Le capitaine de vaisseau Konan K. Boniface, commandant du théâtre des opérations (Com’théatre) de Yamoussoukro, vient d’organiser un stage de formation au « maintien et de rétablissement de l’ordre » au profit de 140 soldats des Forces armées nationales de Côte d’Ivoire (Fanci). La cérémonie de remise de diplômes a eu lieu le week-end dernier à l’emprise de l’aéroport en présence du Commissaire divisionnaire Gnépa Kola Philippe, préfet de police, du Lieutenant-colonel Abé Séka Arsène commandant la 3ème légion de gendarmerie.
Issus des unités de la Garde républicaine (G.R), du Groupement centre ouest de Daloa, du Commandement des opérations de Yamoussoukro, du Sous-groupement-Centre de Daoukro, des Fusiliers commandos de l’air (Fuscoa), du Détachement mobile d’intervention rapide (Dmir) et du Groupement Centre Ouest de Daloa, ces stagiaires des Fds ont, pendant deux semaines (du 30 au 9 avril dernier), subi avec succès les tests théoriques et pratiques. Au terme de la formation, ils en ont donné la preuve. Lors d’une simulation de trouble (des manifestants en colère et excités obstruant une rue avec des barricades d’objet hétéroclites et des pneus enflammés), les éléments des Fds appelés en renfort parviennent avec maestria à rétablir l’ordre.
Initiateur de ce stage, le Com’théâtre, Konan Boniface, a expliqué que cette formation lui tenait à cœur depuis longtemps. Pour lui, par rapport aux principes de la réversibilité qui régit les grands commandements des Fds, il s’agissait d’ « apprendre aux militaires appelés en renfort à la police ou à la gendarmerie, comment limiter l’usage de force en cas de trouble » pour épouser « les subtilités du maintien de l’ordre avec le minimum d’impact de violence…».
Le Colonel Gnépa Philippe, préfet de police et par ailleurs directeur du stage, a dit toute sa satisfaction quant au déroulement de cette initiation qui, selon lui, a atteint ses objectifs. En deux semaines, a-t-il indiqué, les stagiaires se sont fait une idée claire des notions telles que « ordre publique » ; « force publique » ; « maintien de l’ordre » etc. Ces éléments des Fds, a-t-il poursuivi, se sont surtout familiarisés avec les armes conventionnelles (NDLR : boucliers de protection, gilets spéciaux, fusils à grenades, matraques, casques et grenades lacrymogènes « … Demain nous seront heureux de les utiliser à nos côtés parce qu’aujourd’hui, ils font la différence entre la guerre et le maintien d’ordre… entre l’ennemi en tant de guerre et l’adversaire en cas de trouble à l’ordre public… »
Coulibaly Souleymane
Issus des unités de la Garde républicaine (G.R), du Groupement centre ouest de Daloa, du Commandement des opérations de Yamoussoukro, du Sous-groupement-Centre de Daoukro, des Fusiliers commandos de l’air (Fuscoa), du Détachement mobile d’intervention rapide (Dmir) et du Groupement Centre Ouest de Daloa, ces stagiaires des Fds ont, pendant deux semaines (du 30 au 9 avril dernier), subi avec succès les tests théoriques et pratiques. Au terme de la formation, ils en ont donné la preuve. Lors d’une simulation de trouble (des manifestants en colère et excités obstruant une rue avec des barricades d’objet hétéroclites et des pneus enflammés), les éléments des Fds appelés en renfort parviennent avec maestria à rétablir l’ordre.
Initiateur de ce stage, le Com’théâtre, Konan Boniface, a expliqué que cette formation lui tenait à cœur depuis longtemps. Pour lui, par rapport aux principes de la réversibilité qui régit les grands commandements des Fds, il s’agissait d’ « apprendre aux militaires appelés en renfort à la police ou à la gendarmerie, comment limiter l’usage de force en cas de trouble » pour épouser « les subtilités du maintien de l’ordre avec le minimum d’impact de violence…».
Le Colonel Gnépa Philippe, préfet de police et par ailleurs directeur du stage, a dit toute sa satisfaction quant au déroulement de cette initiation qui, selon lui, a atteint ses objectifs. En deux semaines, a-t-il indiqué, les stagiaires se sont fait une idée claire des notions telles que « ordre publique » ; « force publique » ; « maintien de l’ordre » etc. Ces éléments des Fds, a-t-il poursuivi, se sont surtout familiarisés avec les armes conventionnelles (NDLR : boucliers de protection, gilets spéciaux, fusils à grenades, matraques, casques et grenades lacrymogènes « … Demain nous seront heureux de les utiliser à nos côtés parce qu’aujourd’hui, ils font la différence entre la guerre et le maintien d’ordre… entre l’ennemi en tant de guerre et l’adversaire en cas de trouble à l’ordre public… »
Coulibaly Souleymane
