“Jamais nous ne composerons avec le FPI, au détriment du RDR. C’est un vœu sincère du coeur et une promesse infaillible à l’endroit du président Alassane Ouattara. » Tel a été le résumé de la rencontre d’échange entre Sénoufo et le directeur national de campane du Dr Alassane Ouattara, ce week-end à Yamoussoukro. C’était à l’occasion de la sortie des femmes ressortissantes du Nord, dont les femmes de Yamoussoukro, Didiévi, Bouaflé, Sinfra et Kononfla. Le directeur national de campagne du Dr Alassane Ouattara, était pour la seconde fois, l’invité des femmes sénoufo, qui ont pris la responsabilité d’amener leurs maris et fils à voter le président du RDR. A cette occasion, le chef central sénoufo de la région des Lacs est monté au créneau à travers son porte-parole, Yéo Ali, pour traduire les affirmations de la communauté : « Nous ne serons jamais au FPI ». A l’en croire, seul Alassane Ouattara incarne l’unité et la cohésion. Aucun sénoufo, sous son commandement ne peut devenir FPI, a-t-il fait savoir. La population du Nord, reste attachée aux valeurs culturelles et aux coutumes, s’est insurgé le chef de la communauté. Dr Malick se trompe quand il dit que nous sommes acquis à sa cause. Aucun sénoufo n’est prêt à voter Gbagbo, pour la simple raison qu’un des nôtres est candidat, en la personne du premier ministre Alassane Ouattara.
Quant au directeur national de campagne, il n’est pas passé par quatre chemins : « Alassane incarne la vérité et la cohésion. C’est seul lui, qui veut le bien-être sociale de la population. » Selon lui, ADO en a fait déjà la démonstration depuis Houphouët et reste la dernière chance pour la Côte d’Ivoire ». Avant d’exhorter les femmes et le peuple souverain, à s’opposer par à la nature de l’opposition que va opposer le régime FPI.
Pour sa part, Kandia Camara a appelé les femmes à attacher leurs « Kéiwas » pour réclamer la date des élections. A l’en croire, dire encore qu’une femme ivoirienne souffre relève du « pléonasme », parce que les refondateurs se sont emparés de toute la richesse ivoirienne.
Jacquelin Mintoh.
Quant au directeur national de campagne, il n’est pas passé par quatre chemins : « Alassane incarne la vérité et la cohésion. C’est seul lui, qui veut le bien-être sociale de la population. » Selon lui, ADO en a fait déjà la démonstration depuis Houphouët et reste la dernière chance pour la Côte d’Ivoire ». Avant d’exhorter les femmes et le peuple souverain, à s’opposer par à la nature de l’opposition que va opposer le régime FPI.
Pour sa part, Kandia Camara a appelé les femmes à attacher leurs « Kéiwas » pour réclamer la date des élections. A l’en croire, dire encore qu’une femme ivoirienne souffre relève du « pléonasme », parce que les refondateurs se sont emparés de toute la richesse ivoirienne.
Jacquelin Mintoh.