côte d'Ivoire suite au coup d'Etat manqué des Forces nouvelles transformé en rébellion armée.
Le pays, longtemps divisé en un nord rebelle et un sud loyaliste, est engagé dans un processus de paix relancé par l'accord de Ouagadougou signé en mars 2007 qui prévoit le désarmement des combattants, la réunification du pays et l'organisation d'élections générales.
Plusieurs fois annoncée mais reportée à chaque échéance depuis 2005, l'élection présidentielle censée sortir le pays de la crise est prévue pour "fin avril/début mai".
"Notre mission de stabilisation et de contribution à la sécurité de la Côte d'Ivoire se déroule jusqu'à présent dans de bonnes conditions", a affirmé le général Amoussou qui quitte Abidjan après près de cinq ans passés en tant que commandant de la force de l'ONUCI.
Le général Fernand Amoussou, de nationalité béninoise, sera remplacé par le général Abdul Hafiz, du Bangladesh.
Il a rappelé la mission de l'ONUCI qui visait à "créer les conditions favorables pour une sortie de crise politique pacifique " avant de se déclarer "heureux" de n'avoir connu "aucune reprise des hostilités et aucune intention de belligérance armée".
"Il est évident que les contradictions entre les parties demeurent mais je crois en la capacité des Ivoiriens au dialogue pour retrouver très rapidement la paix", a-t-il indiqué.
"J'aimerais redire ma conviction que certainement les Ivoiriens n'ont pas envie de reprendre les hostilités, que les Ivoiriens aspirent légitimement à la paix, à la sécurité et à la stabilité", a-t-il insisté.
Près de 7 000 Casques bleus appuyés par plus d'un millier de soldats français de la force Licorne se sont interposés entre les belligérants deux ans après la guerre déclenchée en septembre 2002 en Côte d'Ivoire suite au coup d'Etat manqué des Forces nouvelles transformé en rébellion armée.
Le pays, longtemps divisé en un nord rebelle et un sud loyaliste, est engagé dans un processus de paix relancé par l'accord de Ouagadougou signé en mars 2007 qui prévoit le désarmement des combattants, la réunification du pays et l'organisation d'élections générales.
Plusieurs fois annoncée mais reportée à chaque échéance depuis 2005, l'élection présidentielle censée sortir le pays de la crise est prévue pour "fin avril/début mai".