Le Patriote : Que proposez-vous pour sortir l’Université de Cocody de l’ornière ?
Aké Gilbert N’Gbo : Si nous sommes candidats, c’est parce que nous avons foi en notre université. Cela se matérialise par le fait que nos propres enfants sont inscrits à l’Université de Cocody. Pour vous dire si nous aspirons à diriger l’université c’est parce que effectivement nous avons foi. Avec l’aide de tous, nous voulons faire de l’Université de Cocody un pôle d’expertise. Comment ? Nous sommes en période électorale, beaucoup de promesses sont faites, mais comment traduire en réalité ces promesses. Nous pouvons dire avec beaucoup d’humilité l’exemple de l’UFR des sciences économiques et de gestion dont nous avons été doyen pendant deux mandats. Avec une approche managériale dynamique nous nous attelés à faire en sorte qu’il n’y ait pas d’année blanche et aussi au développement des infrastructures pendant notre mandat.
L.P : D’aucuns vous accusent d’avoir bloqué ces élections grâce vos relations avec le Chef de l’Etat…
A. G. N : C’est vrai qu’il y a eu blocage, mais les choses ont fini par s’arranger, pour le mieux. Mais une précision, beaucoup de choses ont été écrites pendant des mois. Allez vérifier, personne n’a fait référence à l’arrêté N° 400 du 04 novembre 2009 qui abroge l’arrêté N° 328 du 20 octobre 2009. C’est la raison du blocage, parce que l’arrêté N°400 abrogé celui du 20 octobre qui fixait la date de clôture des candidatures au 2 novembre(2009). Une fois l’arrêté fixant la date de clôture abrogée, vous comprenez que la date de clôture devient caduque. J’étais donc en droit de présenter ma candidature. Finalement le droit et la raison ont eu le dessus.
L.P : Vous n’êtes donc pas responsable du blocage ?
A.G.N : Non, je ne suis pas responsable du blocage, le blocage est dû à l’arrêté N°400 du 04 novembre qui a été pris par le ministre de l’Enseignement supérieur et non par le Pr Aké N’GBO
Par Moussa Keita
Aké Gilbert N’Gbo : Si nous sommes candidats, c’est parce que nous avons foi en notre université. Cela se matérialise par le fait que nos propres enfants sont inscrits à l’Université de Cocody. Pour vous dire si nous aspirons à diriger l’université c’est parce que effectivement nous avons foi. Avec l’aide de tous, nous voulons faire de l’Université de Cocody un pôle d’expertise. Comment ? Nous sommes en période électorale, beaucoup de promesses sont faites, mais comment traduire en réalité ces promesses. Nous pouvons dire avec beaucoup d’humilité l’exemple de l’UFR des sciences économiques et de gestion dont nous avons été doyen pendant deux mandats. Avec une approche managériale dynamique nous nous attelés à faire en sorte qu’il n’y ait pas d’année blanche et aussi au développement des infrastructures pendant notre mandat.
L.P : D’aucuns vous accusent d’avoir bloqué ces élections grâce vos relations avec le Chef de l’Etat…
A. G. N : C’est vrai qu’il y a eu blocage, mais les choses ont fini par s’arranger, pour le mieux. Mais une précision, beaucoup de choses ont été écrites pendant des mois. Allez vérifier, personne n’a fait référence à l’arrêté N° 400 du 04 novembre 2009 qui abroge l’arrêté N° 328 du 20 octobre 2009. C’est la raison du blocage, parce que l’arrêté N°400 abrogé celui du 20 octobre qui fixait la date de clôture des candidatures au 2 novembre(2009). Une fois l’arrêté fixant la date de clôture abrogée, vous comprenez que la date de clôture devient caduque. J’étais donc en droit de présenter ma candidature. Finalement le droit et la raison ont eu le dessus.
L.P : Vous n’êtes donc pas responsable du blocage ?
A.G.N : Non, je ne suis pas responsable du blocage, le blocage est dû à l’arrêté N°400 du 04 novembre qui a été pris par le ministre de l’Enseignement supérieur et non par le Pr Aké N’GBO
Par Moussa Keita
