Vice-champion d'Afrique junior en 2002 avec Touré Yaya, N'dri Romaric et bien d'autres, Daniel Yeboah a vite gravi les échelons et a intégré la sélection ivoirienne de 2002 à 2004. Après moult péripéties d'une carrière de gardien de but, il frappe à nouveau à la porte des Eléphants après six années d'absence.
Vous êtes de retour en sélection nationale après six années d'absence. Comment vivez-vous cela ?
C'est un grand plaisir que j'éprouve en retrouvant la sélection. Etre appelé en sélection, c'est quelque chose d'important dans la vie d'un footballeur parce que c'est une occasion pour lui de défendre les couleurs de son pays.
Cette absence a-t-elle été dure pour vous ?
Ca été une période difficile pour moi. Pendant deux années (2002-2004), j'ai connu les joies et l'ambiance des regroupements. Et puis après, plus rien. Ca été la traversée du désert.
Vous faites partie du groupe de joueurs qui a commencé le stage de préparation depuis le 17 mai. Votre avis sur le travail effectué jusque-là?
Nous avons fourni un travail sérieux avec le staff technique depuis Montreux et cela se poursuit à Gstaad.
Quel est votre propre regard sur votre forme actuelle ?
Je me sens bien. Et je n'ai pas attendu d'arriver en Suisse pour me mettre au travail. J'ai commencé à bosser dans mon club, l'Asec Mimosas (Côte d'Ivoire).
Comment trouvez-vous l'ambiance au sein du groupe ?
L'ambiance est bonne et chaleureuse. C'est pareil que dans la période où je faisais partie du groupe. C'est convivial et ça donne envie de venir en sélection pour retrouver les amis.
Un gardien de but sera éliminé de la liste des quatre présélectionnés. Etes-vous confiant ?
Les quatre gardiens de but présélectionnés méritent tous leur présence au stage de préparation. Même si une certaine opinion trouve politiquement correct de dire que la sélection ivoirienne manque de gardien de but de valeur. Je ne suis pas d'avis avec ceux-là parce qu'au plan local il y a des talents. Bref, au final, ce sera le choix de l'entraîneur et ça me ferait plaisir de faire partie de la liste des 23 pour apporter ma contribution au rayonnement des Eléphants et du football ivoirien.
Et si vous ne figurez pas sur cette liste ?
Ce ne sera pas la fin du monde. La vie continue et je vais me remettre au travail.
Fif.ci
Vous êtes de retour en sélection nationale après six années d'absence. Comment vivez-vous cela ?
C'est un grand plaisir que j'éprouve en retrouvant la sélection. Etre appelé en sélection, c'est quelque chose d'important dans la vie d'un footballeur parce que c'est une occasion pour lui de défendre les couleurs de son pays.
Cette absence a-t-elle été dure pour vous ?
Ca été une période difficile pour moi. Pendant deux années (2002-2004), j'ai connu les joies et l'ambiance des regroupements. Et puis après, plus rien. Ca été la traversée du désert.
Vous faites partie du groupe de joueurs qui a commencé le stage de préparation depuis le 17 mai. Votre avis sur le travail effectué jusque-là?
Nous avons fourni un travail sérieux avec le staff technique depuis Montreux et cela se poursuit à Gstaad.
Quel est votre propre regard sur votre forme actuelle ?
Je me sens bien. Et je n'ai pas attendu d'arriver en Suisse pour me mettre au travail. J'ai commencé à bosser dans mon club, l'Asec Mimosas (Côte d'Ivoire).
Comment trouvez-vous l'ambiance au sein du groupe ?
L'ambiance est bonne et chaleureuse. C'est pareil que dans la période où je faisais partie du groupe. C'est convivial et ça donne envie de venir en sélection pour retrouver les amis.
Un gardien de but sera éliminé de la liste des quatre présélectionnés. Etes-vous confiant ?
Les quatre gardiens de but présélectionnés méritent tous leur présence au stage de préparation. Même si une certaine opinion trouve politiquement correct de dire que la sélection ivoirienne manque de gardien de but de valeur. Je ne suis pas d'avis avec ceux-là parce qu'au plan local il y a des talents. Bref, au final, ce sera le choix de l'entraîneur et ça me ferait plaisir de faire partie de la liste des 23 pour apporter ma contribution au rayonnement des Eléphants et du football ivoirien.
Et si vous ne figurez pas sur cette liste ?
Ce ne sera pas la fin du monde. La vie continue et je vais me remettre au travail.
Fif.ci