En meeting, samedi, à Yamoussoukro, Amadou Gon Coulibaly, secrétaire général délégué du Rassemblement des républicains (Rdr) a laissé entendre que la patience du peuple ivoirien a des limites. Il faisait ainsi allusion aux élections qui tardent.
La deuxième sortie de l'Association ''Wobin'' (Soyons unis, en Sénoufo, ndlr), trois ans après sa création, s'est muée en une immense fête de retrouvailles autour du ministre Amadou Gon Coulibaly. Les Sénoufo de Dabakala, Katiola, Ferké… résidant à Yamoussoukro, ceux des départements de Bouaflé, Didiévi, Toumodi, etc., leurs alliés auxquels se sont joints des représentants de la chefferie traditionnelle locale sont venus, samedi dernier, soutenir les femmes Sénoufo. Offrant ainsi une tribune au secrétaire général délégué du Rassemblement des républicains (Rdr), directeur national de campagne du candidat Alassane Dramane Ouattara, de se prononcer sur l'actualité politique nationale. Une occasion aussi pour les chefs locaux de la communauté Sénoufo de réaffirmer « publiquement leur engagement clair et sans ambigüité aux côtés du président Alassane Ouattara pour le porter à la magistrature suprême du pays », a expliqué le Dnc. Amadou Gon Coulibaly a clamé son « intime conviction que d'ici octobre, les Ivoiriens vont décider. Ils choisiront leur président ». Aussi souhaite-t-il que « la sagesse gagne le chef de l'Etat et son clan, pour que le mois de septembre soit un mois de paix, permettant de porter à la tête de la Côte d'Ivoire, celui qui va faire que nous en serons tous fiers ». Car, soutient le Dnc d'ADO, « le peuple est sage, il veut la paix, le développement, la croissance économique… L'on commence à être fatigué et à en avoir marre ». Pour l'ancien ministre de l'Agriculture, toutes les entraves « artificielles du camp présidentiel n'ont qu'un seul objectif : retarder le processus électoral. Nous disons : trop, c'est trop ! Je le dis, le peuple prendra son destin en main. Il faut donc que nous ayons nos cartes nationales d'identité, nos cartes d'électeurs, et la date des élections afin qu'en septembre nous puissions aller à ces élections qui vont mettre définitivement fin à la parenthèse que nous connaissons depuis l'an 2000 », a-t-il mis en garde. Pour clore son adresse, le Dnc d'ADO a engagé les dirigeants locaux de son parti à veiller, relativement au contentieux qui s'ouvre demain, que les militants aillent vérifier que leurs noms figurent bien sur la liste électorale.
Ousmane Diallo à Yamoussoukro
La deuxième sortie de l'Association ''Wobin'' (Soyons unis, en Sénoufo, ndlr), trois ans après sa création, s'est muée en une immense fête de retrouvailles autour du ministre Amadou Gon Coulibaly. Les Sénoufo de Dabakala, Katiola, Ferké… résidant à Yamoussoukro, ceux des départements de Bouaflé, Didiévi, Toumodi, etc., leurs alliés auxquels se sont joints des représentants de la chefferie traditionnelle locale sont venus, samedi dernier, soutenir les femmes Sénoufo. Offrant ainsi une tribune au secrétaire général délégué du Rassemblement des républicains (Rdr), directeur national de campagne du candidat Alassane Dramane Ouattara, de se prononcer sur l'actualité politique nationale. Une occasion aussi pour les chefs locaux de la communauté Sénoufo de réaffirmer « publiquement leur engagement clair et sans ambigüité aux côtés du président Alassane Ouattara pour le porter à la magistrature suprême du pays », a expliqué le Dnc. Amadou Gon Coulibaly a clamé son « intime conviction que d'ici octobre, les Ivoiriens vont décider. Ils choisiront leur président ». Aussi souhaite-t-il que « la sagesse gagne le chef de l'Etat et son clan, pour que le mois de septembre soit un mois de paix, permettant de porter à la tête de la Côte d'Ivoire, celui qui va faire que nous en serons tous fiers ». Car, soutient le Dnc d'ADO, « le peuple est sage, il veut la paix, le développement, la croissance économique… L'on commence à être fatigué et à en avoir marre ». Pour l'ancien ministre de l'Agriculture, toutes les entraves « artificielles du camp présidentiel n'ont qu'un seul objectif : retarder le processus électoral. Nous disons : trop, c'est trop ! Je le dis, le peuple prendra son destin en main. Il faut donc que nous ayons nos cartes nationales d'identité, nos cartes d'électeurs, et la date des élections afin qu'en septembre nous puissions aller à ces élections qui vont mettre définitivement fin à la parenthèse que nous connaissons depuis l'an 2000 », a-t-il mis en garde. Pour clore son adresse, le Dnc d'ADO a engagé les dirigeants locaux de son parti à veiller, relativement au contentieux qui s'ouvre demain, que les militants aillent vérifier que leurs noms figurent bien sur la liste électorale.
Ousmane Diallo à Yamoussoukro