Même vide, elle est dangereuse
Posséder une arme, ça peut vous monter la tête. Suite à une altercation avec les policiers à Adjouffou (Port-Bouet) alors qu’il se rendait à son lieu de travail à bord d’un véhicule de transport en commun, Issouf Sanogo est appréhendé puis conduit au commissariat de police du 33ème arrondissement. Fouille au corps, les flics découvrent un pistolet automatique de type 25 millimètres dépourvu de munitions. Mis à la disposition de la police criminelle, il déclare qu’il a reçu l’arme à feu des mains de Traoré Aboudramane le 28 février. Il soutient l’avoir gardée en attendant de la déposer le 1er mars dans un poste de police. Evidemment, l’explication de Yssouf ne tient pas la route et il est déféré au parquet. Il est poursuivi pour détention illégale d’arme à feu. Nous en saurons davantage lors de la comparution devant le tribunal des flagrants délits du Plateau.
Tu me frappes…
Réfléchissez plus d’une fois avant de faire crédit. Dans certains cas, les créanciers se transforment en bourreau pour leurs débiteurs. C’est ce qui est arrivé à Mondjiro Yéhé Elodie. Venue réclamer sa dette auprès de la voisine du quartier Kennedy (Abobo), elle a eu tort. Sa créancière, Guiro Mahan Patricia, la roue de coups. « Elle m’a porté main parce que je réclamais mon argent. J’ai saisi la brigade de gendarmerie. Dans l’attente d’un jugement, grande fut ma surprise de rencontrer celle qui m’a frappée sur la route du marché. Pis, elle s’est acharnée contre moi, explique Elodie qui porte plainte pour la seconde fois pour coups et blessures volontaires. Selon elle, ses blessures ont entraîné une incapacité temporaire de travail (Itt de 21 jours). De son côté, Patricia soutient le contraire. Elle nie avoir porté main à la plaignante bien qu’elle reconnaisse avoir emprunté de l’argent (le montant n’a pas été précisé, ndlr) à Elodie. « Nous nous sommes dépassées sur la route du marché sans se dire mot. Je suis surprise de cette accusation », se défend-elle. Une affaire vraiment de femmes ! Et le tribunal tranchera.
Une sélection de Ouattara Moussa
Posséder une arme, ça peut vous monter la tête. Suite à une altercation avec les policiers à Adjouffou (Port-Bouet) alors qu’il se rendait à son lieu de travail à bord d’un véhicule de transport en commun, Issouf Sanogo est appréhendé puis conduit au commissariat de police du 33ème arrondissement. Fouille au corps, les flics découvrent un pistolet automatique de type 25 millimètres dépourvu de munitions. Mis à la disposition de la police criminelle, il déclare qu’il a reçu l’arme à feu des mains de Traoré Aboudramane le 28 février. Il soutient l’avoir gardée en attendant de la déposer le 1er mars dans un poste de police. Evidemment, l’explication de Yssouf ne tient pas la route et il est déféré au parquet. Il est poursuivi pour détention illégale d’arme à feu. Nous en saurons davantage lors de la comparution devant le tribunal des flagrants délits du Plateau.
Tu me frappes…
Réfléchissez plus d’une fois avant de faire crédit. Dans certains cas, les créanciers se transforment en bourreau pour leurs débiteurs. C’est ce qui est arrivé à Mondjiro Yéhé Elodie. Venue réclamer sa dette auprès de la voisine du quartier Kennedy (Abobo), elle a eu tort. Sa créancière, Guiro Mahan Patricia, la roue de coups. « Elle m’a porté main parce que je réclamais mon argent. J’ai saisi la brigade de gendarmerie. Dans l’attente d’un jugement, grande fut ma surprise de rencontrer celle qui m’a frappée sur la route du marché. Pis, elle s’est acharnée contre moi, explique Elodie qui porte plainte pour la seconde fois pour coups et blessures volontaires. Selon elle, ses blessures ont entraîné une incapacité temporaire de travail (Itt de 21 jours). De son côté, Patricia soutient le contraire. Elle nie avoir porté main à la plaignante bien qu’elle reconnaisse avoir emprunté de l’argent (le montant n’a pas été précisé, ndlr) à Elodie. « Nous nous sommes dépassées sur la route du marché sans se dire mot. Je suis surprise de cette accusation », se défend-elle. Une affaire vraiment de femmes ! Et le tribunal tranchera.
Une sélection de Ouattara Moussa