A propos de l’état de santé de la sémillante comédienne, Tatiana de Makensira, les choses les plus folles et les plus fantaisistes ont été dites. Mais, le plus important, pour l’heure, c’est qu’il faut, le plus rapidement possible, aider Tatiana de Makensira à recouvrer la santé. De sources médicales, l’artiste souffre des maux tels que le diabète, l’ulcère, l’anémie …. A "la Base CIE" de Niangon, le sous-quartier de Yopougon où elle réside, très amaigrie et les pieds enflés, Tatiana a toutes les peines du monde pour se déplacer, car elle souffre le martyre à chacun de ses pas.
C’est souvent au prix de mille efforts qu’elle rallie sa chambre de l’extérieur de la demeure. En tout cas, avec le mal pernicieux qui la ronge, la comédienne n’a plus du tout le teint éclatant, le tonus et la jovialité qu’on lui connaissait. Cela fait plusieurs mois que la comédienne est gravement malade. Jusque-là, ce sont ses parents qui prennent en charge la plupart de ses analyses et soins médicaux dans la mesure de leurs moyens, tout en la tenant à l’abri des regards indiscrets.
Mais sept mois de maladie, c’est physiquement, émotionnellement et surtout financièrement épuisant. Il est donc temps que toutes les bonnes volontés, les âmes charitables et tous ceux à qui elle a procuré du bonheur, du sourire dans ses sketchs et autres téléfilms, agissent maintenant. Franchement, il faut faire quelque chose pour Tatiana, cette "Boule de joie et de convivialité", comme l’appelle Martin Guédéba, metteur en scène et directeur artistique de "Faut pas fâcher". L’une des possibilités est, par exemple, de lui trouver une prise en charge médicale et la mettre dans des conditions de vie que requiert son état de santé. Parce qu’à Yopougon où elle vit, les conditions sont, certes, acceptables, mais avec les coupures intempestives d’eau et d’électricité qui sont le quotidien des Ivoiriens ces temps-ci, la vie peut rapidement devenir un enfer pour la grande malade qu’elle est. Après l’élan de solidarité qui a entouré Bagnon (Victor Cousin), Gbazé Thérèse (Guéhi Thérèse) et bien d’autres artistes, il serait louable de penser aussi à Tatiana de Makensira. Le plus tôt possible.
Jean- Antoine Doudou
C’est souvent au prix de mille efforts qu’elle rallie sa chambre de l’extérieur de la demeure. En tout cas, avec le mal pernicieux qui la ronge, la comédienne n’a plus du tout le teint éclatant, le tonus et la jovialité qu’on lui connaissait. Cela fait plusieurs mois que la comédienne est gravement malade. Jusque-là, ce sont ses parents qui prennent en charge la plupart de ses analyses et soins médicaux dans la mesure de leurs moyens, tout en la tenant à l’abri des regards indiscrets.
Mais sept mois de maladie, c’est physiquement, émotionnellement et surtout financièrement épuisant. Il est donc temps que toutes les bonnes volontés, les âmes charitables et tous ceux à qui elle a procuré du bonheur, du sourire dans ses sketchs et autres téléfilms, agissent maintenant. Franchement, il faut faire quelque chose pour Tatiana, cette "Boule de joie et de convivialité", comme l’appelle Martin Guédéba, metteur en scène et directeur artistique de "Faut pas fâcher". L’une des possibilités est, par exemple, de lui trouver une prise en charge médicale et la mettre dans des conditions de vie que requiert son état de santé. Parce qu’à Yopougon où elle vit, les conditions sont, certes, acceptables, mais avec les coupures intempestives d’eau et d’électricité qui sont le quotidien des Ivoiriens ces temps-ci, la vie peut rapidement devenir un enfer pour la grande malade qu’elle est. Après l’élan de solidarité qui a entouré Bagnon (Victor Cousin), Gbazé Thérèse (Guéhi Thérèse) et bien d’autres artistes, il serait louable de penser aussi à Tatiana de Makensira. Le plus tôt possible.
Jean- Antoine Doudou
