La Côte d’Ivoire est à un pas de l’atteinte du point d’achèvement de l’initiative en faveur des pays pauvres très endettés (PPTE). Ce dernier round va permettre de récompenser les efforts des autorités ivoiriennes. Elles qui, depuis peu, se sont saignées pour honorer les engagements des bailleurs de fonds.
C’est l’année prochaine, précisément au premier trimestre 2011 que le sort de la Côte d’Ivoire, concernant l’atteinte du point d’achèvement de l’Initiative en faveur des pays pauvres très endettés (PPTE), sera connu. Cette initiative devra permettre à la Côte d’Ivoire de bénéficier d’un allègement total de sa dette extérieure. Cette occasion ultime permettra également au pays dont toutes les infrastructures (routières, sanitaires, éducatives…) sont à refaire, de redonner goût à la vie de ses populations dont le niveau de vie a graduellement chuté. En raison de l’état de dégradation de toutes ces infrastructures, la Côte d’Ivoire, connue pour être le pays phare de la sous-région, a perdu son lustre d’antan. C’est ce défi que le gouvernement ivoirien entend relever à travers des actions que pose le ministre de l’Economie et des Finances, afin d’obtenir une annulation de la dette extérieure. Charles Diby Koffi est persuadé que ‘’la mise en œuvre satisfaisante des réformes, en matière d’assainissement du cadre macroéconomique, de gestion des finances publiques, de renforcement de la transparence et surtout de mise en œuvre des réformes sectorielles, permettra d’amorcer une dynamique de croissance à même de soutenir la politique de lutte contre la pauvreté’’. Au regard du chemin déjà parcouru, depuis l’atteinte du point de décision de l’Initiative PPTE en décembre 2008, il y a une lueur d’espoir pour l’avenir de l’économie ivoirienne et partant pour toute la population. Cette conviction est fondée sur le fait que la Côte d’Ivoire est en passe d’atteindre le point d’achèvement de l’initiative d’annulation de sa dette extérieure. Mais toujours est-il que les efforts d’assainissement du cadre macro-économique doivent être poursuivi. Il en est de même pour les acteurs politiques qui doivent se décider. Outre la poursuite des mesures d’assainissement du cadre macro-économique, les bailleurs de fonds sont aussi regardants sur la tenue des élections en Côte d’Ivoire. C’est une nécessité pour eux, parce qu’ils veulent s’assurer que l’environnement est propice aux affaires. L’avantage pour la Côte d’Ivoire à atteindre le point d’achèvement de l’initiative PPTE, explique Madani Tall, Directeur pour la Côte d'Ivoire (Ndlr), réside dans le fait que cela permettra d'élargir les possibilités financières du pays d'investir dans des services sociaux qui font gravement défaut. Notamment dans la santé, l'éducation et le développement rural. Cela permettra également d'appuyer les efforts du pays pour consolider la paix et le renouveau. La Côte d’Ivoire a enregistré un taux de croissance de 3,8% en 2009, et un taux d’inflation annuel moyen de 1%. Toute chose qui porte à croire que l’économie ivoirienne présente des signaux encourageants aux dires de l’argentier ivoirien. Ces indicateurs quantitatifs auraient atteint un haut niveau de croissance n’eut été le contexte de crise économique mondiale. C’est la raison pour laquelle pour le locataire du 19ème étage de l’immeuble Sciam, ‘’il faut poursuivre les efforts de mise en œuvre des programmes conformément au PPTE’’
Honoré Kouassi
C’est l’année prochaine, précisément au premier trimestre 2011 que le sort de la Côte d’Ivoire, concernant l’atteinte du point d’achèvement de l’Initiative en faveur des pays pauvres très endettés (PPTE), sera connu. Cette initiative devra permettre à la Côte d’Ivoire de bénéficier d’un allègement total de sa dette extérieure. Cette occasion ultime permettra également au pays dont toutes les infrastructures (routières, sanitaires, éducatives…) sont à refaire, de redonner goût à la vie de ses populations dont le niveau de vie a graduellement chuté. En raison de l’état de dégradation de toutes ces infrastructures, la Côte d’Ivoire, connue pour être le pays phare de la sous-région, a perdu son lustre d’antan. C’est ce défi que le gouvernement ivoirien entend relever à travers des actions que pose le ministre de l’Economie et des Finances, afin d’obtenir une annulation de la dette extérieure. Charles Diby Koffi est persuadé que ‘’la mise en œuvre satisfaisante des réformes, en matière d’assainissement du cadre macroéconomique, de gestion des finances publiques, de renforcement de la transparence et surtout de mise en œuvre des réformes sectorielles, permettra d’amorcer une dynamique de croissance à même de soutenir la politique de lutte contre la pauvreté’’. Au regard du chemin déjà parcouru, depuis l’atteinte du point de décision de l’Initiative PPTE en décembre 2008, il y a une lueur d’espoir pour l’avenir de l’économie ivoirienne et partant pour toute la population. Cette conviction est fondée sur le fait que la Côte d’Ivoire est en passe d’atteindre le point d’achèvement de l’initiative d’annulation de sa dette extérieure. Mais toujours est-il que les efforts d’assainissement du cadre macro-économique doivent être poursuivi. Il en est de même pour les acteurs politiques qui doivent se décider. Outre la poursuite des mesures d’assainissement du cadre macro-économique, les bailleurs de fonds sont aussi regardants sur la tenue des élections en Côte d’Ivoire. C’est une nécessité pour eux, parce qu’ils veulent s’assurer que l’environnement est propice aux affaires. L’avantage pour la Côte d’Ivoire à atteindre le point d’achèvement de l’initiative PPTE, explique Madani Tall, Directeur pour la Côte d'Ivoire (Ndlr), réside dans le fait que cela permettra d'élargir les possibilités financières du pays d'investir dans des services sociaux qui font gravement défaut. Notamment dans la santé, l'éducation et le développement rural. Cela permettra également d'appuyer les efforts du pays pour consolider la paix et le renouveau. La Côte d’Ivoire a enregistré un taux de croissance de 3,8% en 2009, et un taux d’inflation annuel moyen de 1%. Toute chose qui porte à croire que l’économie ivoirienne présente des signaux encourageants aux dires de l’argentier ivoirien. Ces indicateurs quantitatifs auraient atteint un haut niveau de croissance n’eut été le contexte de crise économique mondiale. C’est la raison pour laquelle pour le locataire du 19ème étage de l’immeuble Sciam, ‘’il faut poursuivre les efforts de mise en œuvre des programmes conformément au PPTE’’
Honoré Kouassi
