L’Association Nationale des Producteurs de Café et de Cacao de Côte d’Ivoire (ANAPROCI) et tous ses syndicats satellites ne veulent plus se laisser ‘’infantiliser’’. Ils ont promis ‘’voir clair’’ dans tout ce qui touche à la filière.
Réunion de Genève
Les producteurs de cacao entendent prendre désormais leurs responsabilités sur tout ce qui touche à leurs intérêts. Pour eux, pour n’avoir pas été associés aux travaux préparatoires de la conférence des Nations Unies sur le cacao, destinée à la négociation du septième accord international sur le cacao, ils disent ne pas se sentir concernés par cette réunion. Par la voix du président de l’Association Nationale des Producteurs de Café et de Cacao de Côte d’Ivoire (ANAPROCI), M. Boti Bi Zoua, ils ont soutenu que « le cacao est le fruit du travail du producteur qui n’est ni agent de l’Etat ni membre d’un organisme gouvernemental. Mais plutôt un opérateur privé qui mérite d’être considéré comme tel, en l’associant pleinement aux actions qui l’engagent pour la vie ». C’est pourquoi, ils ont exigé que les actes qui seront pris en leur nom revêtent désormais la signature de l’ANAPROCI ainsi que celles des structures alliées.
Mandat du comité de gestion
Prolongé plusieurs fois par décret, les producteurs, qui disent ne pas être satisfaits du mode de gestion à eux servis, ont demandé la mise à terme définitif de la mission du comité de gestion. « Les OPA de la filière réunies autour de l’ANAPROCI sont déterminées à assurer la gestion de leur filière », a dit le président Boti Bi Zoua. Pour lui, le chef de l’Etat a indiqué que « l’ANAPROCI est une association qui peut se gérer par les responsables de la filière ; l’important pour l’Etat, c’est de percevoir son D.U.S ».
La reforme en préparation
Les producteurs disent ne pas avoir reçu la dernière monture de ce projet de reforme. « En conséquence, les actions en cours pour la mise en place de cette reforme sont nulles d’effet et ne regardent que ceux qui se sont donnés cette responsabilité en dehors des producteurs ».
Jules César
Réunion de Genève
Les producteurs de cacao entendent prendre désormais leurs responsabilités sur tout ce qui touche à leurs intérêts. Pour eux, pour n’avoir pas été associés aux travaux préparatoires de la conférence des Nations Unies sur le cacao, destinée à la négociation du septième accord international sur le cacao, ils disent ne pas se sentir concernés par cette réunion. Par la voix du président de l’Association Nationale des Producteurs de Café et de Cacao de Côte d’Ivoire (ANAPROCI), M. Boti Bi Zoua, ils ont soutenu que « le cacao est le fruit du travail du producteur qui n’est ni agent de l’Etat ni membre d’un organisme gouvernemental. Mais plutôt un opérateur privé qui mérite d’être considéré comme tel, en l’associant pleinement aux actions qui l’engagent pour la vie ». C’est pourquoi, ils ont exigé que les actes qui seront pris en leur nom revêtent désormais la signature de l’ANAPROCI ainsi que celles des structures alliées.
Mandat du comité de gestion
Prolongé plusieurs fois par décret, les producteurs, qui disent ne pas être satisfaits du mode de gestion à eux servis, ont demandé la mise à terme définitif de la mission du comité de gestion. « Les OPA de la filière réunies autour de l’ANAPROCI sont déterminées à assurer la gestion de leur filière », a dit le président Boti Bi Zoua. Pour lui, le chef de l’Etat a indiqué que « l’ANAPROCI est une association qui peut se gérer par les responsables de la filière ; l’important pour l’Etat, c’est de percevoir son D.U.S ».
La reforme en préparation
Les producteurs disent ne pas avoir reçu la dernière monture de ce projet de reforme. « En conséquence, les actions en cours pour la mise en place de cette reforme sont nulles d’effet et ne regardent que ceux qui se sont donnés cette responsabilité en dehors des producteurs ».
Jules César