L’atelier sur l’identification et l’indemnisation des victimes de guerre de notre pays s’est achevé vendredi dernier sur un goût presque inachevé.
Les participants à l’atelier sur « les critères d’indentification et les modalités d’indemnisation des victimes de guerre », ont adopté, vendredi au terme de leurs travaux, une requalification du thème générique du thème de leur rencontre. En effet, les experts ont préconisé que soit retenu le terme de réparation en lieu et place de celui d’indemnisation qui selon eux, est un pan de la réparation. « Les Ivoiriens ont besoin de se retrouver sur des thèmes qui réconcilient et ressortent au mieux ce qu’ils attendent de l’Etat pour réparer les préjudices subis ». Les séminaristes ont également recommandé qu’une large couverture médiatique soit accordée aux résolutions de la rencontre de Cocody, dans l’optique d’atteindre les victimes de toutes les couches sociales ainsi que celles vivant dans les hameaux le plus reculés du territoire national. Concernant le cadre juridique de la réparation des victimes de guerre, la commission chargée de « pondre » des propositions, a souhaité et obtenu de l’organisateur de l’atelier deux journées supplémentaires pour achever ses travaux. Toutefois, les autres commissions ayant traité des critères d’indentification et des modalités de réparation des victimes de guerre, ont remis leur conclusions finales au Secrétariat national de la solidarité et des victimes de guerre lequel devra à son tour les déposer sur le bureau du Gouvernement. Organisé par le Secrétariat national à la solidarité et aux victimes de guerre (Snsvg) que dirige Fatoumata Traoré-Diop. Notons que le nombre de victimes de guerre recensées dans les localités les plus affectées est de 345.780, un chiffre largement en deçà des 1.700.000 personnes déplacées internes recensées par l’ex-ministère des Victimes de guerre et le Fonds des Nations unies pour la population (Unfpa).
Thouethey G.
Les participants à l’atelier sur « les critères d’indentification et les modalités d’indemnisation des victimes de guerre », ont adopté, vendredi au terme de leurs travaux, une requalification du thème générique du thème de leur rencontre. En effet, les experts ont préconisé que soit retenu le terme de réparation en lieu et place de celui d’indemnisation qui selon eux, est un pan de la réparation. « Les Ivoiriens ont besoin de se retrouver sur des thèmes qui réconcilient et ressortent au mieux ce qu’ils attendent de l’Etat pour réparer les préjudices subis ». Les séminaristes ont également recommandé qu’une large couverture médiatique soit accordée aux résolutions de la rencontre de Cocody, dans l’optique d’atteindre les victimes de toutes les couches sociales ainsi que celles vivant dans les hameaux le plus reculés du territoire national. Concernant le cadre juridique de la réparation des victimes de guerre, la commission chargée de « pondre » des propositions, a souhaité et obtenu de l’organisateur de l’atelier deux journées supplémentaires pour achever ses travaux. Toutefois, les autres commissions ayant traité des critères d’indentification et des modalités de réparation des victimes de guerre, ont remis leur conclusions finales au Secrétariat national de la solidarité et des victimes de guerre lequel devra à son tour les déposer sur le bureau du Gouvernement. Organisé par le Secrétariat national à la solidarité et aux victimes de guerre (Snsvg) que dirige Fatoumata Traoré-Diop. Notons que le nombre de victimes de guerre recensées dans les localités les plus affectées est de 345.780, un chiffre largement en deçà des 1.700.000 personnes déplacées internes recensées par l’ex-ministère des Victimes de guerre et le Fonds des Nations unies pour la population (Unfpa).
Thouethey G.
