- Le Prix International Arc d’Europe. Le Patriote est distingué dans la Catégorie Platine. Ce prix qui récompense les entreprises du monde entier qui font de la promotion de leur notoriété et de la qualité leur crédo sera remis au Patriote, ce mois- ci, à Francfort (Allemagne). Le Patriote a déjà glané ce trophée.
2- 29 mai à Kampala (Ouganda)- Prix CNN "Multi- Choice African Journalist" du meilleur journaliste presse écrite d’Afrique Francophone (Alexandre Lebel)
3- 28 Novembre 2004- Ouaga (Burkina Faso)- Prix de la Libre expression
Le prix de l’Engagement
Depuis le 29 mai dernier, le Patriote est sur le toit de l’Afrique. De tous les avis, le sacre d’Alexandre Lebel, au 15ème Prix CNN de la presse Francophone, sonne comme le couronnement du travail d’engagement qu’abat, au jour le jour, avec ahan, la jeune équipe de ce journal rêvé, pensé et créé des mains du magnat et Golden Boy de la presse Hamed Bakayoko. Pour les chantres de la Négritude dont les figures de proue sont Léopold Senghor, Aimé Césaire, Léon Gontran Damas, « l’Engagement, c’est aussi mettre sa plume au service d’une cause noble.» De ce point de vue, le Patriote, en mettant dans son escarcelle ce prix et bien d’autres réputés sur l’échiquier international, revendique et confirme cette vue des pères de ce courant "indépendantiste" de pensée. Et cette distinction ne fait qu’également confirmer les missions que cette publication s’est assignées. C’est- à-dire le combat de l’équité, l’égalité de tous devant la justice et l’avènement d’une Côte d’Ivoire démocratique. Sur ce, tous ceux qui ont félicité Alexandre Lebel, n’ont toujours pas manqué de reconnaître et saluer cet engagement du journal. Aux premières loges de ces personnalités avisées, se trouve le ministre de la Communication, Ibrahim Sy Savané. Cet engagement, selon ce critique averti, est dû au fait que « le Patriote a une âme », c’est-à-dire un journal, non seulement constant dans sa ligne éditoriale, mais qui reste une publication loin des oripeaux de la compromission. Pour qui connaît la rigueur et l’attachement au travail bien fait de l’actuel Porte parole du gouvernement qu’est Ibrahim Sy savané, toute la chaîne de commandement du Patriote a pris la pleine mesure des challenges à venir en promettant de « faire plus et mieux pour mériter davantage de la tutelle. » Le ministre lui- même le disait, le jeudi dernier à son cabinet (22ème étage de la Tour C- Plateau): « Lorsqu’on est lauréat d’un prix aussi prestigieux, c’est en ce moment là que pèsent sur vos épaules les plus grandes responsabilités.» Et cela, le Directeur de publication, Coulibaly Sounkalo, le Rédacteur en chef, Koré Emmanuel, le Secrétaire général de la rédaction, Bakary Nimaga et l’ensemble de l’équipe rédactionnelle, sous la férule du Conseiller de la Rédaction, Raphaël Lakpé, en ont conscience.
Au-delà de ce combat teinté de l’engagement contre l’injustice, pour l’avènement de la démocratie, le Patriote tire aussi sa force et sa réputation dans le prototype du journal "Côte d’Ivoire en miniature". C’est-à-dire le reflet d’une Côte d’Ivoire que souhaite le Rassemblement des Républicains (RDR) et son président Alassane Dramane Ouattara. C’est-à- dire un pays où de jeunes gens issus des quatre coins du pays se pratiquent en pratiquant leur métier en toute responsabilité, dans les règles de l’art. De la haute instance de la chaîne de commandement à tous les autres échelons, ce sont de jeunes Ivoiriens de l’Ouest, du Sud, du Nord, de l’Est et du Centre qui conjuguent leurs talents en exerçant leur métier de journaliste, dans une saine émulation, depuis plus d’une décennie. Comme on le voit, c’est également cette performance qui fait que le régime des refondateurs maintient le Patriote dans l’œil du cyclone. Les multiples brimades des journalistes et casses de l’outil de production n’ont, nullement, altéré cet engagement. Le comble, c’est l’incendie et la réduction en cendres du siège de ce quotidien le 4 novembre 2004 par les Jeunes patriotes aux ordres du régime.
En réalité, les prix que glane le Patriote sur l’échiquier international- les distinctions locales sont désormais visées- ne sont que le fruit, non seulement de la qualité du travail, mais, celui de la cohésion et la foi en un idéal: une Côte d’Ivoire au travail et riche de sa diversité.
JAD
2- 29 mai à Kampala (Ouganda)- Prix CNN "Multi- Choice African Journalist" du meilleur journaliste presse écrite d’Afrique Francophone (Alexandre Lebel)
3- 28 Novembre 2004- Ouaga (Burkina Faso)- Prix de la Libre expression
Le prix de l’Engagement
Depuis le 29 mai dernier, le Patriote est sur le toit de l’Afrique. De tous les avis, le sacre d’Alexandre Lebel, au 15ème Prix CNN de la presse Francophone, sonne comme le couronnement du travail d’engagement qu’abat, au jour le jour, avec ahan, la jeune équipe de ce journal rêvé, pensé et créé des mains du magnat et Golden Boy de la presse Hamed Bakayoko. Pour les chantres de la Négritude dont les figures de proue sont Léopold Senghor, Aimé Césaire, Léon Gontran Damas, « l’Engagement, c’est aussi mettre sa plume au service d’une cause noble.» De ce point de vue, le Patriote, en mettant dans son escarcelle ce prix et bien d’autres réputés sur l’échiquier international, revendique et confirme cette vue des pères de ce courant "indépendantiste" de pensée. Et cette distinction ne fait qu’également confirmer les missions que cette publication s’est assignées. C’est- à-dire le combat de l’équité, l’égalité de tous devant la justice et l’avènement d’une Côte d’Ivoire démocratique. Sur ce, tous ceux qui ont félicité Alexandre Lebel, n’ont toujours pas manqué de reconnaître et saluer cet engagement du journal. Aux premières loges de ces personnalités avisées, se trouve le ministre de la Communication, Ibrahim Sy Savané. Cet engagement, selon ce critique averti, est dû au fait que « le Patriote a une âme », c’est-à-dire un journal, non seulement constant dans sa ligne éditoriale, mais qui reste une publication loin des oripeaux de la compromission. Pour qui connaît la rigueur et l’attachement au travail bien fait de l’actuel Porte parole du gouvernement qu’est Ibrahim Sy savané, toute la chaîne de commandement du Patriote a pris la pleine mesure des challenges à venir en promettant de « faire plus et mieux pour mériter davantage de la tutelle. » Le ministre lui- même le disait, le jeudi dernier à son cabinet (22ème étage de la Tour C- Plateau): « Lorsqu’on est lauréat d’un prix aussi prestigieux, c’est en ce moment là que pèsent sur vos épaules les plus grandes responsabilités.» Et cela, le Directeur de publication, Coulibaly Sounkalo, le Rédacteur en chef, Koré Emmanuel, le Secrétaire général de la rédaction, Bakary Nimaga et l’ensemble de l’équipe rédactionnelle, sous la férule du Conseiller de la Rédaction, Raphaël Lakpé, en ont conscience.
Au-delà de ce combat teinté de l’engagement contre l’injustice, pour l’avènement de la démocratie, le Patriote tire aussi sa force et sa réputation dans le prototype du journal "Côte d’Ivoire en miniature". C’est-à-dire le reflet d’une Côte d’Ivoire que souhaite le Rassemblement des Républicains (RDR) et son président Alassane Dramane Ouattara. C’est-à- dire un pays où de jeunes gens issus des quatre coins du pays se pratiquent en pratiquant leur métier en toute responsabilité, dans les règles de l’art. De la haute instance de la chaîne de commandement à tous les autres échelons, ce sont de jeunes Ivoiriens de l’Ouest, du Sud, du Nord, de l’Est et du Centre qui conjuguent leurs talents en exerçant leur métier de journaliste, dans une saine émulation, depuis plus d’une décennie. Comme on le voit, c’est également cette performance qui fait que le régime des refondateurs maintient le Patriote dans l’œil du cyclone. Les multiples brimades des journalistes et casses de l’outil de production n’ont, nullement, altéré cet engagement. Le comble, c’est l’incendie et la réduction en cendres du siège de ce quotidien le 4 novembre 2004 par les Jeunes patriotes aux ordres du régime.
En réalité, les prix que glane le Patriote sur l’échiquier international- les distinctions locales sont désormais visées- ne sont que le fruit, non seulement de la qualité du travail, mais, celui de la cohésion et la foi en un idéal: une Côte d’Ivoire au travail et riche de sa diversité.
JAD
