L’augmentation des frais de scolarité dépend des réalités de chaque université. Nous ne partageons pas les mêmes problèmes que l’université de Cocody. A Bouaké, l’augmentation des frais d’inscription n’est pas à l’ordre du jour. Mais nous comptons tenir une réunion bientôt qui va certainement évoquer la question du financement additionnel de notre université.
Prof Gouréné Germain, Pdt de l’université d’Abobo-Adjamé : “Personne ne peut augmenter les frais actuellement…“
L’augmentation des frais d’inscription est le souhait de tous les présidents d’université. Celui qui dit le contraire, fait preuve d’hy?pocrisie. Mais personne ne peut prétendre augmenter les frais actuellement sans tenir compte de plusieurs paramètres y compris les décideurs. Il est question de la volonté politique. Un président d’université n’a pas les moyens d’augmenter tout seul ces frais sans se heurter aux grèves de certains étudiants. Autrement, il n’est pas normal qu’un étudiant inscrive son enfant à la maternelle à 80 mille francs Cfa et quand il s’agit de lui, il n’accepte pas d’aller au-delà des 6.000 Fcfa. L’augmentation est une affaire collective qui inclut les acteurs du système et l’Etat. Les parents d’élèves doivent être bien imprégnés des réalités pour contenir la rouspétance de leurs enfants.
Propos recueillis par Nesmon De Laure
Prof Gouréné Germain, Pdt de l’université d’Abobo-Adjamé : “Personne ne peut augmenter les frais actuellement…“
L’augmentation des frais d’inscription est le souhait de tous les présidents d’université. Celui qui dit le contraire, fait preuve d’hy?pocrisie. Mais personne ne peut prétendre augmenter les frais actuellement sans tenir compte de plusieurs paramètres y compris les décideurs. Il est question de la volonté politique. Un président d’université n’a pas les moyens d’augmenter tout seul ces frais sans se heurter aux grèves de certains étudiants. Autrement, il n’est pas normal qu’un étudiant inscrive son enfant à la maternelle à 80 mille francs Cfa et quand il s’agit de lui, il n’accepte pas d’aller au-delà des 6.000 Fcfa. L’augmentation est une affaire collective qui inclut les acteurs du système et l’Etat. Les parents d’élèves doivent être bien imprégnés des réalités pour contenir la rouspétance de leurs enfants.
Propos recueillis par Nesmon De Laure