Interview/Docteur Kings Collins, médecin chercheur ghanéen : « Je suis détenteur du remède du Sida »

Originaire du Ghana, le médecin King Collins est membre de l’association des médecins chercheur de la Cedeao. Il a passé 15 ans de sa carrière de médecin à la recherche du remède du Sida. Dans cette interview, il réussi à approfondir les recherches du non moins célèbre Drobo II. Le résultat est satisfaisant avec la mise sur le marché de Gold Sky Focus, remède très efficace contre le Sida, la tuberculose et la fièvre Typhoïde. Présent en Côte d’Ivoire depuis 1999, Dr Collins dirige l’Ong Fraternité Solidarité qui travaille en étroite collaboration avec le centre anti-tuberculeux d’Adjamé.

Dr, comment avez-vous découvert le remède Gold Sky Focus qui guérirait selon vous, le Sida ?
Je dirai d’entrée que je suis médecin de formation et j’exerce depuis une vingtaine d’année. Le Sida étant une pandémie qui décime la population, je me suis résolu à combattre ce mal. C’est ainsi que j’ai entrepris des recherches sur le virus dévastateur aux fins de trouver un médicament qui pourrait le stopper. Heureusement, chez nous au Ghana, l’Etat alloue des subventions aux chercheurs, dans divers domaines. J’ai donc bénéficié de ce soutien. Ce qui m’a permis de mener mes recherches. Dans cette quête, j’ai approfondi les recherches de feu Drobo II que tout le monde connait. Comme étant celui qui fut le premier africain a trouvé un remède du Sida. J’ai parcouru tout le Ghana. J’ai effectué des voyages au Nigeria, en Côte d’Ivoire. Du Nord au Sud. A l’aide de la médecine moderne et la médecine traditionnelle, j’ai sorti le remède Gold Sky Focus, et ce, après quinze ans de recherche.
Parlez nous du Gold Sky Focus ?
Souffrez que je ne vous donne pas les différentes composantes de ce médicament. Par contre, je pourrai vous dire que Gold Sky Focus traite divers maux. Gold Sky Focus No 1 guérit le Sida. Le No2 guérit la tuberculose et Gold Sky Focus No3 lui, traite les maladies chroniques. Un organisme atteint du virus du Sida, est généralement exposé aux autres maladies opportunistes telles que la tuberculose, le paludisme, la diarrhée, la fièvre typhoïde. C’est pourquoi, mon médicament, tout en combattant le Vih, traite ces maladies. Et le résultat est très appréciable.

Avez-vous déjà traité des cas de Vih déclarés guéris après traitement ?
Je reçois beaucoup de patients qui sont toujours satisfaits de Gold Sky Focus après traitement. Mais vous savez que les séropositifs étant marginalisés dans notre société, c’est souvent dans la discrétion que des personnes viennent me voir. Donc secret professionnel oblige, on ne peut pas révéler leurs noms.

Quels sont vos rapports avec les autorités sanitaires en Côte d’Ivoire ?
Ne sachant pas comment le domaine de la lutte contre le Sida est régulé en Côte d’Ivoire, j’ai préféré travailler dans la discrétion. C’est maintenant que j’ai entrepris des démarches auprès du ministère de la Santé. A ce niveau, on m’a confié des cas que je suis en train de traiter. C’est suite à cela que mon produit sera certifié. Mais, il est important de préciser que je travaille avec le centre anti-tuberculeux d’Adjamé pour les cas de tuberculose. Mes patients vont d’abord dans ce centre pour les examens. Si la maladie est déclarée, ils peuvent commencer le traitement avec Gold Sky Focus. Et les médecins constatent la guérison.

Plusieurs personnes disent soigner le Sida. Mais les résultats ne sont jamais probants. Dr, comment pouvez vous rassurer les Ivoiriens sur l’efficacité de votre médicament ?
Je ne vous dirai pas grande chose. Que celui qui doute de mes propos ou de Gold Sky Focus, apporte des cas de séropositifs. Je vais les traiter gratuitement et ils pourront voir les résultats. Plusieurs personnes prétendent soigner le Sida. Mais je dis, toute modestie mise à part, que j’ai le médicament le plus efficace contre le Sida qui est Gold Sky Focus. Ce n’est pas la recherche de gain qui me motive. Mais, je voudrais faire bénéficier aux autres, les résultats de plusieurs années de recherche. La preuve, Gold Sky Focus est vendu à un prix dérisoire. Je compte même le vulgariser auprès des Ong de lutte contre le Sida qui m’épaulent. Mon souci est que le médicament soit à la portée de tous les malades du Sida, quelque soit leur condition sociale.

Réalisée par Jérôme N’Dri