Pr Henriette Dagri-Diabaté, Rdr :“Je suis profondément attristée”
«Nous sommes profondément attristés. Que Dieu ait pitié de son âme. Je garde beaucoup de souvenirs de lui. C'est mon grand-frère personnel. C'est lui qui m'a guidée quand j'étais à l'école. Ils étaient avant nous et ils nous ont beaucoup aidés. Je suis profondément attristée par son décès».
Pr Angèle Gnonsoa, Pit: “Il a bien servi son pays”
«Je l'ai connu en tant que gynécologue. C'est un homme qui a beaucoup de connaissances et de savoir. C'est un homme courageux aussi, au plan politique. Vous savez, il a fait la prison d'Assabou à Yamoussoukro. Et il a écrit un livre à ce sujet. Il est vrai qu'il était d'un certain âge, mais je suis peinée de le savoir parti. C'est un monsieur qui a bien servi son pays. D'abord en tant qu'étudiant, et une fois rentré au pays, il a fait ce qu'il pensait être bien pour son pays».
Pr. Ouraga Obou, Fpi : “Il est irremplaçable”
«C'est une triste nouvelle ; il est vraiment un des derniers de nos maîtres. Il était le maître du point de vue scientifique. Il était aussi gardien de la morale au niveau de l'Académie (Ascad). Il peut avoir d'autres valeurs, mais ce sont des gens qui restent irremplaçables. Ce qui m'a toujours marqué chez lui, c'est son franc-parler. C'était un militant tant au niveau du Synares qu'au niveau politique. Il a payé un lourd tribut pour la démocratie en Côte d'Ivoire parce que ce sont les premiers qui ont souffert des évènements de 63-64. Il était aussi un ami personnel de Memel Foté. C'est lui qui a enterré Memel Foté parce qu'il était son ami personnel avec qui partageait de nombreux souvenirs. C'est vraiment une grande perte, pour le milieu universitaire, pour l'Académie des arts et pour toutes les jeunes générations. Qui sont engagées en politique ; on pouvait ne pas être d'accord avec lui, mais il avait fait son choix et il faut le respecter».
Pr Alphonse Djédjé Mady, Pdci : “C'est une perte pour le monde scientifique ivoirien”
«Il était un grand militant, mais surtout, c'était un très grand gynécologue. La médecine et la faculté de médecine perdent une valeur sûre. Son décès est une perte pour le monde scientifique et universitaire ivoiriens. Je présente mes condoléances à la famille éplorée».
Pr Marcellin Bohoussou, gynécologue-obstétricien :«Il était un grand-frère très aimant»
«Je connais Samba Diarra depuis 1967. Nous avons passé le concours d'internat ensemble. Ensuite, il a été nommé assistant. Il était pour moi un grand-frère très aimant. Il avait un esprit critique très développé et cultivé. J'appréciais également chez lui, sa voix. En effet, il avait une voix qui porte, comme un bon pédagogue».
Propos recueillis par Bidi Ignace, Bamba K Inza & MAE
«Nous sommes profondément attristés. Que Dieu ait pitié de son âme. Je garde beaucoup de souvenirs de lui. C'est mon grand-frère personnel. C'est lui qui m'a guidée quand j'étais à l'école. Ils étaient avant nous et ils nous ont beaucoup aidés. Je suis profondément attristée par son décès».
Pr Angèle Gnonsoa, Pit: “Il a bien servi son pays”
«Je l'ai connu en tant que gynécologue. C'est un homme qui a beaucoup de connaissances et de savoir. C'est un homme courageux aussi, au plan politique. Vous savez, il a fait la prison d'Assabou à Yamoussoukro. Et il a écrit un livre à ce sujet. Il est vrai qu'il était d'un certain âge, mais je suis peinée de le savoir parti. C'est un monsieur qui a bien servi son pays. D'abord en tant qu'étudiant, et une fois rentré au pays, il a fait ce qu'il pensait être bien pour son pays».
Pr. Ouraga Obou, Fpi : “Il est irremplaçable”
«C'est une triste nouvelle ; il est vraiment un des derniers de nos maîtres. Il était le maître du point de vue scientifique. Il était aussi gardien de la morale au niveau de l'Académie (Ascad). Il peut avoir d'autres valeurs, mais ce sont des gens qui restent irremplaçables. Ce qui m'a toujours marqué chez lui, c'est son franc-parler. C'était un militant tant au niveau du Synares qu'au niveau politique. Il a payé un lourd tribut pour la démocratie en Côte d'Ivoire parce que ce sont les premiers qui ont souffert des évènements de 63-64. Il était aussi un ami personnel de Memel Foté. C'est lui qui a enterré Memel Foté parce qu'il était son ami personnel avec qui partageait de nombreux souvenirs. C'est vraiment une grande perte, pour le milieu universitaire, pour l'Académie des arts et pour toutes les jeunes générations. Qui sont engagées en politique ; on pouvait ne pas être d'accord avec lui, mais il avait fait son choix et il faut le respecter».
Pr Alphonse Djédjé Mady, Pdci : “C'est une perte pour le monde scientifique ivoirien”
«Il était un grand militant, mais surtout, c'était un très grand gynécologue. La médecine et la faculté de médecine perdent une valeur sûre. Son décès est une perte pour le monde scientifique et universitaire ivoiriens. Je présente mes condoléances à la famille éplorée».
Pr Marcellin Bohoussou, gynécologue-obstétricien :«Il était un grand-frère très aimant»
«Je connais Samba Diarra depuis 1967. Nous avons passé le concours d'internat ensemble. Ensuite, il a été nommé assistant. Il était pour moi un grand-frère très aimant. Il avait un esprit critique très développé et cultivé. J'appréciais également chez lui, sa voix. En effet, il avait une voix qui porte, comme un bon pédagogue».
Propos recueillis par Bidi Ignace, Bamba K Inza & MAE