Le président de l’Assemblée nationale a présidé, hier un séminaire de formation à Grand-Bassam.
« On ne cherche pas la liberté pour devenir ministre ou président. On la cherche pour donner un sens à sa vie. Il faut revendiquer la liberté partout (…) Tout est possible dans la vie, il faut le vouloir et le vouloir fermement ». C’est ainsi que s’est exprimé, hier à Grand-Bassam le président de l’Assemblée nationale. Mettant ainsi fin à son silence depuis la publication des résultats de l’enquête contre le ministre Désiré Tagro. C’était à la faveur d’un séminaire. Le Professeur Mamadou Koulibaly qui présidait ce séminaire a exclusivement traité du thème : « Afrique et Liberté ». Selon le patron du Parlement ivoirien, la quête de la liberté doit être une recherche permanente et inlassable pour tout individu. Car, selon lui, c’est elle qui donne un sens à la vie. Estimant que la liberté ne doit pas être le marchepied pour atteindre seulement des objectifs vitaux. Aussi a-t-il souligné que « le but de cette formation, c’est de développer les idées. Amener les gens à développer l’esprit critique. Parce que c’est avec les idées que le monde change et ce sont les idées qui contrôlent le monde. Ce n’est ni l’argent ni les comptes en banque », a-t-il soutenu. Le séminaire organisé par Audace Institut Afrique réunit une quarantaine de participants venus de la Côte d‘Ivoire, du Bénin, du Burkina Faso et du Mali. Ils ont été choisis parmi diverses couches socioprofessionnelles, à savoir, les étudiants, les enseignants, les chercheurs, les activistes, les chefs d’entreprise, etc. De sorte qu’au-delà des approches positives, le séminaire sera aussi l’occasion de réfléchir sur les solutions et les opportunités qui permettront à l’Afrique d’engager les réformes structurelles nécessaires à son développement dans un contexte de crise généralisée. Outre des chercheurs de renom, le président de l’Assemblée nationale a bénéficié du soutien de ses homologues et autres camarades de parti tels les députés Attéby William, Brissy Takaléa Claude et de Diabaté Bêh. Débuté, hier, le séminaire dont les travaux se déroulent en ateliers, prend fin, samedi prochain.
José S. Koudou
« On ne cherche pas la liberté pour devenir ministre ou président. On la cherche pour donner un sens à sa vie. Il faut revendiquer la liberté partout (…) Tout est possible dans la vie, il faut le vouloir et le vouloir fermement ». C’est ainsi que s’est exprimé, hier à Grand-Bassam le président de l’Assemblée nationale. Mettant ainsi fin à son silence depuis la publication des résultats de l’enquête contre le ministre Désiré Tagro. C’était à la faveur d’un séminaire. Le Professeur Mamadou Koulibaly qui présidait ce séminaire a exclusivement traité du thème : « Afrique et Liberté ». Selon le patron du Parlement ivoirien, la quête de la liberté doit être une recherche permanente et inlassable pour tout individu. Car, selon lui, c’est elle qui donne un sens à la vie. Estimant que la liberté ne doit pas être le marchepied pour atteindre seulement des objectifs vitaux. Aussi a-t-il souligné que « le but de cette formation, c’est de développer les idées. Amener les gens à développer l’esprit critique. Parce que c’est avec les idées que le monde change et ce sont les idées qui contrôlent le monde. Ce n’est ni l’argent ni les comptes en banque », a-t-il soutenu. Le séminaire organisé par Audace Institut Afrique réunit une quarantaine de participants venus de la Côte d‘Ivoire, du Bénin, du Burkina Faso et du Mali. Ils ont été choisis parmi diverses couches socioprofessionnelles, à savoir, les étudiants, les enseignants, les chercheurs, les activistes, les chefs d’entreprise, etc. De sorte qu’au-delà des approches positives, le séminaire sera aussi l’occasion de réfléchir sur les solutions et les opportunités qui permettront à l’Afrique d’engager les réformes structurelles nécessaires à son développement dans un contexte de crise généralisée. Outre des chercheurs de renom, le président de l’Assemblée nationale a bénéficié du soutien de ses homologues et autres camarades de parti tels les députés Attéby William, Brissy Takaléa Claude et de Diabaté Bêh. Débuté, hier, le séminaire dont les travaux se déroulent en ateliers, prend fin, samedi prochain.
José S. Koudou