Des organisations du secteur des auto-écoles veulent désormais avoir en leur possession les dossiers des permis de conduire. Ils ont pris cette importante décision au cours d’une assemblée générale tenue hier à Abidjan (Plateau).
Les dossiers des permis de conduire sont présentement logés à la Direction générale des transports terrestres et de la circulation (DGTTC). Le Groupement professionnel des propriétaires des établissements d’enseignements de la conduite automobile (GPPEECA), le Syndicat national des employés exploitants et moniteurs d’auto-écoles de la Côte d’Ivoire (SYNEEMAECI) et l’Organisation professionnelle de fondateurs d’auto-écoles de la Côte d’Ivoire (OPFAE-CI) sont mécontents parce que ces dossiers sont confiés à la DGTTC. Au cours d’une assemblée générale tenue hier à Abidjan, ces trois organisations ont exigé que les dossiers des permis de conduire leur reviennent. Ils ne veulent plus qu’ils soient l’affaire de la DGTTC. Sans donner les raisons qui les ont motivés à prendre cette décision, le Gppeeca, le Syneemaeci et l’Opfae-ci ont aussi exigé au cours de cette rencontre l’arrêt des paiements des immatriculations et des « régies » à partir du lundi. Cette coordination d’organisations du secteur des auto-écoles, présidée par le doyen Paul Pépé, réclame aussi les sommes encaissées aux responsables des auto-écoles. Pour l’organisation des examens du permis de conduire, la coordination exige la mise sur pied d’un service autonome pour coordonner les activités. Les revendications de Paul Pépé et ses camarades sont énormes. Néanmoins, ils restent fermes pour que les quelques unes citées un peu haut aient un début de solutions. « Pour la non réception de ces revendications, la coordination se réserve le droit de porter plainte contre la DGTTC », a prévenu la coordination au cours de l’Assemblée générale d’hier. Elle n’entend par ailleurs se limiter à cette plainte au cas où elle n’aura pas gain de cause. La coordination menace aussi d’entrer en grève dans les jours à venir. En attendant Paul Pépé et ses camarades des autres organisations souhaitent avoir une audience avec le chef de l’Etat. Bien avant la coordination veut que ses membres soient représentés au sein du conseil d’administration de la Sonatt.
Souleymane Koné
Les dossiers des permis de conduire sont présentement logés à la Direction générale des transports terrestres et de la circulation (DGTTC). Le Groupement professionnel des propriétaires des établissements d’enseignements de la conduite automobile (GPPEECA), le Syndicat national des employés exploitants et moniteurs d’auto-écoles de la Côte d’Ivoire (SYNEEMAECI) et l’Organisation professionnelle de fondateurs d’auto-écoles de la Côte d’Ivoire (OPFAE-CI) sont mécontents parce que ces dossiers sont confiés à la DGTTC. Au cours d’une assemblée générale tenue hier à Abidjan, ces trois organisations ont exigé que les dossiers des permis de conduire leur reviennent. Ils ne veulent plus qu’ils soient l’affaire de la DGTTC. Sans donner les raisons qui les ont motivés à prendre cette décision, le Gppeeca, le Syneemaeci et l’Opfae-ci ont aussi exigé au cours de cette rencontre l’arrêt des paiements des immatriculations et des « régies » à partir du lundi. Cette coordination d’organisations du secteur des auto-écoles, présidée par le doyen Paul Pépé, réclame aussi les sommes encaissées aux responsables des auto-écoles. Pour l’organisation des examens du permis de conduire, la coordination exige la mise sur pied d’un service autonome pour coordonner les activités. Les revendications de Paul Pépé et ses camarades sont énormes. Néanmoins, ils restent fermes pour que les quelques unes citées un peu haut aient un début de solutions. « Pour la non réception de ces revendications, la coordination se réserve le droit de porter plainte contre la DGTTC », a prévenu la coordination au cours de l’Assemblée générale d’hier. Elle n’entend par ailleurs se limiter à cette plainte au cas où elle n’aura pas gain de cause. La coordination menace aussi d’entrer en grève dans les jours à venir. En attendant Paul Pépé et ses camarades des autres organisations souhaitent avoir une audience avec le chef de l’Etat. Bien avant la coordination veut que ses membres soient représentés au sein du conseil d’administration de la Sonatt.
Souleymane Koné