Le Conseiller spécial du Premier ministre chargé des questions de la culture et des sports M. Bamba Alex Souleymane (BAS) 33ème invité de la tribune ‘’les petits déjeuners de La Majorité Présidentielle’’, a exposé sur ‘’le repositionnement de l’image de la Côte d’Ivoire sur le plan international’’. C’était le mardi 20 juillet 2010 à Cocody les Deux-plateaux.
Pour relever définitivement la Côte d’Ivoire rabaissée, martyrisée, piétinée et traumatisée selon les propres termes de Bamba Alex Souleymane, il faut que les Ivoiriens agissent ensemble dans un sursaut d’orgueil national. Pour cela, BAS demande aux Ivoiriens s’approprier, les vertus de solidarité, d’entraide, de convivialité, d’amour, de fraternité et de cohésion sociale. En tournant le dos aux injures, aux dénigrements, à la jalousie, la délation, l’hypocrisie, la perfidie et la haine gratuite qui ont ‘’taraudé les valeurs sociales et culturelles qui en constituaient la racine’’. Mieux, dans son propos liminaire, le Conseiller spécial du Premier ministre met en exergue ‘’le respect’’, qui constitue à ses yeux, un maillon essentiel dans le repositionnement de l’image de la Côte d’Ivoire sur le plan international. ‘’Nous devons apprendre à nous respecter à l’intérieur, afin d’espérer qu’on nous respecte à l’extérieur. Cette posture nous impose que nous respections en premier lieu, ceux qui incarnent la République…Quel est ce pays où tout le monde pense qu’il peut insulter impunément le Président de la République Laurent Gbagbo, l’ancien Président Henri Konan Bédié ou le Premier ministre Alassane Ouattara ?...Qui mieux que le Chef de l’Etat Laurent Gbagbo peut nous conduire sur la voie de la vrai réconciliation des cœurs et des esprits ? ‘’, s’est interrogé Bamba Alex Souleymane. Pour qui, rien au monde ne mettait en péril l’équilibre de la Côte d’Ivoire. ‘’La plaie de la Côte d’Ivoire est en nous-mêmes…Tout le monde est coupable et responsable de la situation que nous vivons. Il faut que le temps de la sagesse habite les Ivoiriens. Il faut une société renouvelée qui sera débarrassée de ses propres aspérités. Il y a des faiblesses originelles qui ont conduit le pays à l’impasse. Cela nous impose une attitude rectiligne et morale. Il faut une modification de nos comportements et un changement de régime (régime parlementaire) pour atténuer ces velléités de part et d’autre de vouloir venir au pouvoir. Il faut lâcher du lest et repenser notre mode de fonctionnement. Définir un cadre de réflexion pour en sortir une sorte de charte morale. Revenons aux valeurs démocratiques fortes. Des valeurs sur lesquelles, l’on devait s’appuyer pour relever la Côte d’Ivoire’’, a expliqué BAS. Se prononçant sur l’incarcération des confrères de ‘’Le Nouveau Courrier’’, le Conseiller spécial du Premier ministre a demandé la clémence du procureur de la République. Mais en tant que professionnel de la communication, le PDG des ‘’Editions Dunya’’, a précisé qu’on ne ‘’doit pas, au nom de la liberté, s’accorder toutes les libertés’’. Interrogé sur le rapport de l’enquête du procureur Tchimou sur l’affaire Tagro, le conférencier a dit qu’il aurait souhaité que cette ‘’affaire n’existât pas et le regrette profondément’’. Quant à l’opportunité de l’Accord Politique de Ouaga, le collaborateur de Guillaume Soro a été très précis : L’APO a été, reste et demeure le seul instrument important permettant d’élire un Président et d’apporter la paix. L’APO est toujours d’actualité’’
Dosso Villard
Pour relever définitivement la Côte d’Ivoire rabaissée, martyrisée, piétinée et traumatisée selon les propres termes de Bamba Alex Souleymane, il faut que les Ivoiriens agissent ensemble dans un sursaut d’orgueil national. Pour cela, BAS demande aux Ivoiriens s’approprier, les vertus de solidarité, d’entraide, de convivialité, d’amour, de fraternité et de cohésion sociale. En tournant le dos aux injures, aux dénigrements, à la jalousie, la délation, l’hypocrisie, la perfidie et la haine gratuite qui ont ‘’taraudé les valeurs sociales et culturelles qui en constituaient la racine’’. Mieux, dans son propos liminaire, le Conseiller spécial du Premier ministre met en exergue ‘’le respect’’, qui constitue à ses yeux, un maillon essentiel dans le repositionnement de l’image de la Côte d’Ivoire sur le plan international. ‘’Nous devons apprendre à nous respecter à l’intérieur, afin d’espérer qu’on nous respecte à l’extérieur. Cette posture nous impose que nous respections en premier lieu, ceux qui incarnent la République…Quel est ce pays où tout le monde pense qu’il peut insulter impunément le Président de la République Laurent Gbagbo, l’ancien Président Henri Konan Bédié ou le Premier ministre Alassane Ouattara ?...Qui mieux que le Chef de l’Etat Laurent Gbagbo peut nous conduire sur la voie de la vrai réconciliation des cœurs et des esprits ? ‘’, s’est interrogé Bamba Alex Souleymane. Pour qui, rien au monde ne mettait en péril l’équilibre de la Côte d’Ivoire. ‘’La plaie de la Côte d’Ivoire est en nous-mêmes…Tout le monde est coupable et responsable de la situation que nous vivons. Il faut que le temps de la sagesse habite les Ivoiriens. Il faut une société renouvelée qui sera débarrassée de ses propres aspérités. Il y a des faiblesses originelles qui ont conduit le pays à l’impasse. Cela nous impose une attitude rectiligne et morale. Il faut une modification de nos comportements et un changement de régime (régime parlementaire) pour atténuer ces velléités de part et d’autre de vouloir venir au pouvoir. Il faut lâcher du lest et repenser notre mode de fonctionnement. Définir un cadre de réflexion pour en sortir une sorte de charte morale. Revenons aux valeurs démocratiques fortes. Des valeurs sur lesquelles, l’on devait s’appuyer pour relever la Côte d’Ivoire’’, a expliqué BAS. Se prononçant sur l’incarcération des confrères de ‘’Le Nouveau Courrier’’, le Conseiller spécial du Premier ministre a demandé la clémence du procureur de la République. Mais en tant que professionnel de la communication, le PDG des ‘’Editions Dunya’’, a précisé qu’on ne ‘’doit pas, au nom de la liberté, s’accorder toutes les libertés’’. Interrogé sur le rapport de l’enquête du procureur Tchimou sur l’affaire Tagro, le conférencier a dit qu’il aurait souhaité que cette ‘’affaire n’existât pas et le regrette profondément’’. Quant à l’opportunité de l’Accord Politique de Ouaga, le collaborateur de Guillaume Soro a été très précis : L’APO a été, reste et demeure le seul instrument important permettant d’élire un Président et d’apporter la paix. L’APO est toujours d’actualité’’
Dosso Villard
