C’est en présence de M. Habib Sanogo, conseiller technique principal, représentant M. Anzoumana Moutaye, ministre de la Culture et de la Francophonie, tutelle technique, que le nouveau directeur général élu du Burida, a pris fonction, hier.
Trois actes forts ont marqué cette cérémonie. La remise officielle de ses charges à M. Michel Bertin Baroan, à travers la lettre de nomination, la remise des rapports d’activité de la société et les allocutions. Justement, à ce niveau, le nouveau directeur général a pris un engagement ferme face aux administrateurs, la tutelle et ses collaborateurs: «Je m’engage à faire rentrer au moins 100 millions de francs par mois, améliorant ainsi, et de façon substantielle, les recettes du Burida».
Pour y parvenir, le nouveau Dg a esquissé un pan de sa vision managériale, axée à la fois sur l’esprit transversal et une fermeté face à l’ampleur de la tâche au profit des sociétaires. Mais aussi des agents. C’est pourquoi, il affirme qu’il exercera son mandat «pas dans une logique d’affrontements» mais, toutefois, «avec probité et rigueur». Une posture qui devrait le conduire à «mettre de l’ordre et à mettre tout le monde au travail». L’atteinte de ses objectifs passant par la proposition d’un organigramme opérationnel, il n’exclut pas de faire appel, avec l’aval du conseil, à des experts extérieurs pour mener à bon port le Burida en trois ans de mandat.
Au demeurant, Michel B. Baroan a rendu hommage à son prédécesseur, Ouattara Zié, qui a assuré l’intérim de la direction générale pendant plus de 8 mois et qu’il qualifie de «homme ressource».
Avant que le Pca, Gadji Céli, n’adresse ses félicitations au Dg et lui indique les attentes des sociétaires, le porte-parole du conseil, Jack Delly, s’est appesanti sur la «minutie» du processus de sélection et la responsabilité, dans un esprit démocratique qui a guidé le choix de ses pairs. En l’absence du Dg intérimaire pour cause de maladie, c’est le chef du personnel, Mlle Joëlle Kouassi, qui a remis les dossiers à M. Baroan.
Michel Bertin Baroan est un pur produit de la maison. Où il a fait toutes ses classes, dès son entrée en 2004. Titulaire d’une maîtrise en criminologie et d’un master en marketing, il a été chef de service de lutte contre la piraterie, directeur de l’exploitation, directeur marketing des nouveaux produits et directeur commercial et marketing avant sa désignation.
Rémi Coulibaly
Trois actes forts ont marqué cette cérémonie. La remise officielle de ses charges à M. Michel Bertin Baroan, à travers la lettre de nomination, la remise des rapports d’activité de la société et les allocutions. Justement, à ce niveau, le nouveau directeur général a pris un engagement ferme face aux administrateurs, la tutelle et ses collaborateurs: «Je m’engage à faire rentrer au moins 100 millions de francs par mois, améliorant ainsi, et de façon substantielle, les recettes du Burida».
Pour y parvenir, le nouveau Dg a esquissé un pan de sa vision managériale, axée à la fois sur l’esprit transversal et une fermeté face à l’ampleur de la tâche au profit des sociétaires. Mais aussi des agents. C’est pourquoi, il affirme qu’il exercera son mandat «pas dans une logique d’affrontements» mais, toutefois, «avec probité et rigueur». Une posture qui devrait le conduire à «mettre de l’ordre et à mettre tout le monde au travail». L’atteinte de ses objectifs passant par la proposition d’un organigramme opérationnel, il n’exclut pas de faire appel, avec l’aval du conseil, à des experts extérieurs pour mener à bon port le Burida en trois ans de mandat.
Au demeurant, Michel B. Baroan a rendu hommage à son prédécesseur, Ouattara Zié, qui a assuré l’intérim de la direction générale pendant plus de 8 mois et qu’il qualifie de «homme ressource».
Avant que le Pca, Gadji Céli, n’adresse ses félicitations au Dg et lui indique les attentes des sociétaires, le porte-parole du conseil, Jack Delly, s’est appesanti sur la «minutie» du processus de sélection et la responsabilité, dans un esprit démocratique qui a guidé le choix de ses pairs. En l’absence du Dg intérimaire pour cause de maladie, c’est le chef du personnel, Mlle Joëlle Kouassi, qui a remis les dossiers à M. Baroan.
Michel Bertin Baroan est un pur produit de la maison. Où il a fait toutes ses classes, dès son entrée en 2004. Titulaire d’une maîtrise en criminologie et d’un master en marketing, il a été chef de service de lutte contre la piraterie, directeur de l’exploitation, directeur marketing des nouveaux produits et directeur commercial et marketing avant sa désignation.
Rémi Coulibaly
