Moussa Sène Absa (président du jury du Fica) :“L'organisation a été parfaite”
Tous les films étaient de belles factures. Nous avons travaillé sur des critères esthétiques. La narration, l'écriture cinématographique, l'intention du réalisateur, le jeu des acteurs. Pour le lauréat, c'est la manière de raconter l'histoire qui a séduit. Je demande aux réalisateurs de se pencher sur le montage d'un film. C'est le battement de cœur d'un film. Si le cœur ne bat pas, l'âme ne vit pas. Je n'ai jamais été à un festival africain avec un tel niveau d'organisation. Elle a été parfaite. Et, je pèse mes mots. Le court-métrage est une école du cinéma. Le gouvernement a un devoir de mettre à la disposition des jeunes les moyens pour s'exprimer.
Thérèse Taba (pdte de l'Association des comédiens (Acapci)) :“C'est une tribune de découverte”
Pour un travail aussi réussi, je ne peux qu'être heureuse. D'autant que l'initiatrice du projet est membre de l'Acapci. Je dis merci à tous nos frères venus des autres pays africains, tout en souhaitant que le Fica ait l'envergure du Fespaco (Le Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou). C'est une tribune pour découvrir de nouveaux acteurs. Aussi, ceux qui ont envie d'embrasser ce métier, doivent s'intéresser au festival.
Hanny Tchelley (directeur du Fica): “Le coût n'a pas d'importance”
Le Fica a grandi et acquis en maturité. Il est devenu une manifestation majeure. Ma satisfaction, c'est que les populations de Yopougon s'en sont appropriées. Nous espérons le faire grandir et offrir à la Côte d'Ivoire ce qu'elle mérite en termes d'espace ou plate-forme cinématographique pour son rayonnement et son développement. Parce que le cinéma est aussi économique. Outre la dimension culturelle, c'est une industrie. C'est pourquoi on parle d'industrie cinématographique. Pour le résultat, le jury a été souverain. Je n'ai pas à commenter son travail. Quant au coût, ce n'est pas important. Ce sont les chiffres.
Papa M'Baye Sène (président du comité d'organisation du Fica) :“La Côte d'Ivoire peut être fière”
De façon concrète, nous avons fait confiance à des jeunes. Des personnes qui ont envie de travailler dans le cinéma. L'organisation d'un tel évènement mobilise beaucoup de moyens. Il y a le transport, les hébergements, la construction du site et la mobilisation du matériel, la location des chaises, des voitures. Aujourd'hui, la Côte d'Ivoire peut être fière. Et le gouvernement ivoirien a soutenu ce festival à 80%. Notamment le président de la République et le ministre de l'Economie et des Finances.
Propos recueillis par Sanou Amadou (Stagiaire)
Tous les films étaient de belles factures. Nous avons travaillé sur des critères esthétiques. La narration, l'écriture cinématographique, l'intention du réalisateur, le jeu des acteurs. Pour le lauréat, c'est la manière de raconter l'histoire qui a séduit. Je demande aux réalisateurs de se pencher sur le montage d'un film. C'est le battement de cœur d'un film. Si le cœur ne bat pas, l'âme ne vit pas. Je n'ai jamais été à un festival africain avec un tel niveau d'organisation. Elle a été parfaite. Et, je pèse mes mots. Le court-métrage est une école du cinéma. Le gouvernement a un devoir de mettre à la disposition des jeunes les moyens pour s'exprimer.
Thérèse Taba (pdte de l'Association des comédiens (Acapci)) :“C'est une tribune de découverte”
Pour un travail aussi réussi, je ne peux qu'être heureuse. D'autant que l'initiatrice du projet est membre de l'Acapci. Je dis merci à tous nos frères venus des autres pays africains, tout en souhaitant que le Fica ait l'envergure du Fespaco (Le Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou). C'est une tribune pour découvrir de nouveaux acteurs. Aussi, ceux qui ont envie d'embrasser ce métier, doivent s'intéresser au festival.
Hanny Tchelley (directeur du Fica): “Le coût n'a pas d'importance”
Le Fica a grandi et acquis en maturité. Il est devenu une manifestation majeure. Ma satisfaction, c'est que les populations de Yopougon s'en sont appropriées. Nous espérons le faire grandir et offrir à la Côte d'Ivoire ce qu'elle mérite en termes d'espace ou plate-forme cinématographique pour son rayonnement et son développement. Parce que le cinéma est aussi économique. Outre la dimension culturelle, c'est une industrie. C'est pourquoi on parle d'industrie cinématographique. Pour le résultat, le jury a été souverain. Je n'ai pas à commenter son travail. Quant au coût, ce n'est pas important. Ce sont les chiffres.
Papa M'Baye Sène (président du comité d'organisation du Fica) :“La Côte d'Ivoire peut être fière”
De façon concrète, nous avons fait confiance à des jeunes. Des personnes qui ont envie de travailler dans le cinéma. L'organisation d'un tel évènement mobilise beaucoup de moyens. Il y a le transport, les hébergements, la construction du site et la mobilisation du matériel, la location des chaises, des voitures. Aujourd'hui, la Côte d'Ivoire peut être fière. Et le gouvernement ivoirien a soutenu ce festival à 80%. Notamment le président de la République et le ministre de l'Economie et des Finances.
Propos recueillis par Sanou Amadou (Stagiaire)
