A l’occasion de la Fête du travail, l’Union Générale des Travailleurs de Côte d’Ivoire, par la voix de son secrétaire général adjoint, Joseph Ebagnerin a transmis au chef de l’Etat, son cahier de doléances. Nous vous proposons l’intégralité de son intervention.
L’UGTCI se félicite autant qu’elle apprécie d’Etre sur l’esplanade et aux côtés du premier Magistrat de notre Pays à l’occasion de la Commémoration de la Fête du Travail en ce 1er Mai 2010.
Analyse faite de notre quotidien professionnel nous avions retenu lors de notre meeting de ne point en rajouter à vos soucis, Monsieur le Président, mais rassurés du bénéfice de votre grande indulgence, nous confierons à vos bons offices ce qui a tout le moins nous apaisera pour vous l’avoir dit.
De la sortie de crise de notre pays
Si la gestion d’un conflit est à notre sens la mise en œuvre d’actions prospectives, nous souhaiterions que toutes les synergies se mettent en convergence et offrent à l’ensemble des acteurs politiques en présence, l’avantage d’un enrichissement de leurs différences.
Toute sortie de crise est jalonnée de difficultés, mais l’obligation aujourd’hui sera, d’éviter de les exacerber. Dix (10) ans d’attente et d’espérance ; Dix (10) ans d’intermédiations avec in fine l’Accord Politique de Ouagadougou. Celui-ci est donc en tout état de cause, notre dernier repère, notre dernier rempart pour qu’adviennent les élections présidentielles qui permettent à notre pays de retrouver les lettres de noblesse.
Puissent les parties en conflits, s’accorder pour la mise en opérationnalité du centre de Commandement Intégré clé d’un désarmement qui satisfasse à tout le moins, l’ensemble des protagonistes.
Les travailleurs sont fatigués d’autant plus qu’ils n’ont plus de lisibilité en cette période de clair obscur.
De la Cherté de la vie
Ne pas affirmer que tout aura augmenté autour de nous sauf nos salaires serait un 1er mai sans saveur. Les prix en effet des denrées de grande consommation sont prohibitifs sur les marchés et vous dire que nous n’en pouvons plus est une simple vérité de la palisse.
Demandez à nos épouses le mal qu’elles ont pour faire les étals et le marché. Aussi, voudrions-nous en insistant tout particulièrement, vous prier Monsieur le Président, d’accepter de prendre pour votre compte et d’exiger aux opérateurs, la baisse du prix de l’eau, de l’électricité, du téléphone, du transport, du riz, de l’huile, du lait, du savon … etc.
Le syndicaliste émérite que vous êtes, nous aidera et nous en sommes convaincus pour le déblocage de tous les salaires tant de la Fonction Publique que du secteur privé et leur réajustement sur le coût de la vie.
Nous réagirons pour dire que le SMIG a fait l’objet d’étude entre partenaires et qu’aujourd’hui, il est à un moment que nous avons fixé d’accord partie et souhaiterions que ce soit vous, le 1er magistrat de notre pays, qui l’annonciez aux travailleurs.
Pour notre part et dans le cadre de la Commission Indépendante Permanente de Concertation. Employeurs du secteur Privé et Travailleurs, avons abordé la révision du barème des salaires minima conventionnels et les perspectives de réajustement du SMAG.
Il est important de rappeler que suite à la grève de 48 heures les 17 et 18 juillet 2008 que nous avons observée, deux commissions avaient été mise en place.
1- La commission sur la cherté de la vie,
2- La commission permanente de concertation pour la fixation du prix du carburant.
Donnez instruction Monsieur le Président, car ces commissions n’ont pas fonctionné et c’est bien là justement l’une des raisons majeures du dernier arrêt de travail des transporteurs que nous avons connu.
Il est important de rappeler que le protocole, portant accord pour la stabilité sociale, la productivité et la compétitivité des Entreprises en vue de la relance économique, a ses exigences.
Droit et devoir des partenaires qui, faute d’être respectés peuvent induire le licenciement des travailleurs ou des grèves de ceux-ci. Cet accord n’est donc pas une aliénation bien au contraire il doit créer les conditions de rapports professionnels confiants et responsables.
De la Sécurité des Citoyens
et des Biens
La crise, que nous connaissons, a suscité une prolifération d’armes de guerre qui malheureusement a aggravé le banditisme, car des malfrats sans foi ni loi n’arrêtent pas d’agresser d’honnêtes citoyens en semant sur leur passage : tristesse, misère et désolation.
L’Etat ayant pour devoir d’assurer la sécurité des personnes et des biens, nous vous demandons Monsieur le Président, d’accroître de manière conséquence l’opérationnalité des Forces de Défense et de Sécurité à l’effet de lutter impitoyablement contre la criminalité ce qui permettrait de restaurer l’image quelque peu écornée de notre pays.
Des Droits et de la Promotion
de la Femme
Constituant une frange importante de la population, leur promotion et leur épanouissement dans la société demeurent mitigés, malgré les efforts considérables qu’elles déploient quotidiennement, tant au plan professionnel, économique, social et familial.
Relevant non sans peine que les femmes, malgré leur statut d’agent de développement subissent une discrimination criante en matière d’impôt général sur le revenu (IGR) et l’appelant à notre corps défendant qu’il leur est accordé par les Nations Unies une journée pour les célébrer et leur rendre hommage, nous demanderons respectivement, la révision du dispositif portant fixation de l’IGR offert aux Femmes et la proclamation du 08 mars de chaque année, journée fériée, chômée et payée comme l’ont déjà fait bon nombre de pays de la Sous-région Ouest Africaine.
Du dossier licenciement des 39 agents de la SICOGI
Cette question Monsieur le Président ne méritait véritablement pas de revenir, car vous avez en effet souhaité que nous puissions utiliser toutes les voix non judiciaires pour vous permettre d’être éclairé, à l’effet d’une décision d’Autorité.
Le dossier a été confié au Conseil National du Travail (CNT) organe tripartite de régulation de toutes les questions d’ordre économique et social en rapport avec le monde du travail. Celui-ci par l’Avis n°001-CNT du 15 septembre 2009 a conclu après avoir auditionné l’ensemble des acteurs que le licenciement des camarades était sans objet et que la Direction Générale de la SICOGI avait exercé un abus manifeste d’autorité.
Les 39 camarades de la SICOGI représentant 24 % de l’effectif devaient être purement et simplement réintégrés mais à l’heure d’aujourd’hui, nous constatons non sans regret que les coupeurs de route sont aussi dans les dédales de notre administration au point de remettre en cause, l’éthique, la justice et l’équité. Quel drame et à la limite quelle honte.
Monsieur le Président, dites seulement une parole, car vous ne saurez tolérer que l’on sacrifia des Ivoiriens aussi gratuitement.
De la situation des travailleurs des plantations d’Etat de Toumbokro-Yamoussoukro
Ce dossier a connu des avancées significatives puisqu’il nous a été donné d’établir un chronogramme avec le District de Yamoussoukro et qui fixait la fin de nos opérations à l’échéance de janvier 2010.
Il apparaît plus qu’urgent que tout particulièrement, les Autorités en charge de ce dossier à savoir, le District de Yamoussoukro, auquel nous associerons le ministère de l’Agriculture qui en avait la gestion avant le cession audit district, reviennent à la table de négociations pour que de manière définitive, les arriérés de salaires, la régularisation des cotisations sociales dues à la CNPS, le solde de tout compte des droits de l’ensemble des travailleurs soient exécutés, conformément aux dispositions légale et réglementaire.
Des textes portant révision de l’âge de départ à la retraite dans le secteur privé
Les travailleurs du secteur privé attendent avec impatience que les textes soient pris et leur faveur comme ceux de la Fonction publique qui leur offrent de partir à la retraite à 60 ans.
Aussi, voudrions-nous demander avec insistance à Monsieur le Président de la République, de bien vouloir examiner avec bienveillance, ce dossier portant réforme de la branche retraite de la CNPS car les enjeux sont nombreux.
Du profil de carrière des infirmiers et des sages-femmes
Analyse faite des conclusions de la commission interministérielle des ministères de la Santé et de l’Hygiène Publique et de la Fonction Publique et au regard de la signature du décret portant profil de carrière des infirmiers et des sages-femmes.
L’UGTCI demande la signature immédiate du décret portant profil de carrière des infirmiers et sages-femmes.
De l’indemnité contributive forfaitaire mensuelle au logement des Maîtresses Adjointes d’Education Permanente.
Ce sont bien 233 maîtresses Adjointes d’Education Permanente non logées qui ne bénéficient pas du droit au logement et ce ne serait que justice que de leur concéder cet avantage.
L’UGTCI voudrait en la circonstance que Monsieur le Président de la République, fasse droit à cette sollicitation.
De la signature des décrets d’application de la Loi 2002-04 du 03 janvier 2002 portant statut des collectivités territoriales de Côte d’Ivoire.
L’UGTCI demande avec insistance que les décrets relatifs à l’application pris en faveur des travailleurs des collectivités territoriales soient pris pour leur permettre de jouir des avantages à eux concédés par l’Autorité.
L’UGTCI s’en voudrait de ne pas saluer l’heureuse initiative de la CGECI dans sa vision prospective d’une Côte d’Ivoire qui gagne et qui à l’horizon 2040, sera une référence avec laquelle il faudra compter.
A l’occasion de notre meeting, les travailleurs, Monsieur le Président, ont pris une motion spéciale de remerciements et relèvent que vous avez su prendre la décision éclairée de souscrire à toutes les initiatives de bons offices susceptibles d’accompagner le processus devant conduire à la sortie de crise, gage de paix et vecteur de reprise à venir d’un environnement prospère des affaires.
Les travailleurs tiennent à vous rendre un hommage solennel, appuyé et déférent en souhaitant que vous puissiez poursuivre avec détermination, toutes les approches qui rendront possibles, l’organisation des élections dans les meilleurs conditions en 2010.
Puisse Dieu Tout-Puissant vous protège, vous éclaire et vous guide dans l’accomplissement de la noble mission que vous a confiée le peuple ivoirien.
Je vous remercie !
N.B : Le litre est de la rédaction
L’UGTCI se félicite autant qu’elle apprécie d’Etre sur l’esplanade et aux côtés du premier Magistrat de notre Pays à l’occasion de la Commémoration de la Fête du Travail en ce 1er Mai 2010.
Analyse faite de notre quotidien professionnel nous avions retenu lors de notre meeting de ne point en rajouter à vos soucis, Monsieur le Président, mais rassurés du bénéfice de votre grande indulgence, nous confierons à vos bons offices ce qui a tout le moins nous apaisera pour vous l’avoir dit.
De la sortie de crise de notre pays
Si la gestion d’un conflit est à notre sens la mise en œuvre d’actions prospectives, nous souhaiterions que toutes les synergies se mettent en convergence et offrent à l’ensemble des acteurs politiques en présence, l’avantage d’un enrichissement de leurs différences.
Toute sortie de crise est jalonnée de difficultés, mais l’obligation aujourd’hui sera, d’éviter de les exacerber. Dix (10) ans d’attente et d’espérance ; Dix (10) ans d’intermédiations avec in fine l’Accord Politique de Ouagadougou. Celui-ci est donc en tout état de cause, notre dernier repère, notre dernier rempart pour qu’adviennent les élections présidentielles qui permettent à notre pays de retrouver les lettres de noblesse.
Puissent les parties en conflits, s’accorder pour la mise en opérationnalité du centre de Commandement Intégré clé d’un désarmement qui satisfasse à tout le moins, l’ensemble des protagonistes.
Les travailleurs sont fatigués d’autant plus qu’ils n’ont plus de lisibilité en cette période de clair obscur.
De la Cherté de la vie
Ne pas affirmer que tout aura augmenté autour de nous sauf nos salaires serait un 1er mai sans saveur. Les prix en effet des denrées de grande consommation sont prohibitifs sur les marchés et vous dire que nous n’en pouvons plus est une simple vérité de la palisse.
Demandez à nos épouses le mal qu’elles ont pour faire les étals et le marché. Aussi, voudrions-nous en insistant tout particulièrement, vous prier Monsieur le Président, d’accepter de prendre pour votre compte et d’exiger aux opérateurs, la baisse du prix de l’eau, de l’électricité, du téléphone, du transport, du riz, de l’huile, du lait, du savon … etc.
Le syndicaliste émérite que vous êtes, nous aidera et nous en sommes convaincus pour le déblocage de tous les salaires tant de la Fonction Publique que du secteur privé et leur réajustement sur le coût de la vie.
Nous réagirons pour dire que le SMIG a fait l’objet d’étude entre partenaires et qu’aujourd’hui, il est à un moment que nous avons fixé d’accord partie et souhaiterions que ce soit vous, le 1er magistrat de notre pays, qui l’annonciez aux travailleurs.
Pour notre part et dans le cadre de la Commission Indépendante Permanente de Concertation. Employeurs du secteur Privé et Travailleurs, avons abordé la révision du barème des salaires minima conventionnels et les perspectives de réajustement du SMAG.
Il est important de rappeler que suite à la grève de 48 heures les 17 et 18 juillet 2008 que nous avons observée, deux commissions avaient été mise en place.
1- La commission sur la cherté de la vie,
2- La commission permanente de concertation pour la fixation du prix du carburant.
Donnez instruction Monsieur le Président, car ces commissions n’ont pas fonctionné et c’est bien là justement l’une des raisons majeures du dernier arrêt de travail des transporteurs que nous avons connu.
Il est important de rappeler que le protocole, portant accord pour la stabilité sociale, la productivité et la compétitivité des Entreprises en vue de la relance économique, a ses exigences.
Droit et devoir des partenaires qui, faute d’être respectés peuvent induire le licenciement des travailleurs ou des grèves de ceux-ci. Cet accord n’est donc pas une aliénation bien au contraire il doit créer les conditions de rapports professionnels confiants et responsables.
De la Sécurité des Citoyens
et des Biens
La crise, que nous connaissons, a suscité une prolifération d’armes de guerre qui malheureusement a aggravé le banditisme, car des malfrats sans foi ni loi n’arrêtent pas d’agresser d’honnêtes citoyens en semant sur leur passage : tristesse, misère et désolation.
L’Etat ayant pour devoir d’assurer la sécurité des personnes et des biens, nous vous demandons Monsieur le Président, d’accroître de manière conséquence l’opérationnalité des Forces de Défense et de Sécurité à l’effet de lutter impitoyablement contre la criminalité ce qui permettrait de restaurer l’image quelque peu écornée de notre pays.
Des Droits et de la Promotion
de la Femme
Constituant une frange importante de la population, leur promotion et leur épanouissement dans la société demeurent mitigés, malgré les efforts considérables qu’elles déploient quotidiennement, tant au plan professionnel, économique, social et familial.
Relevant non sans peine que les femmes, malgré leur statut d’agent de développement subissent une discrimination criante en matière d’impôt général sur le revenu (IGR) et l’appelant à notre corps défendant qu’il leur est accordé par les Nations Unies une journée pour les célébrer et leur rendre hommage, nous demanderons respectivement, la révision du dispositif portant fixation de l’IGR offert aux Femmes et la proclamation du 08 mars de chaque année, journée fériée, chômée et payée comme l’ont déjà fait bon nombre de pays de la Sous-région Ouest Africaine.
Du dossier licenciement des 39 agents de la SICOGI
Cette question Monsieur le Président ne méritait véritablement pas de revenir, car vous avez en effet souhaité que nous puissions utiliser toutes les voix non judiciaires pour vous permettre d’être éclairé, à l’effet d’une décision d’Autorité.
Le dossier a été confié au Conseil National du Travail (CNT) organe tripartite de régulation de toutes les questions d’ordre économique et social en rapport avec le monde du travail. Celui-ci par l’Avis n°001-CNT du 15 septembre 2009 a conclu après avoir auditionné l’ensemble des acteurs que le licenciement des camarades était sans objet et que la Direction Générale de la SICOGI avait exercé un abus manifeste d’autorité.
Les 39 camarades de la SICOGI représentant 24 % de l’effectif devaient être purement et simplement réintégrés mais à l’heure d’aujourd’hui, nous constatons non sans regret que les coupeurs de route sont aussi dans les dédales de notre administration au point de remettre en cause, l’éthique, la justice et l’équité. Quel drame et à la limite quelle honte.
Monsieur le Président, dites seulement une parole, car vous ne saurez tolérer que l’on sacrifia des Ivoiriens aussi gratuitement.
De la situation des travailleurs des plantations d’Etat de Toumbokro-Yamoussoukro
Ce dossier a connu des avancées significatives puisqu’il nous a été donné d’établir un chronogramme avec le District de Yamoussoukro et qui fixait la fin de nos opérations à l’échéance de janvier 2010.
Il apparaît plus qu’urgent que tout particulièrement, les Autorités en charge de ce dossier à savoir, le District de Yamoussoukro, auquel nous associerons le ministère de l’Agriculture qui en avait la gestion avant le cession audit district, reviennent à la table de négociations pour que de manière définitive, les arriérés de salaires, la régularisation des cotisations sociales dues à la CNPS, le solde de tout compte des droits de l’ensemble des travailleurs soient exécutés, conformément aux dispositions légale et réglementaire.
Des textes portant révision de l’âge de départ à la retraite dans le secteur privé
Les travailleurs du secteur privé attendent avec impatience que les textes soient pris et leur faveur comme ceux de la Fonction publique qui leur offrent de partir à la retraite à 60 ans.
Aussi, voudrions-nous demander avec insistance à Monsieur le Président de la République, de bien vouloir examiner avec bienveillance, ce dossier portant réforme de la branche retraite de la CNPS car les enjeux sont nombreux.
Du profil de carrière des infirmiers et des sages-femmes
Analyse faite des conclusions de la commission interministérielle des ministères de la Santé et de l’Hygiène Publique et de la Fonction Publique et au regard de la signature du décret portant profil de carrière des infirmiers et des sages-femmes.
L’UGTCI demande la signature immédiate du décret portant profil de carrière des infirmiers et sages-femmes.
De l’indemnité contributive forfaitaire mensuelle au logement des Maîtresses Adjointes d’Education Permanente.
Ce sont bien 233 maîtresses Adjointes d’Education Permanente non logées qui ne bénéficient pas du droit au logement et ce ne serait que justice que de leur concéder cet avantage.
L’UGTCI voudrait en la circonstance que Monsieur le Président de la République, fasse droit à cette sollicitation.
De la signature des décrets d’application de la Loi 2002-04 du 03 janvier 2002 portant statut des collectivités territoriales de Côte d’Ivoire.
L’UGTCI demande avec insistance que les décrets relatifs à l’application pris en faveur des travailleurs des collectivités territoriales soient pris pour leur permettre de jouir des avantages à eux concédés par l’Autorité.
L’UGTCI s’en voudrait de ne pas saluer l’heureuse initiative de la CGECI dans sa vision prospective d’une Côte d’Ivoire qui gagne et qui à l’horizon 2040, sera une référence avec laquelle il faudra compter.
A l’occasion de notre meeting, les travailleurs, Monsieur le Président, ont pris une motion spéciale de remerciements et relèvent que vous avez su prendre la décision éclairée de souscrire à toutes les initiatives de bons offices susceptibles d’accompagner le processus devant conduire à la sortie de crise, gage de paix et vecteur de reprise à venir d’un environnement prospère des affaires.
Les travailleurs tiennent à vous rendre un hommage solennel, appuyé et déférent en souhaitant que vous puissiez poursuivre avec détermination, toutes les approches qui rendront possibles, l’organisation des élections dans les meilleurs conditions en 2010.
Puisse Dieu Tout-Puissant vous protège, vous éclaire et vous guide dans l’accomplissement de la noble mission que vous a confiée le peuple ivoirien.
Je vous remercie !
N.B : Le litre est de la rédaction