Le Mouvement pour le départ de Jacques Anouma de la FIF (MODAF) piloté par Lallié Olivier vient de pousser le pion très loin. En plus de la programmation d’une marche suivie d’un meeting ce mois-ci, il a envoyé des courriers au milieu sportif ivoirien et bien plus, au plan international.
Le MODAF est déterminé à aller jusqu’au bout pour couler le président de la FIF, Jacques Anouma qu’il accuse d’être la cause des échecs répétés des Eléphants aux compétitions internationales. Depuis l’élimination de Didier Drogba et des siens au premier tour de la 19e édition de la coupe du monde 2010, ce mouvement est actif sur le terrain. Il se substitue aux présidents de clubs et mène une véritable fronde contre le premier responsable du ballon rond en Eburnie. Après un sit-in vite dispersé par la police en juin dernier, le MODAF s’apprête à récidiver. Cette fois-ci, de manière officielle et légale. C’est la date du mardi 27 juillet 2010 qui a été retenue pour une marche d’envergure devant le siège de la fédération à Treichville, avec en ligne de mire un meeting gigantesque. Pour réussir son coup, le président du MODAF, Lallié Olivier, a pris contact avec les présidents de clubs en les informant par courrier depuis le 15 juillet 2010. Mieux, ce courrier qui relate les motivations du MODAF a été acheminé au Ministère de l’Intérieur, au Ministère des sports, au Commandement supérieur de la Gendarmerie, à la Direction générale de la Police, à la Direction générale de la FIF etc. Mais ce qui surprend, c’est que Lallié Olivier et ses camarades « jeunes patriotes » ont eu l’audace d’envoyer des ampliations du courrier à la Confédération Africaine de Football (CAF) et à la FIFA. « Depuis 2006, les Ivoiriens ne font que pleurer par la faute de la FIF », peut-on lire dans le courrier. Pis, Lallié écrit même que « Anouma gère la FIF comme son patrimoine privé ». Et d’exiger que le patron de la maison de verre de Treichville, organise une assemblée générale extraordinaire pour faire le bilan de toutes les compétitions internationales avant de démissionner. « Le MODAF demande à tous les présidents de clubs de prendre leurs responsabilité pour exiger la tenue d’une assemblée générale », souligne le courrier du MODAF qui se réjouit du soutien sans faille des présidents de clubs. En tout cas, le MODAF se dit prêt à aller jusqu’au bout pour faire partir le locataire actuel de la FIF. Les prochains jours nous situeront
Annoncia Sehoué
Le MODAF est déterminé à aller jusqu’au bout pour couler le président de la FIF, Jacques Anouma qu’il accuse d’être la cause des échecs répétés des Eléphants aux compétitions internationales. Depuis l’élimination de Didier Drogba et des siens au premier tour de la 19e édition de la coupe du monde 2010, ce mouvement est actif sur le terrain. Il se substitue aux présidents de clubs et mène une véritable fronde contre le premier responsable du ballon rond en Eburnie. Après un sit-in vite dispersé par la police en juin dernier, le MODAF s’apprête à récidiver. Cette fois-ci, de manière officielle et légale. C’est la date du mardi 27 juillet 2010 qui a été retenue pour une marche d’envergure devant le siège de la fédération à Treichville, avec en ligne de mire un meeting gigantesque. Pour réussir son coup, le président du MODAF, Lallié Olivier, a pris contact avec les présidents de clubs en les informant par courrier depuis le 15 juillet 2010. Mieux, ce courrier qui relate les motivations du MODAF a été acheminé au Ministère de l’Intérieur, au Ministère des sports, au Commandement supérieur de la Gendarmerie, à la Direction générale de la Police, à la Direction générale de la FIF etc. Mais ce qui surprend, c’est que Lallié Olivier et ses camarades « jeunes patriotes » ont eu l’audace d’envoyer des ampliations du courrier à la Confédération Africaine de Football (CAF) et à la FIFA. « Depuis 2006, les Ivoiriens ne font que pleurer par la faute de la FIF », peut-on lire dans le courrier. Pis, Lallié écrit même que « Anouma gère la FIF comme son patrimoine privé ». Et d’exiger que le patron de la maison de verre de Treichville, organise une assemblée générale extraordinaire pour faire le bilan de toutes les compétitions internationales avant de démissionner. « Le MODAF demande à tous les présidents de clubs de prendre leurs responsabilité pour exiger la tenue d’une assemblée générale », souligne le courrier du MODAF qui se réjouit du soutien sans faille des présidents de clubs. En tout cas, le MODAF se dit prêt à aller jusqu’au bout pour faire partir le locataire actuel de la FIF. Les prochains jours nous situeront
Annoncia Sehoué
